[Audio] Affaire des lesbiennes du bar « Piano-Piano »: La Police désavouée par la Justice, les cinq (5) filles relaxées au bénéfice du doute
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Merci Xalima et Sadaga. au moins vous aviez bien vu. tout le monde doit etre content
les activistes rémunérés par les lobbys sandaga et madiambal étaient au palais pendant le procès, des rumeurs font états de dessous de tables qui auraient été versés par ces deux; il faut aller au café de Rome samedi pour être informé des dessous de cette libération des filles
cafe de rome ay thiagua rek fay frequan milieu bou bone
ALERTE ! ALERTE ! ALERTE ! Prière d’informer toute personne qui pourrait alerter le Ministère des Affaires Etrangères sur la situation de centaines de jeunes filles Sénégalaises maintenues en esclavage au Liban et au Maroc depuis des mois et d’autres depuis des années Liban: Cri de détresse d’une domestique sénégalaise vivant à Beyrouth à Mankeur Ndiaye Mardi 19 Novembre 2013 – 16:00 Nous publions in-extenso la lettre de Korka Dia, père d’une « sénégalaise qui a été trompée et amenée à Beyrouth ». Le vieux demande de l’aide auprès des autorités sénégalaises particulièrement au ministre des Affaires Etrangères pour sa fille qui souffre terriblement les affres de son employeur. Je viens très respectueusement auprès de votre bienveillance solliciter une aide de travers vos compétences diplomatiques et votre préoccupation de la situation des sénégalais du pays et de la diaspora. Le cas que je vais vous révéler c’est celle de ma fille reconnue de tous par son courage, sa détermination et sa bravoure. Elle travaillait honnêtement en qualité de tailleur dans un atelier qui est à Tivaouane jusqu’au jour où une personne du nom de Diop Ndiaye habitant dans la ville de Thiès lui proposa s’il voulait il va lui mettre en rapport avec des gens qui peuvent lui trouver du travail au Maroc avec un contrat de trois mois avec une rémunération de 300 000 mille FCFA. Le nommé Diop Ndiaye lui met en rapport avec une autre personne du nom de Etienne Ngom qui habite à Diourbel et selon certains information il est membre du groupe des malfaiteurs qui font un trafic d’être humain. Toutes les papiers ont été régler par Etienne Ngom et la dame et trois autre filles ont été embarqué par lui-même à l’aéroport Léopold Sédar Senghor. Mais ce n’est pas lui seule qui est en tête de ce réseau honteux il y a aussi d’autres personnes qui sont à Diourbel entre autre Talla Ndour. Une fois arrivé à l’aéroport de Liban la fille a été accueillie par un inconnue qui avait un tableau dont son nom y été écrit, elle l’interpella et lui dit Monsieur c’est mon nom qui est écrit dans votre tableau, le monsieur lui dit que je suis venu pour te chercher. La fille la suive et la personne qui est venue à l’aéroport la prendre s’appelle Ibrahima cissé et c’est lui le responsable du réseau en collaboration avec un libanais du nom de Abou Omar sous forme d’agence au niveau de Beyrouth Liban. Une fois arrivé à Beyrouth, elle a été amené dans une maison ou il y avait des européens mais elles ne s’avaient pas de quelle nationalité elles étaient .Elle y passa la nuit. Le lendemain le même Ibrahima Cissé est venu la chercher pour l’amener dans son agence de trafic d’humain surtout de sénégalais pour lui signifier qu’elle a signé un contrat de trois ans et qu’elle doit travailler pour l’agence en tant que bonne dans une maison qu’elle va tout de sui te lui amener. La jeune fille fut surprit mais ne savait quoi faire car depuis sa descente d’aéroport son passeport a été confisqué par le chef de l’agence et elle n’avait pas d’argent sur elle. Comme elle ne connaissait personne dans ce pays elle suit le chef d’agence qui l’amène dans une maison pour lui présenter son patron comme elle n’avait pas de choix elle décide de rester avant de pouvoir trouver une solution pour s’en sortir. Korka Dia MLD
A se demander si les Gouvernements des pays de nègres auraient peur de taper sur la table pour mettre fin à ces situations, en Mauritanie, au Maroc et au LIBAN