Mercredi dernier, l’hebdomadaire français « Le Point » a publié un article dans lequel il fait dire à Karim Wade que Idrissa Seck aurait reçu à la veille des élections présidentielles de 2000 la rondelette somme de 100 millions de francs CFA pour soutenir Abdou Diouf au détriment de Abdoulaye Wade. La réponse du maire de Thiès ne s’est pas fait attendre. Dans les colonnes de Libération, Idrissa Seck a remis les pendules à l’heure en ces propos : « c’est une déclaration calomnieuse et mensongère. Je n’ai jamais reçu le moindre centime de Chirac. Surtout pas pour un tel motif ».
Et de poursuivre : « Je n’ai jamais quitté Wade et n’en ai jamais eu l’intention. C’est le Pds qui m’a exclu deux fois. C’est maintenant seulement que j’ai pris la décision de ne plus rien avoir à faire avec le Pds de Wade comme parti même si j’accueille avec joie mes sœurs et frères libéraux qui souhaitent travailler avec moi. La page Wade est pour moi, définitivement tournée ». Il faut savoir que bien avant lui, l’avocat Robert Bourgi, cité par l’article comme étant l’intermédiaire entre Idy et Jacques Chirac, a qualifié de « grotesque et mensongère » l’information donnée par le Point.
Setal
En moins de vingt quatre heure les 200.000 francs(20.000.000) en 1999 sont devenus 100 milliards aujourd’hui, et nu ne nous dit par quel miracle !
Il faut vraiment être très ignorant du fonctionnement de la Présidence Française de l’époque pour croire qu’un Chef d’Etat pouvait se permettre de donner autant d’argent afin de soutenir un ami africain qui briguait sa succession.
J’aimerais d’ailleurs que l’on nous précise sous quelle rubrique cela pouvait être possible dans un pays aussi bien organisé que la France.
L’auteur de l’article du point y va au culot, dans le cadre d’une grande manipulation qui pourrait être orchestrée depuis le Sénégal pour quelques dizaines de milliers d’Euros, sachant que personne en France, en particulier l’ancien Président Jacques Chirac qui est confronté en ce moment à des problèmes de santé assez sérieux ne diraient rien sur ces accusation.
celui Le mercenaire de la plume qui aurait été approché pour faire ce sale boulot pour discréditer monsieur Idrissa Seck n’est pas fou, en incriminant un malade qui ne se souviendrait même plus de son repas de la veille, il sait que rien ne pourrait lui arriver sur le plan juridique.
Je n’exclurais pas une plainte en bonne et due forme de monsieur Idrissa Seck contre l’hebdomadaire le point pour diffamation pouvant porter atteinte à son honorabilité et à son intégrité morale, auprès du Tribunal de Grande Instance de Paris, et le référé serait certainement accordé.
ON VERRA DU N ‘IMPORTE QUOI DANS NOTRE PAYS POUR MUSELER MONSIEUR IDRISSA SECK et le Parti Démocratique Sénégalais QUI REPR2SENTENT LE SEUL GROS DANGER POUR L4ACTUEL POUVOIR.