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18 Safar, 18 places dans le Doing Business, par Mamadou Sy Tounkara.(Par Mamadou Sy Tounkara)

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Tout juste après le 18 Safar 2019, le Sénégal fait un bond remarqué de 18 places dans le classement du Doing Business. Il est tentant d’y voir un lien avec la ferveur liée à l’inauguration de Masaalikul Jinaan et la réconciliation des présidents Macky Sall et Abdoulaye Wade. Ferveur, travail et pardon.

Il n’y a aucun doute qu’une progression dans le Doing Business est le résultat de travail conséquent en amont. Ce classement magnifie la facilitation des procédures, la transparence et la lutte contre la corruption. Cette avancée de 18 places est un signe concret que les actes posés par l’Etat du Sénégal dans le sens de la transparence, de la lutte contre la corruption et de la facilitation de l’environnement des affaires commencent à germer modestement.

Il est important de rappeler que ne pas progresser dans ces trois paramètres plombent tout pays et toute nation. Un environnement des affaires en amélioration dope la confiance des investisseurs, des entreprises et des ménages et, incidemment, crée un cercle vertueux : investissement-emplois-consommation et épargne. Seule voie pour l’Emergence et la satisfaction de nos besoins.

Pour le moment, nous ne sommes que 123e sur 190  pays classés. Nous avons l’obligation de continuer à progresser vers notre but de tutoyer les sommets, parmi les meilleurs. Patiemment, obstinément. En étant un peuple qui a foi au travail et à l’union des coeurs et des esprits. Un peuple, un but, une foi.

Ces places gagnées dans le Doing Business sont un signe d’espoir certain que nous pouvons gagner la bataille contre la pauvreté et le désespoir si nous maintenons le cap du travail acharné, du pardon et de la réconciliation.

Mamadou Sy TounkaraConseiller spécial du président de la République du Sénégal

1 COMMENTAIRE

  1. En tout cas, je suis très déçue depuis que j’ai appris que la grande université de Touba dont la mise en oeuvre m’avait enthousiasmée ne va former ni des médecins par centaines ni des ingénieurs en maints domaines, mais des Oulémas et autres érudits en islam. Le temporel et le spirituel auraient pu cohabiter dans cette grande université pour donner à la ville sainte de Touba et même la région de Diourbel ,une sorte d’autarcie en personnels de santé et en ingénieurs! J’ose croire avoir été mal informée. Longue vie à notre vénéré khalif Serigne Mountakha!

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