Le nouveau Directeur général de la police nationale (Dgpn) n’a pas encore pris fonction –ce sera fait ce mardi matin même- qu’il se met à placer ses hommes au niveau des directions de certains services de l’institution.
Oumar Mal, nouveau Directeur général de la police nationale (Dgpn), n’a pas donc trop attendu pour prolonger le vent de changement qui secoue la Police nationale. Avant même de succéder de manière effective à l’Inspecteur général de la Police nationale Anna Sémou Faye -ce sera fait ce mardi matin même- au poste de Directeur général de la même institution. Ainsi, une nouvelle vague de promotions et nominations qui touche ce corps et qui met fin aussi aux fonctions de plusieurs commissaires de police occupant des postes de directeur. Ces derniers étant admis à faire valoir leurs droits à une pension de retraite. A travers le communiqué sanctionnant la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, l’on apprend que Abdoulaye Diop, commissaire de police divisionnaire, précédemment chef du Service régional de sécurité publique et commissaire central de Dakar, est nommé directeur de la Sécurité publique où il remplace le commissaire de Police divisionnaire de classe exceptionnelle Oumar Mal, devenu directeur général de la Police nationale. Le commissaire de police divisionnaire de Classe exceptionnelle Matar Diop, jusqu’ici directeur de la Surveillance du territoire, devient coordonnateur national du Comité interministériel de lutte contre la drogue. A ce poste, il succède au commissaire de police divisionnaire de Classe exceptionnelle Pape Mafall Ndiaye, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.
Mame Seydou Ndour, commissaire de police divisionnaire quitte la direction de l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) pour devenir directeur de la Police des étrangers et des titres de voyage à la place du commissaire de police divisionnaire de Classe exceptionnelle Moustapha Elimane Sall, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. L’Ocrtis est désormais dirigé par le commissaire de police principal Idrissa Cissé qui quitte le poste de chef du Service régional de sécurité publique et de commissaire central de Thiès.
La direction de l’Ecole nationale de police et de la formation permanente échoit désormais au commissaire de police divisionnaire de Classe exceptionnelle Ousmane Guèye, ci-devant directeur du Groupement mobile d’intervention (Gmi), en remplacement du commissaire de police divisionnaire de Classe exceptionnelle Demba Sarr qui part à la retraite.
Le commissaire de police divisionnaire de Classe exceptionnelle Amadou Hamady Lam, qui était adjoint au directeur du Gmi, hérite des fonctions de ce dernier.
Enfin, Pierre Mendy, commissaire de police divisionnaire, précédemment chef du Service régional des renseignements généraux de Dakar, est désormais le directeur de la Surveillance du territoire. Il remplace à ce poste le commissaire de police divisionnaire de Classe exceptionnelle Matar Diop, appelé à d’autres fonctions.
Aucune femme parmi les nouveaux responsables
Dans ce lot de promotions pour certains hauts gradés de la police et de nominations pour d’autres, on ne note aucune femme. Pourtant, la police regorge de cadres représentatives de la gent féminine. C’est dire que la dimension genre dont tiennent parfois compte les autorités actuelles du pays dans les nominations à des postes de responsabilité n’a pas été intégrée dans le choix qui a présidé au choix des nouveaux responsables de la Police nationale.
Par ailleurs, le ministère du Tourisme et des transports aériens a un nouveau Directeur de l’administration générale et de l’équipement (Dage). Il s’agit de l’administrateur civil Edmond Kamara.
Le Quotidien
les femmes n’ont pas de place a la police a la gendarmerie encore moins au sein des forces armèes elles n’ont rien apportè a ces corps les femmes senegalaises ne sont pas faites pour ces genres de mètiers
ARRETEZ VOS CONNERIES DE GENRE ou de paritè c’est inadaptè au Senegal je ne suis pas rètrograde
les femmes doivent faire le mètier de sage-femmes,infirmières,magistrates,avocates,femmes de mènages,sècrètaires,mènagères,vendeuses de poissons,docteurs,marchandes de lègumes ou de fruits et ça suffit le RESTE EST UNE AFFAIRE d’homme