(Audio). Drogue: Ecoutez le commissaire Kéïta qui révélait des noms : le fils de Djily Mbaye et du milliardaire Alioune sow

Date:

L’affaire du scandale de la drogue au sein de la police continue de révéler ses secrets. Dans un enregistrement, le commissaire Keïta indique qu’il a les preuves qu’un des fils du milliardaire Alioune Sow verse dans la cocaïne. Il indique que ce dernier est protégé par le lobby toucouleur, proche du président Macky Sall. Il se dit même prêt à monter un dossier contre lui. Explosif!

Source Dakaractu

9 Commentaires

  1. Qui ne voudrait pas que ce Commissaire donne ses preuves ? Etre dans la drogue dure ? Consommateur et( ou) trafiquant, les deux ne sont pas puni de la même manière, mais il ne devrait pas y avoir de passe droits dans ces domaines.

  2. arrêtez de tirer à boulet rouge sur le dénonciateur ,tandis que les policiers trafiquant courent ,ils ont même obtenu une promotion ,parce que c’est des peuls ,on est en face d’un lobby ethno affairiste fait de malfrat de trafiquant de drogue protégé par leur tribu ,

  3. De Kathior ka
    État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
    « Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

    Un recteur qui ignorait royalement l’autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d’une telle gravité qu’il ne doit certainement son « salut » (c’est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l’APR à la 25ème heure. Les « amis » avant la patrie.

    Sauvons nos universités publiques du naufrage.
    (leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

    Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management ([b]mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.[/b]) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

    Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
    En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
    A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

    L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
    Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
    Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.

    ———————-kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali —————-
    DÉCLARATION SAES

    La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.
    Devant le constat :
    d’une situation générale de mal gouvernance,
    de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
    de non respect des textes universitaires,
    de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
    de la dégradation des conditions de travail,
    de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
    de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.
    L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane….

    L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.
    Ainsi, l’AG exige :
    le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
    le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
    Heures Complémentaires du second semestre,
    perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
    le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
    le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
    L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’auditer les fonds alloués.

    Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
    Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.

    Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.

    L’Assemblée Générale

    ————-
    SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).

    Saint Louis, 22/06/2012.

    APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.

    Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.

    LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.

    Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.

    Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’ endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
    C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.

    VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.

    L’Assemblée générale

    _

  4. un pays pauvre comme le Sénégal ou tt le monde presque ont des voitures de luxe qui coutent de 250 millions à 500 millions de francs CFA
    moi je m’étonne depuis 10 ans, je travaille honnêtement de 8h à 21h je ne peux mm pas trouver une voiture qui coute 2 millions je me pose tt le tmp la question de savoir ces milliardaires de sénégalais ou ils trouvent l’argent facilement et rapidement et que ils ne sont pas plus travailleurs que moi (woula khaliss daniou kay lidianti kenne douka ligueye) li mo khew sénégal batakh tanne yeppe naaw dioublou sénégal ndakh meddemi di kheegne.. thieye Yalla souniou broom

  5. ah oui grawna lole fii ci senegal meddemi ngaye wakh mome la niu bary di diaye batax niuye am teye aye milliard khalatuniu ci yalla wula dara nit ku bone kuné mungui dawe diubalsi senegal ndax meddemi ngaye wax
    yalnaniouci yalla mousal niune ak suniuye seute goré ba dèh

  6. Il a fini par parler ,mais il se serait tu pdt combien de temps et pour kelles raisons .Meme si probablement ,il dit la vèritè ,il a fini par s’accuser lui meme .Ainsi des tetes vont certainement tombèes et cele m’ètonnerait kil puisse sauver sa peau.Wala bok ?

  7. L’enregistrement que Leral a produit n’est pas fini raison pour laquelle vous n’avez pa compris ce kil a voulu dire.En fait il ne dit pas que le fils de Aliou Sow est un trafiquant mais il explique a son collegue comment il peut lui le commissaire manipuler l’information et mettre la pression a ses superieurs dont le ministre pour ensuite gagner beaucoup d’argent.Et en realite c’est ce qu’il a voulu faire avec l’affaire de la drogue mais c’est retombe sur lui car il ne savait pas kil etait enregistre.

  8. Mr le Commissaire, toi aussi si vraiment tu connaissais le rôle d’un commissaire pourquoi accepter d’être corrompu jusqu’à arriver à ce stade. Je vous prie seulment d’impliquer les concernés mais faut oublier les personnes innocentes. Aliou Sow un homme pieux, humain, juste, sociaL avec tout le monde que ça soit les sérères, woloff, toucouleur, bambara, ndiagou, diola etcc… il les prend au même pied d’égalité, laisser Aliou sow et famille.
    Un musulman ne doit pas dire des mots sale à des personnes honorables, responsables. Si non si tu veux qu’Aliou Sow t’aide, faut le lui dire c’est il aide tout le monde.

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