XALIMANEWS : Le nouveau directeur général du CICES ambitionne de redorer le blason de ce lieu mytique situé en plein cœur de Dakar. Salihou KEITA et son équipe sont, en effet, conscients de l’état des lieux et de l’énorme potentiel du Centre international du commerce extérieur. C’est pour cette raison qu’ils se sont donnés pour objectif de redresser la situation et d’amorcer la relance de l’entreprise. Ce, grâce à leur expertise unique et à la confiance de leurs partenaires.
La réhabilitation du CICES passe par plusieurs étapes : la diversification de ses activités, la réhabilitation du parc existant, la démultiplication du taux d’occupation et de fréquentation et l’inauguration de nouvelles activités, sources de revenus complémentaires et d’augmentation de l’usage des locaux rénovés.
Le CICES va ainsi rénover et mettre aux normes internationales les plus exigeantes ses infrastructures et ses services dédiés au Parc des Expositions et au Centre des Congrès.
CICES : les stratégies mises en place par le Salihou KEITA pour la relance
Date:
1 COMMENTAIRE
LAISSER UN COMMENTAIRE
DANS LA MEME CATEGORIEEXCLUSIVITE
Présidence de la Banque africaine de développement : Amadou Hott, candidat du Sénégal, reçu en audience par Ousmane Sonko
XALIMANEWS-L’État du Sénégal soutient activement la candidature d’Amadou Hott...
Démarrage de la campagne agricole 2024-2025 : La Sonacos envisage de collecter 300 000 tonnes de graines d’arachide
XALIMANEWS-La Société nationale de commercialisation des oléagineux du Sénégal...
Budget: Deux projets de loi de finances adoptés en Conseil des ministres
XALIMANEWS: Le gouvernement a examiné et adopté un projet...
Fraude fiscale dans le secteur minier : 95 milliards FCFA perdus chaque année
XALIMANEWS - Des quotidiens, dans leurs publications du mardi,...
A dire vrai, le C.I.C.E.S n’est plus au diapason de ce qui est fait dans les pays modernes. Je ne compare même pas aux centres des expositions des pays développés, mais à ce qui est fait dans des pays à peu près comparables au nôtre sur le plan économique et historique . Quand je vois ce que les Marocains, les Tunisiens réalisent dans le domaine de ce genre d’infrastructures, je pleure de honte. C’est comme comparer la ville de Rufisque si délabrée, si anachronique, à une ville comme Nice, l’écart est énorme d’autant plus que les autorités Sénégalaises nous bassinent avec des slogans du genre « Sénégal émergeant » et autres fadaises ! Donnons-nous les moyens d’avoir des infrastructures moderne et spacieuses, loin de Dakar pour accueillir des expositions, foire diverses à la mesure de ce que nous prétendons représenter en Afrique, à l’image de nos cousins Ivoiriens et Marocains qui bâtissent sans trop claironner sur tous les toits.