Le Premier ministre Aminata Touré fera sa déclaration de politique générale (DPG) le 28 octobre à 10 heures, devant l’Assemblée nationale, selon communiqué reçu de ses services.
Mme Touré a été nommée chef du gouvernement le 1er septembre, en remplacement d’Abdoul Mbaye. Elle dirige un gouvernement de 32 ministres.
OID/ESF
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APRÈS Guernesey, la Gambie ?
Le plus petit pays sur le continent africain, un éclat sur la côte ouest, avec une population de 1,8 m, tente de se transformer en un centre financier offshore. Au cœur de la stratégie est un Registre corporatif en ligne état-of-the-art, offrant l’incorporation rapide et bon marché, des types de sociétés secrètes et fiducies qui poussent les enquêteurs financiers à la folie.
C’est un mouvement contre-intuitif à un moment où les centres offshore sont sous le feu des grandes économies qui les accusent d’avoir aidé l’évasion fiscale ou pour le pire. Mais l’idée de devenir une taxe haven « sera toujours loom grand » pour les petits États avec peu d’autres options pour le développement économique, dit Jason Shaman de l’Université de Griffith en Australie. Économie de la Gambie est assez ouvert mais toujours fortement dépendantes du tourisme et des arachides.
Avec la Grande-Bretagne le démarrage jusqu’à la pression sur ses dépendances dans les Antilles et la manche, certains de leurs clients chercheront maisons neuves au large des côtes.
Et l’ensemble du marché s’avère élastique : après trempage en 2007-2008, la demande de véhicules offshore est retour près des niveaux d’avant la crise dans de nombreuses juridictions, selon Appleby, un cabinet d’avocats.
La Gambie n’est pas le seul pays africain à s’intéresser.
Une tentative menée par Barclays pour développer le Ghana dans un moyeu de banques offshore a sombré en 2011 quand le gouvernement, effrayé par une mise en garde de l’OCDE, a refusé de prendre le règlement requis. Minuscule Anjouan, une île dans l’océan Indien, se mêlait brièvement avec des banques fictives.
Kenya travaille avec TheCityUK, qui permet de forger des alliances, de mettre en place un « International Financial Centre »(étiquette préférée des centres offshore pour leurs activités) quartier financier de Londres à Nairobi. TheCityUK est également en pourparlers avec Dubaï, Istanbul et Moscou.
Le Libéria est une expédition réussie, pavillon de complaisance, même si son registre est exécutée à partir de Virginia.
Le registre gambien a déjà « plusieurs centaines » entreprises, dit Charlotte Pawar, un responsable.
Mais il aura besoin de plusieurs milliers à être considéré comme un succès, une commande dans un marché concurrentiel amèrement. Bien qu’il est facile de copier les autres places’ lois et offres de produits (la Gambie ressemblent à celles de l’île Maurice), gagnant de traction est une lutte sans le bon réseau de conventions fiscales et le soutien des gros fournisseurs services aux entreprises qui achètent des entreprises offshore en vrac auprès des juridictions favorisées, destinés à la revente aux cabinets d’avocats et aux particuliers.
Ces auteurs sont difficiles à impressionner.
Seulement quatre des nombreuses administrations qui ont essayé d’entrer sur le marché depuis la fin des années 1980 ont vraiment réussi : Ile Maurice, les Seychelles, Belize et Samoa. L’incorporateur de masse plus importante, basée à Hong Kong Offshore Limited Incorporations, n’a apparemment aucuns l’intention de commencer à vendre des véhicules Gambiens.
Ça pourrait être un certain temps avant que des coquilles financières supplanter ceux qui entourent les arachides du pays comme source de valeur économique.