Les orientations stratégiques du Chef de l’Etat, Son Excellence Macky SALL, mises en œuvre par Monsieur Mankeur NDIAYE, ont valu au Sénégal de retrouver sa place de pays respecté, écouté et consulté sur la scène internationale. Durant le mandat du Ministre Mankeur, les succès diplomatiques sénégalais ont été notoires, visibles et tangibles.
Ainsi, le Sénégal s’est distingué de fort belle manière ces dernières années, à travers la consolidation de ses grandes orientations et une action diplomatique résolument engagée pour, d’une part, l’édification d’une Afrique unie et forte dans un monde de paix et de justice, et d’autre part, la promotion et le respect des droits de l’Homme, ainsi que la résolution pacifique des différends et la recherche de solutions concertées face aux multiples crises qui interpellent le Continent.
DES TENSIONS SOUS REGIONALES AUX REGLEMENTS DES CRISES
Contribution au règlement des crises au Burkina Faso, en Guinée Bissau et surtout en Gambie en s’employant à trouver une issue pacifique tout en insistant sur le respect de la volonté librement exprimée par les Gambiens lors de l’élection du 1er décembre 2016. Les efforts du Sénégal ont été unanimement soutenus et salués à tous les niveaux, notamment à la CEDEAO, à l’Union Africaine et à l’ONU.
Aux Nations Unies, le vote de la résolution 2327 du Conseil de Sécurité, sur proposition de notre pays, autorisant au besoin l’intervention des forces ouest africaines pour le départ du Président JAMMEH, a été déterminante pour l’issue de la crise.
AU NIVEAU MULTILATERAL,
Le Sénégal a retrouvé une place convenable dans les Institutions Internationales.
A ce propos, Dakar est redevenue la capitale des grandes rencontres internationales au Sommet parmi lesquelles nous pouvons citer:
– le XVe Sommet de la Francophonie, les 29 et 30 novembre 2014, en présence d’une quarantaine de Chefs d’Etat et de Gouvernement et de plus de 5000 délégués et invités de marque, couronné de succès total et unanimement reconnu. Auparavant, en qualité d’Ambassadeur à Paris, le Ministre Mankeur avait conduit la campagne de la candidature sénégalaise qui fut plébiscitée au sommet de Kinshasa en octobre 2012.
Deux Sommets extraordinaires de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en 2015, sous la présidence du Chef de l’Etat et un Sommet ordinaire en 2016;
un Sommet de l’UEMOA en juin 2016;
– la Conférence des Ministres des Pays ACP;
– le Forum International de Dakar sur la Paix et la Sécurité en Afrique, devenu un rendez-vous annuel unique dans le Continent, est un moment de rencontre de plus de 500 participants. Chefs d’Etat, Ministres, acteurs politiques et militaires, représentants des grandes Organisations internationales, dirigeants d’entreprises et d’experts des questions de paix et de sécurité s’y côtoient et animent des réflexions pour une vision partagée des menaces sur le Continent, en plus d’étudier les réponses les plus appropriées pour faire face aux défis du moment.
En termes d’élections, il conviendrait de rappeler celle du Président Macky SALL à la tête du Comité d’orientation des Chefs d’Etat et de gouvernement du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD) en 2013 puis sa réélection en 2015, qui fait de lui le représentant et le porte-parole du Continent dans les instances restreintes de décision comme le G7 et le G20.
Le Sénégal a aussi été brillamment élu pour la période 2015-2019, avec 135 voix soit le deuxième meilleur score au niveau du groupe africain, au Conseil Exécutif de l’UNESCO, organe de décision constitué de 58 membres et administrant l’organisation.
Rappelons en outre que le Président de la République a été désigné par ses pairs de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) pour coordonner le Chantier « Paix et Sécurité » dans cet espace.
En outre, la présence renforcée du Sénégal dans les Organisations Internationales s’est illustrée, notamment avec sa brillante élection, avec 187 voix sur 191 exprimées, le 15 octobre 2015, au Conseil de Sécurité de l’ONU, en qualité de membre non permanent, pour la 3èmefois de son histoire après ses mandats en 1968-1969 et 1988-1989.
Cette élection est un des faits majeurs à retenir. Elle constitue un renouveau et un repositionnement géostratégique de la Diplomatie sénégalaise. Ceux-ci se matérialisent à la fois à travers les traits d’une Diplomatie d’influence et d’un outil performant au service du développement socio-économique, dans le cadre d’une démarche sobre mais efficace.
Le Conseil de Sécurité aura tenu sous présidence sénégalaise 24 séances formelles et 15 consultations privées. Une quarantaine de rencontres au total qui ont conduit à l’adoption de sept 7 résolutions et de trois 3 déclarations présidentielles.
