Selon Dakaractu, malgré la déclaration de Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre regrettant au nom du Khalife des Mourides la caricature de Cheikh Ahmadou Bamba par le site de « Jeune Afrique », les cœurs ne sont toujours pas apaisés au niveau de la cité religieuse de Touba. Pour Serigne Modou Sidi Mbacké Abdou Lahad, la riposte devra être à la hauteur de l’attaque. » Nous avons décidé d’aller en guerre contre ce journal pour donner une leçon à tous ces détracteurs qui se préparent à saboter Touba! ». Le Mbacké-Mbacké d’annoncer deux plaintes contre respectivement l’auteur de la caricature et contre le directeur de publication du journal incriminé. » Nous avons achevé les démarches nécessaires et nous allons traduire ces individus devant la justice. Nous ne permettrons pas que Serigne Touba soit l’objet de leurs dessins. Il est temps pour nous de faire face à ces exactions. »
Le Populaire
Def leen ndank… Teey leen…
« On te cherche dans la nuit et toi tu brilles ». Si vous ne vous calmez pas en évitant de tomber dans ce piège à deux sous, vous allez détruire la très intelligente communication de serigne bass abdou khadre. Lui a compris ce qui se cache derrière et, moins on en parle, mieux ça vaut.
N’oubliez jamais que la communauté mouride en Europe a une importance capitale pour la confrèrie, ne les exposez pas !!! Baax na
Ndakh nga wakhko. On donne trop de l’importance à ces bandits qui visent nos symboles pour atteindre leurs objectifs. Il faut se poser une question: pourquoi depuis l’arrivée au pouvoir de Macky Sall, la question de l’homosexualité irrigue l’espace des débats au Sénégal? Les confréries ont intérêt à diagnostiquer la crise des valeurs à partir des causes endogènes. Demain les masques tomberont. Aux jeunes marabouts qui s’agitent, les motivations sont ailleurs. Les problèmes du Sénégal restent et demeurent l’effet de sensation, le bruit et le tintamarre qui ne subsistent que le temps d’une rose. La sainteté d’un élu de Dieu défie le temps et les stratégies sataniques. Mouhamed, l’élu, (PSL) a été caricaturé par des homosexuels, au nom de la liberté issue de la laïcité dont l’emphase dans les réformes constitutionnelle en vue au Sénégal est sans équivoque. Le véritable débat est ailleurs.