Audio – Les révélations de Me Sidiki Kaba sur le limogeage de Alioune Ndao
[Audio] Les révélations de Kaba sur le limogeage de Alioune Ndao
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J’aurai aimé qu’il en profite pour expliquer alors, en quoi la CREI est libre par rapport au « réalités et opportunités » qui le guident et qui dépendent de Macky Sall.
Xeme, vs etes plus intelligent que cela qu a meme. Voulez vs d un senegal aussi informel ou on cree des societes n importe comment et toutes ces magouilles digne de la mafia? Soyons serieux way..
Sidiki KABA , c’est l’une des plus grosse déceptions de l’intelligentsia sénégalaise . Il s’est lamentablement fourvoyé dans le rôle de ténor du parti APR qu’il tente vaille que vaille à se donner .
Qu’est-ce-que c’est que ces explications à l’emporte pièce , qui démontrent nettement le peu de considération qu’il a pour les sénégalais , qu’il prend pour pires que des demeurés .
Comment peut-on dissocier le renvoi du procureur , à la cause du renvoi , pour vouloir faire de celle-ci (la cause du renvoi) une autre affaire , qui ne soit pas en rapport avec le procès .
IL EST IMPOSSIBLE QUE LE LIMOGEAGE DE CE PROCUREUR PUISSE ETRE DISSOCIE HONNETEMENT A CE PROCES .
LIBEREZ KARIM WADE ET SES CODETENUS POLITIQUES !!!
CHAQUE ACTE QUE VOUS POSEZ VOUS DISCREDITE TOUJOURS DAVANTAGE .
Les organisations juridictionnelles, les variations du jeu de l’influence – Quelle place pour Le senegal de macky Sall Tout d’abord, doit-on, comme le terme “jeu” le laisse entendre, parler de stratégie de l’influence ? Ce qui voudrait dire que chaque système a une propension hégémonique. Il est vrai que les postures de suprématie, de supériorité, parfois d’arrogance, caractérisent certaines organisations juridictionnelles. Toutes cherchent à asseoir et élargir leur rayonnement, qu’elles soient internationales, pour l’expansion des normes universelles qu’elles ont vocation à propager, qu’elles soient internes, pour se promouvoir individuellement ou comme composante d’un grand ensemble de Common Law ou de droit codifié, dans la concurrence mondiale des droits. On admettra donc que la compétition est un mode normal de relation entre les systèmes juridictionnels et qu’elle est facteur de progrès. Ce qui n’empêche pas que l’ouverture des juridictions à d’autres jurisprudences peut aussi traduire une conscience juridique nouvelle marquée par les préoccupations d’humanité ou d’universalité, s’appuyant sur certaines valeurs de civilisation partagées à l’échelle mondiale. De cette quête de pouvoir ou de cette progression vers des valeurs universelles, il s’agit de décrire les forces avant de rechercher en quoi elles contribuent à l’intégration des normes. Les interactions verticales des juridictions nationales et internationales (A) accélèrent la circulation horizontale des normes et des modèles (B). [24] La diffusion du modèle du procès équitable L’observation des circuits de transfert du standard du procès équitable montre qu’à partir des principes développés par les juridictions de Common Law anglaises, depuis le XIIIème siècle, puis transposés dans la Constitution des Etats-Unis d’Amérique, le modèle du procès équitable s’est développé dans la jurisprudence nord-américaine puis dans celle de tous les grands systèmes, après son inscription dans la Charte des Nations Unies précisée dans le Pacte sur les droits civils et politiques, dans la Convention européenne des droits de l’homme, comme dans d’autres instruments de protection régionaux des droits de l’homme ainsi que dans les constitutions et les chartes des droits fondamentaux de nombreux Etats, dans le monde entier, y compris dans le projet de traité constitutionnel de l’Union européenne. En même temps, le modèle s’est complété, précisé, élargi, alourdi des applications multiples qu’en ont faites les juridictions étatiques, notamment à l’intérieur de SENEGAL, commandées par les arrêts de la CDEAO des droits de l’homme et les décisions du Comité des droits de l’homme des Nations Unies. Enfin, le standard s’est imposé devant les juridictions internationales, aussi bien la Cour internationale de justice, les Tribunaux pénaux internationaux ad hoc, la Cour pénale internationale que devant l’Organe de règlement des différents de l’Organisation mondiale du commerce. Ainsi que le mettent en évidence les travaux de l’atelier de droit international de l’UMR de droit comparé de Paris, dans une recherche très convaincante , ce transit de la même notion, essentiellement d’origine jurisprudentielle, entre divers espaces normatifs, a emprunté toutes les voies de l’influence croisée des juridictions qui l’ont successivement développée : verticale et circulaire, hiérarchique ou consensuelle, jurisprudentielle et légale, mobilisant des arguments juridiques, sociologiques, éthiques, politiques, pour finalement s’ériger en standard d’une culture universelle du procès, applicable à toute forme de justice, voire à toute forme de débat public. Le poids culturel du modèle est si fort qu’il