Le gouvernement n’a jamais annoncé de mesures allant dans le sens de fermer les écoles coraniques au Sénégal, connues encore sous le nom de daaras, a précisé le Premier ministre Abdoul, mercredi, au cours d’une visité dans un établissement coranique à Dakar, soulignant que ‘’les autorités vont plutôt réorganiser les daaras en interdisant notamment l’exploitation des enfants à travers la mendicité’’.
‘’Nous n’avons jamais dit que nous allons procéder à la fermeture de daaras au Sénégal. Il n’a jamais été question de fermer les daaras dans notre pays’’, a souligné Abdoul Mbaye, qui a effectué mercredi une visite chez Sayda Maryam Ibrahima Niasse, fille de Baye Niasse, soufi et fondateur du mouvement Faydha Tidjaniyya, dont l’établissement coranique est cité en modèle par les autorités.
‘’Encore une fois, le gouvernement n’est pas contre les daaras. Il n’a jamais été cas de cela. Comment voulez-vous qu’on soit contre les daaras si ces derniers se limitent sur le fait qu’une personne ait sous sa responsabilité des enfants assis sur des nattes ou installés dans des abris pour apprendre le Coran ? Personne n’est contre cela’’, a insisté le Premier ministre.
‘’Par contre, si les enfants (talibés) passent le plus clair de leur temps dans la rue, matin et soir, sans rien apprendre, ça c’est une forme d’exploitation, je pense même que c’est un péché. C’est inacceptable’’, a encore dit Abdoul Mbaye.
Il a affirmé que la préoccupation du gouvernement demeure la prise en charge ‘’des enfants en détresse’’. « C’est notre vrai souci. Le principal sujet est celui de l’enfant en détresse, cet enfant pieds nus arpentant les rues de Dakar et d’ailleurs livré à lui-même. C’est un vrai souci résultant d’attitudes condamnables de la part d’adultes qui doit donner lieu à une prise en charge de la part de l’Etat’’, a relevé le Premier ministre.
Dans la même veine, Abdoul Mbaye a précisé que la mendicité est interdite sous certaines ses formes. ‘’La mendicité est tolérée lorsqu’elle s’organise dans le cadre d’habitudes religieuses comme la prière de vendredi ou à proximité des mosquées. Cela est accepté parce que la charité existe partout et il n’est pas question de l’interdire au Sénégal’’.
Sayda Maryam Ibrahima Niasse, première dame maitresse d’école coranique au Sénégal, a exhorté le gouvernement à multiplier les initiatives pour mieux organiser les daaras. Elle a offert un exemplaire du Saint Coran au Premier ministre pour témoigner son soutien et ses prières envers les autorités politiques.
MTN/ASG
AU SENEGAL HOPITAL ABASS NDAO
Depuis un an l’Hôpital Abass NDAO dirigé par le Dr Youssouph NDIAYE ne fonctionne pas, par une mauvaise gestion des ressources financières disponibles. A sa décharge le Maire de Dakar PCA du centre hospitalier Abass NDAO, depuis le Conseil d’Administration de novembre 2011, avait demandé à la Direction de l’hôpital, d’exprimer ses besoins en équipements médicaux rentables, pour les acheter sur la subvention de deux cent millions (200.000.000) de l’année 2012. Chaque mois l’Hôpital dépense près de 113.000.000 francs uniquement pour les salaires, donc que représente 200 millions ? Le personnel souhaite que cette somme entre dans le cadre d’investissement en matériels médicaux rentables. Le Directeur qui est incompétent irrespectueux de la hiérarchie et hors loi, n’a rien fait à ce sujet, il passe tout son temps à des querelles, règlements de compte, mensonges, des conflits inutiles avec ses collaborateurs directs.
Dans les ondes de sud FM le vendredi 11.11.2013, le Chef du Service des Soins Infirmiers (Arona DIOP infirmier d’Etat) donc la nomination est illégale (voir la loi 98-08 du 02.03.1998 réforme hospitalière ci-dessous mentionnée), a donné de fausse information par rapport à la subvention de 2012 et sur la réalité du fonctionnement de l’Hôpital. C’est lui qui dirige l’hôpital, il est logé, nourri, blanchi, gérant des mouvements et du carburant des trois ambulances. Toute sa famille travaille à l’hôpital, ses vœux et désirs sont exécutés à la lettre par le Directeur Youssouph ND IAYE.
Le principal problème de l’Hôpital se trouve à la gestion et aux priorités de dépenses.
NOMINATION du Chef du service des soins infirmiers loi 98-08 du 02 mars 1998
Article 32 : Il est crée dans chaque établissement un service de soins infirmiers placé sous la responsabilité d’un
technicien supérieur de santé ou d’un cadre infirmier nommé par le Directeur. Il est membre de l’équipe de direction. Il est responsable de l’organisation générale des soins infirmiers, participe à la recherche, à évaluation, à la mise en place de la politique de formation. Il est chargé de l’élaboration du volet « soins infirmiers » du projet d’établissement.
Où se trouve le directeur, pourquoi il fuit les médias depuis décembre 2011 ?
C’est parce qu’il n’a pas la vérité cette fois.
Monsieur le Maire, président du conseil d’administration prenait vos responsabilités en proposant au Ministre de la santé et de l’action sociale le remplacement de ce directeur. Le personnel du CHAN n’attend que cette décision pour reprendre le travail, il ne veut plus de Youssouph NDIAYE à la tête de l’Hôpital.
Où se trouve la dignité, l’honneur, un directeur rejeté, vomis par son personnel devait rendre le tablier. Mais malheureusement ce monsieur a perdu ses valeurs de noblesse. L’hôpital Abass Ndao est actuellement fermé.
Deux mois sans salaires, mesurez les préjudices, les conséquences subis par le personnel de Abass Ndao , causés par Youssouph ndiaye. Il rendra compte à Dieu comment il a dirigé cet hôpital.