Un enfant d’un émigré sénégalais vivant à Trévise vient d’être exclu de son établissement scolaire . Pour cause, au lieu d’apprendre ses cours, il passait le gros de son temps à s’en prendre à ses camardes de classe en les menaçant avec un couteau. Le jeune caïd exigeait d’eux des sommes de 10, 20 à 50 euros par semaine. Dénoncé, le jeune écolier sénégalais a été suspendu pour trois semaines, affirme notre source. La police n’a pas manqué de s’interroger sur ces menaces qualifiées de graves et qu’elle attribue à un manque d’éducation du mis en cause. Quelle éducation pour les enfants de la diaspora, telle est alors la question qui merite savamment d’être posée.
Agé de 15 ans, un jeune sénégalais est dépeint par ses camarades d’école comme un dur à cuir qui obtenait tout ce qu’il voulait à l’aide d’un couteau de cuisine avec lequel il les menaçait. Fort redouté, il demandait aux jeunes écoliers italiens, selon les témoignages recueillis, de lui verser de l’argent des sommes allant de 10, 20, à 50 euros. Agressif et sans état d’âme, aucun écolier n’osait l’affronter. Mais, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase a eu lieu il y a quelques jours dans son école. En effet, voulant sortir avec une fille de l’école, il a menacé de tuer le copain de cette dernière s’il ne renonçait pas à sortir avec elle. Pire, il lui exigeait de lui verser de l’argent toute les semaines. Ayant pris peur et prenant les dites menaces au sérieux, le jeune écolier de 14 ans qui volait, depuis des mois, sa famille pour satisfaire le délinquant mineur, s’en est finalement ouvert, la mort dans l’âme, à son enseignant. Les responsables de l’établissement du centre de Trévise alertent aussitôt les policiers qui procèdent à l’audition du jeunes sénégalais qualifié de multirécidiviste, à en croire nos sources. La plainte déposée par la famille de la victime va encore plus aggraver son cas. Au terme de l’enquête, nonobstant d’être suspendu de l’école, il risque une condamnation devant le tribunal des mineurs. Quant aux parents du jeune sénégalais, ils ont eu du mal à croire aux faits commis par leur fils qui, jusque là, avait un comportement insoupçonné. Jamil Thiam
La place de nos enfants doive être au Sénégal europe bakhoul pour les enfants des immigres cultur yi bokoul,éducation yi bokoul,religion yi bokoul…il fau agir avan kil soit trop tard
Ne racontez pas des histoires,vous ne savez rien de ça.Cette hitoire a eu lieu c’est vrai à trevise mais à 15km(istrana) depuis le mois de mars,en ce moment les écoles sont fermées et les eleves sont en vacance.
tu as raison SS c’est à ISTRANA toi djamil thiam vendeur de basin avant de parler il fallait se renseigner au prés de son pere tu le connais tres bien l’enfant en qestion n’a jamais été exclu il a été suspendu mais il a repris les cours bien avant la fin de l’année il a meme la moyenne il doit faire l’année prochaine la terza media le jugement était ce mois de juillet moi meme qui habite a ISTRANA comme eux je ne suis pas informé de ce que les juges ont décidé son pere n’a rien dit a personne et je peux te jurer que la communautè sénègalaise qui vive avec eux n’en sait rien parce qu’il y a des choses qu’on ne peut demander on se rencontre souvent mais on en parle pas comme l’a dit SS c’était au mois de mars je vous rappelle que l’enfant a fait ses ètudes primaires au senegal jusqu’en classe de CM2 il a un pére exemplaire qui s’occupe de sa famille ils ne manquent de rien seulement il y a de ces enfants qu’on ne peut pas malheureusement èduquer son pere a tout fait pour lui
HAhaa on sent que la qualité n’est pas au rendez vous dans Le pont entre »un jeune caid senegalais mal eduqué » et » la question de l’education des enfants de (toute) la diaspora…savamment posée » m’a beaucoup fait rire. Merci
* dans l’article