XALIMANEWS- Pour le fondateur de l’ONG Africajom Center, ce que la police demande est juste impossible. «Renoncer à prévenir les actes de tortures par l’alerte, l’exigence d’enquêtes, en cas d’allégations de tortures, c’est renoncer à la protection des droits humains », dit-il.
Pour Alioune Tine, il faut plutôt renforcer la formation de la police en matière de droits humains. « La police chargée de veiller à l’ordre public, on parlait avant d’agents de la paix, ils devraient travailler en partenariat avec les organisations des droits humains pour renforcer la protection des libertés civiles et des droits humains », a-t-il fait savoir.
Dans son communiqué cité par Walfnet, le Bureau des relations publiques indique «se réserver le droit de poursuivre les auteurs de ces déclarations non fondées qui in fine déteignent négativement d’une manière ou d’une autre sur la Police nationale qui reste républicaine».