Au titre de la coopération entre les Nations Unies et l’Union Africaine, un jalon très important a été posé dans le processus de prise en charge par l’UA des défis sécuritaires qui se posent en Afrique, conformément aux principes régissant son Architecture de Paix et de Sécurité (APSA), avec l’adoption à l’unanimité des membres du Conseil de Sécurité de la résolution 2320 2016.
Cette résolution, que le Sénégal a portée, conjointement avec les Etats-Unis, est une réponse à l’engagement fortement réaffirmé par les leaders africains, lors du Sommet de l’UA, tenu à Kigali, en juillet 2016, à travers la décision de financer 25 du coût total de ses initiatives en matière de paix et de sécurité, y compris les opérations de soutien à la paix.
La thématique phare de la présidence sénégalaise : « Eau, Paix et Sécurité » : aura été à l’honneur avec son examen par le Conseil de Sécurité, le 22 novembre, pour la première fois, en guise de contribution du Sénégal aux efforts de prévention des conflits au vu de la gravité de la menace que représente la compétition pour l’accès et l’exploitation des eaux transfrontalières.
La forte mobilisation que cette question suscita lors de ce débat public avec 70 orateurs et les idées intéressantes qui en ont découlées ont renforcé la conviction que la coopération et la médiation préventive peuvent constituer des réponses au double défi de l’inégale répartition et de la raréfaction continue des ressources en eau.
L’engagement du Sénégal pour la promotion de l’Agenda eau, paix et sécurité est renforcé par la décision du Secrétaire Général des Nations Unies et du Président du Groupe de la Banque mondiale de porter leur choix sur le Président Macky SALL pour devenir membre du Groupe de haut niveau sur l’eau qui sera chargé d’aider à la réalisation de l’objectif 6 du Programme de développement durable à l’horizon 2030, visant un accès à l’eau et à l’assainissement pour tous.
Le Conseil a, en outre, examiné, sous forme de débat public, le 07 novembre, à l’initiative du Sénégal, le thème portant sur les « Opérations de paix dans le contexte des menaces asymétriques». Il a permis de passer en revue les défis posés par de telles menaces, notamment le terrorisme, l’extrémisme violent et le crime organisé, auxquelles font face les Etats avec comme corollaire l’inefficacité des opérations de paix et les pertes en vie civile touchant ses casques bleus.
En ce qui concerne la diplomatie sportive, il conviendrait de saluer la nomination, en mai 2016, lors du 66e Congrès de la FIFA, de la sénégalaise Madame Fatma SAMOURA en qualité de Secrétaire Générale de la FIFA, la première femme à avoir occupé ce poste.
DANS LE DOMAINE DU BILATERAL,
Le dynamisme de la diplomatie sénégalaise s’est illustré, entre autres, dans la planification et la négociation des fructueuses visites officielles et de travail du Président de la République dans de nombreux pays amis et/ou partenaires comme la France, les Etats Unis, l’Arabie Saoudite, le Maroc, la Cote d’Ivoire, la Chine, l’Allemagne, le Cabo Verde, l’Espagne, l’Italie, le Portugal, les Emirats Arabes Unis, le Qatar, la Turquie, la République de Corée, le Pakistan, l’Inde et le Kazakhstan.
Le Président de la République a également eu à accueillir au Sénégal des hôtes de marque parmi les dirigeants les plus puissants du monde ou du Continent africain comme les Présidents François HOLLANDE, de France, Barack OBAMA, des Etats Unis d’Amérique, Sa majesté le Roi Mohammed VI, du Maroc, le Premier Ministre Stéphane HARPER, du Canada, les Présidents Recep Tayip ERDOGAN, de Turquie, Jacob ZUMA, de l’Afrique du Sud, et Muhammadu BUHARI, du Nigéria.
L’illustration la plus récente de la vitalité de la diplomatie bilatérale sénégalaise a été la visite d’Etat en France du Président Macky SALL, du 19 au 22 décembre 2016, une première depuis presque 25 ans. Au-delà de son caractère prestigieux, l’importance de cette visite s’analyse sous plusieurs angles dont le renforcement de l’exemplarité des relations d’amitié et de solidarité, la définition de stratégies communes pour faire face solidairement aux menaces actuelles comme le terrorisme et la nécessité des relations de partenariat économiques franco-sénégalais mutuellement bénéfiques.
Cette visite d’Etat a été couronnée par la signature d’une dizaine d’accords, entre autres, dans les domaines financier, énergétique, environnemental, ferroviaire et de la recherche.
A ces activités bilatérales intenses s’ajoute la tenue de plusieurs Commissions mixtes de coopération dont celles avec la Mauritanie, les Emirats Arabes Unis (EAU), le Koweit, le Qatar, la Guinée, la Turquie etc.
