« Quand la police sénégalaise érige la barbarie, En règle, c’est qu’au sommet il y’a un bourreau. »

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De quoi ce peuple sénégalais est il fautif pour mériter les sanctions cruelles, inhumaines, diverses, multiples, et minutieusement planifiées par le Maître et de son bourreau de ministre de l’intérieur ? A cette question je ne peux tenter d’apporter ma réponse personnelle guidée par un constat selon lequel : mon peuple est stoïque à l’égard de ses dirigeants sadiques.

Cette démocratie et cette liberté d’expression que l’on expose partout où le Maître foule, sont en réalité transformées en monarchie, en répression. Nos dirigeants, depuis l’avènement de l’alternance, des citoyens sont assassinés, torturés, emprisonnés pour des causes nobles : Tapha Sarr, Balla gaye l’étudiant, Dominique Lopy à Kolda, Sina Sidibé à Kédougou ,Karamokhou Thioune et Boubacar Kambel Dieng tabassés et le plus inquiétant et qui devrait susciter une réflexion sur les capacités des gouvernants à tout faire pour se maintenir au pouvoir et freiner la marche de la démocratie c’était la manifestation contre la vie chère injustement infligée aux sénégalais, organisée par ASCOSEN ou Momar Ndao,le journaliste Ousmane Mangane et l’honorable député :Ndéye Fatou Touré ont été violemment pris en partie et bastonnés par ces forces de l’ordre publiquement. Sans compter les descentes musclés des hommes de la Division des Investigations Criminelles : DIC dans les stations de radios privées et des convocations destinées à des ledears d’opinion. Ce que je relate ce peuple l’a vécu et revécu. Mais enfin qu’est qui a été tenté pour contrecarrer ces pratiques antidémocratiques, barbares ? Rien, Rien, Nada, sino que de dire « Sénégal bén boppou kén mounou khar niar ».Hier cette même police qui à commise toutes ces barbaries a utilisé ces matraques électriques et des gaz lacrymogènes avec la bénédiction d’un Cheikh sanguinaire, pour réprimer sévèrement les blouses blanches. Faut-il renoncer ? –Non ; les moins patriotiques dirons OUI mais parions notre vie, allons jusqu’au bout, faisons comprendre à Kheich et son Maître : « quand un gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple le plus sacré et le plus indispensable des devoirs » ;

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