Après le « je ne regrette rien » prononcé au lendemain du meurtre de Malick Bâ à Sangalkam, Aliou Sow revient avec une autre expression. Dans la région sud du pays hier, le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales a lancé à ses détracteurs : « Je suis comme un militaire, j’exécute les ordres et je discute après. »
C’est à Balingor dans la région de Ziguinchor que le ministre Aliou Sow est revenu, hier, sur le redécoupage administratif dont il porte le projet et qui est l’objet de toutes les polémiques. D’emblée, le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales, faisant allusion aux évènements de Sangalkam, déclare : « Personne n’a le droit de s’attaquer aux institutions de l’Etat comme une caserne de gendarmerie. Nous veillons à ce que les symboles de l’Etat soient respectés par les citoyens. » D’ailleurs, croit savoir Aliou Sow, « l’opposition veut installer la peur et la menace pour arriver au pouvoir ».
Mieux, Aliou Sow dit à qui veut l’entendre qu’il ne fait que remplir la mission qui lui a été confiée par le chef de l’Etat. « Je suis comme un militaire, j’exécute les ordres et je discute après », dit-il. En fait, la conviction du ministre de la Décentralisation, c’est que « l’opposition verse dans la calomnie pour remporter les élections de 2012 ». Mais, avertit-il, « nous veillerons à la préservation de notre victoire et nous comptons gagner avec la même fermeté. Et nous refusons le procès d’intention d’Ousmane Tanor Dieng, malgré le respect que nous lui vouons ».
En outre, Aliou Sow estime que « la décentralisation se porte bien en dépit des agitations politiciennes ». Et, dit-il, « je refuse que le débat politicien prenne le dessus sur le vrai débat économique ». Parlant du découpage administratif, il explique que « ce sont les habitants qui en sont demandeurs. Et aujourd’hui, l’Etat doit rester fort car l’incitation à la violence doit arrêter, ainsi que la provocation par des moyens médiatiques ».
nettali.net
Pauvre CON
CE ZOZO A SA PLACE DANS UN HOPITAL PSYCHIATRIQUE. AU FOND, IL N’A PAS TORT. C’EST UN BRAS ARME D’UN REGIME CRIMINEL.
tu ne connais pas abdoulaye wade c est pour cela ,il va te ballayer un jour tu vas voir
casse toi pauvre con………tu executes que des ordres….. venant d un voyou..