est désormais invoqué pour contester des dispositions spécifiques à certaines juridictions internationales, jusque là acceptées sans discussion dans la tradition de la justice internationale. Ainsi n’a-t-on pas, dans les propositions de réforme de la Cour de justice des communautés européennes, tenté de remettre en cause l’opportunité du renouvellement du mandat des juges, au regard de leur indépendance ? N’a-t-on pas contesté le mode de sélection des juges soumis par les Etats à une nomination à la Cour européenne des droits de l’homme, ou encore critiqué, plus ou moins vivement, les dispositions du règlement de la même Cour qui font que le juge d’un Etat siège systématiquement dans tous les recours où cet Etat est partie ? Ces interrogations viennent évidemment, parfois non sans raison, de la transposition, par imitation, aux juridictions internationales des garanties d’indépendance et d’impartialité des juges qui s’imposent à leurs homologues nationales. De la même manière, sont exposées à contestation, au regard du même modèle du procès équitable, les règles traditionnelles d’organisation et de fonctionnement des plus hautes et anciennes juridictions souveraines nationales. Au regard de la garantie d’impartialité, sont visés les conseils d’Etat conçus sur le modèle français, tout à la fois pour être consultés par le gouvernement sur la légalité de projets d’actes réglementaires et saisis au contentieux par des particuliers de recours sur la légalité de ces mêmes actes ; au regard de l’égalité des armes, est tout aussi contesté le mode de jugement des affaires devant le même Conseil d’Etat et la position occupée dans ce processus par le Commissaire du gouvernement. Par un effet réflexe, une notion née du concert international des juges leur revient sur un mode perturbateur. QU’EN EST-IL POUR UN PAYS OU LES JUGES D’UNE COUR DE TYPE SPÉCIAL SONT NOMMES SOUS L’HUMEUR DE L’EXÉCUTIF SEUL ET SEULEMENT. QU’EN EST –IL POUR CE PAYS QUI RETRAÇANT DES MAL ACQUIS, EN CIBLE CERTAINS INDIVIDUS JUGES DANGEREUX SEULEMENT ET NE TOUCHE POINT AUTRES; QU’EN EST-IL POUR CE PAYS, SI CERTAINS MEMBRES DE SON GOUVERNEMENT OU MÊME LE CHEF DE L’EXÉCUTIF NE PEUT EN AUCUN CAS JUSTIFIER SA RICHESSES; COMMENT CET EXECUTIF QUI, SE TROUVANT DANS UNE POSITION INCONFORTABLE A CAUSE D’UNE RICHESSE MAL ACQUISE QU’IL POCÈDE LUI MEME, NOMME LES JUGES QUI TRAQUENT LES BIENS MAL ACQUIS. SENEGALAIS, DEBOUT| DEBOUT SÉNÉGALAIS POUR REVENDIQUER UNE RÉPUBLIQUE DE DROIT, UNE JUSTICE ÉQUITABLE POUR TOUS! AUTREMENT LE PAYS EST RÉTROGRADÉ ET REFAIT SURFACE SOUS LES DOMINATIONS MONARCHIQUE, FÉODALES.
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onsieur Macky Sall
Président de la République
Dakar – SENEGAL
Objet : offrez votre patrimoine à la jeunesse sénégalaise
Monsieur le Président de la République,
La déclaration de patrimoine à laquelle vous avez procédé, conformément à la loi, au lendemain de votre élection comme quatrième président de la République du Sénégal, fait apparaître un patrimoine d’environ quatre milliards de francs CFA, selon notre compte. Néanmoins, cette déclaration ne dit pas la vérité, rien que la vérité et toute la vérité sur tout votre patrimoine car certains biens sont sous-évalués et les avoirs en banque et autres objets de valeur n’y figurent pas.
Biens sous-évalués : terrain de 2.069 m2 aux Almadies évalué à 200 millions FCFA alors que la valeur réelle est 500 millions ; villa à Fenêtre-Mermoz estimée à 130 millions alors que la valeur réelle est 600 millions ; Villa au Lac Rose évaluée à 12 millions alors que la valeur réelle est 50 millions.
Bien non évalué : terrain de neuf hectares à Sébikotane.
Avec 35 véhicules déclarés, vous détenez très certainement le parc automobile individuel privé à usage non commercial le plus important de toute l’histoire du Sénégal.
Votre patrimoine déclaré suscite toujours des interrogations légitimes sur sa provenance car vous n’avez jamais travaillé que pour l’Etat du Sénégal, en sept années, de 2001 à 2008, comme directeur d’une société nationale, ministre et parlementaire, sans être héritier de fortune, commerçant ou industriel. Partagez votre secret avec nous : comment fait-on pour constituer légalement un si important patrimoine en sept années, en n’ayant travaillé que pour l’Etat ?
Pourrions-nous vous suggérer d’offrir votre important patrimoine à la jeunesse sénégalaise ? Si vous en acceptez le principe, cela serait sous la condition d’en faire un fonds pour l’emploi des jeunes. Un appel à projets sera lancé et tout Sénégalais pouvant créer 10.000 emplois par année recevra une subvention d’un milliard. D’autres riches Sénégalais pourraient être tentés de vous suivre dans cette démarche et un cercle vertueux pourrait se dessiner au profit de la jeunesse et de tout notre pays. Cela peut être une voie sûre et éclairante pour la Citoyenneté et l’Emergence que vous prônez.
Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de nos sentiments patriotiques.
Mamadou Sy Tounkara, Présentateur de « Senegaal ca kanam »