Par ailleurs, s’inscrivant dans une quête permanente d’une diplomatie plus performante au service du développement, l’ensemble du Ministère s’est mobilisé dans la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent en faisant le pari d’insister sur la diplomatie économique. Cette diplomatie économique a été portée à un très haut niveau et appliquée dans les missions diplomatiques et consulaires du Sénégal.
Au niveau national, le Ministre Mankeur s’est beaucoup employé pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des agents des missions diplomatiques et consulaires du Sénégal.
A ce propos, on peut citer, notamment :
le reclassement des pays dits de la « Ceinture de sécurité » (Gambie, Mauritanie, Mali, Guinée Conakry, Guinée-Bissau et Cabo Verde) de la Zone II à la Zone III. Cette mesure a été élargie aux pays tels que l’Ethiopie, l’Inde et le Kenya, où nos agents bénéficient du même traitement que leurs collègues en service en Europe et en Amérique du Nord ;
la suppression de la distinction entre zone CFA et zone hors CFA : cette décision a permis de supprimer les énormes disparités de rémunération entre les deux zones au détriment des agents en service dans celle dite « CFA » ;
le classement de tous les pays où le Sénégal dispose d’une représentation dans deux (2) zones qui correspondent aux anciennes zones III et IV, désormais appelées zones A et B ; il est, d’ailleurs, envisagé d’améliorer les conditions de vie de nos diplomates dans une dizaine de pays où le coût de la vie est particulièrement élevé ;
Enfin, « last but not least », le Ministre Mankeur NDIAYE a redynamisé la Conférence générale des Ambassadeurs et Consuls généraux du Sénégal, qui est devenue un rendez-vous biennal de bilan et de concertation sur les enjeux du monde ainsi que des défis de la diplomatie sénégalaise.
LIGNES D’HORIZON ET INSTANCES
Parmi les dossiers en instance on peut citer :
la candidature Sénégalaise comme membre du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU pour la période 2018-2020, à l’occasion des élections prévues le 16 octobre 2017, à New York ; la campagne diplomatique menée a permis d’obtenir le retrait du Ghana, candidat à sa réélection, en faveur du Sénégal, ainsi que l’endossement de la CEDEAO et de l’Union africaine ;
le projet de réforme de la carte diplomatique ;
le projet de revalorisation des indemnités de logement dans certains postes diplomatiques ;
le projet de sécurisation des immeubles du département ;
le projet de rationalisation des effectifs de diplomates et de recrutés locaux dans les missions diplomatiques et consulaires ;
le projet de construction de l’immeuble des Affaires étrangères ; Le Ministre Mankeur NDIAYE a sollicité et obtenu de la Chine le financement sous forme de don de la construction d’un nouveau siège du ministère.
La diplomatie sénégalaise a été menée entre 2012 et 2017 sous le prisme et la clairvoyance du président Macky Sall sur la base d’une vision qui projette le Sénégal dans une logique d’émergence durable .Les relations de riveraineté avec nos voisins ont toujours été le socle jamais décentré de nos paradigmes diplomatiques .En témoignent les exercices d’arbitrage, les opérations de facilitation et les efforts communs de recherche ,de paix ,de sécurité et de sérénité politique.
Par El Housseynou Ly
Ancien fonctionnaire international
Il a vidé tous les bars de Paris. Plus d’alcool en France
Vraiment il se moque du Monde.
si tout a été fait par Menteur N’DIAYE qu’est ce que Macky Sall et son premier Ministre ont réalisé à part qu’il a été dit que toutes les réunions tenues pour une raison ou une autre au Sénégal, les visites des chefs d’états étrangers qui sont des actes purement protocolaires et décisions internationales concernant la Gambie qui n’ont pas été efficaces dans le départ de Jammeh ont été mises dans le rapport sur le compte du Ministre sortant tout en affirmant qu’elle sont conformes aux orientations stratégiques du Président (termes pompeux qui ne veulent rien dire).
même la dernière victoire diplomatique de SIDIKI KABE à été elle aussi citée dans le rapport commeréalisation du Ministre ivrogne Menteur N’DIAYE.
le ridicule ne tue plus, MENTEUR N’DIAYE durant sa période aux affaires étranges n’a fait que boire. cessez vos publicités inopportunes pour un ivrogne qui a foutu en l’air ce ministère qui connaissait un dynamisme sans précédent sous son prédécesseur. Au lieu de citer comme grandes réalisations des visites protocolaires de chefs d’état au Sénégal, des réunions tenues à Dakar, et une solution de crise en Gambie résolue par une médiation, pourquoi avoir passé sous silence l’echec de la diplomatie du Sénégal lors de l’élection du Secrétaire Général de l’UA. Quant à la denière victoire du Sénégal au Conseil des droit de l’Homme, elle est à mettre à l’actif de Monsieur SIDIKI KABA et non menteur DIOP.