Le dilemme du Président. J’ai senti un président dépité, apathique à la limite désabusé lors de son discours de retour de villégiatures. Comme un médecin après la mort et le bourreau qui va rendre visite à ses victimes, l’image est pathétique et pleine de symboles. Personne ne conteste au président son désir de développer le pays et personne ne peut prétendre être dans ses pensées pour douter de son patriotisme. Mais force est de constater qu’il est dans un dilemme inextricable. Entre le parti et la patrie, il a choisi le parti car son premier désir dès son élection est la massification de sa formation politique et depuis il ne cesse de poser des actes dans ce sens. Les dernières élections locales ont montré de nombreux actes de trahison de son parti par rapport aux alliés de sa coalition. Monsieur le Président de la République est prisonnier des lobbies et du dictat des institutions financières internationales qui bloquent son action pour le pays. Il a plusieurs fois avoué son impuissance à conduire les changements salutaires pour le pays. Comment peut-on comprendre qu’il refuse de réformer en profondeur pour donner la priorité au pays ? Le Sénégal a besoin de souverainetés politique, économique, monétaire, financière et énergétique pour se développer. A la place il signe toujours des accords qui renforcent la dépendance du pays et son endettement. L’objectif de l’émergence pour 2035 est une grosse imposture car un pays sérieux et bien géré peut obtenir des résultats tangibles entre 5 et 10 ans. Les nombreux scandales, bavures policières et incohérences qui sont constatés chaque jour illustrent le niveau de ruines des fondations de notre société, fondations sur lesquelles il veut construire sans les réformer. Des pans entiers de la société sénégalaise sont encore gangrénés par la corruption, la concussion, les prises illégales d’intérêt et autres trafics d’influence. De nombreux ministres et directeurs de sociétés nationales ou d’agences sont de connivences avec des cabinets privés et se livrent sans vergogne à des opérations de surfacturation et de détournements de deniers publics. Les milliards de fonds politiques de la présidence ne sont que des moyens de corruption et de trafics d’influence. Les interconnexions familiale et amicale du président, les chantages et menaces constituent des freins au bon fonctionnement de nos institutions. Au Sénégal les gens s’entretuent pour de l’argent et font plus confiance au marabout qu’à l’éducation et la formation comme levier de l’ascenseur social. Le peuple a l’impression que le système qui le prend en otage depuis 54 ans est toujours de rigueur. PAR AMOUR POUR MON PAYS, je ne peux pas faire confiance à un tel Président de la République car il manque de courage et de crédibilité donc de leadership pour mener le bateau Sénégal à bon port. PAR AMOUR POUR MON PAYS, je récuse le dictat des institutions internationales car contraire aux intérêts de mon pays et je revendique notre souveraineté politique, notre propre monnaie nationale, un système (bancaire, industriel et commercial) contrôlé à 90 % par les nationaux et l’utilisation massive des énergies renouvelables pour assurer notre indépendance énergétique. PAR AMOUR POUR MON PAYS, je récuse tout front patriotique constitué par des prédateurs qui veulent se recycler en tirant sur l’ambulance et tromper le peuple. PAR AMOUR POUR MON PAYS, je revendique pour le vaillant peuple sénégalais le droit à une éducation de qualité, à chaque sénégalais une formation tout le long de sa vie, un emploi décent, la sécurité d’un logement, un cadre de vie adéquat, une santé et une protection sociale pour toute sa famille. PAR AMOUR POUR MON PAYS, je suis prêt à sacrifier ma vie pour défendre jusqu’à mon dernier souffle l’égalité des chances, l’intérêt général, l’intérêt national, la paix, la justice, la solidarité et le progrès…..Que Dieu protège le Sénégal de l’action néfaste des prédateurs et des mafieux
DEPECHES
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bravo encore monsieur le president
La presse senegalaise est tres mechante
La méchanceté est le propre du lobby ethnocentriste qui s’agite depuis quelques temps . Xalima est un élément de ce dispositif et leur manœuvre n’echappe à personne.
le presse sénégalaise je n’arrive pas a les comprend que toujours il met du feu Dieu protège notre pays
quant a peps gueye on ta paye combien
@Habib et Sidiki Diouf tels des gordjiguenes que vous etes vous simplifiez le debat par des iinsinuations et des calomnies ce monsieur a eu le courage de dire ce qu’il pense il a fait un constat
Maintenant je ne comprends pas les gens de l’APR qui est un embryon de parti politique vous insultez toute personne qui n’est pas d’accord avec vous des que Idrissa Seck parle vous ouvrez vos grandes gueules pour le qualifier de tous les noms d’oiseaux
En 2017 vous allez insulter tout le monde car vous serez balaye au premier tour
MACKY SALL EST INCOMPETENT ET NUL VOILA DEUX ANS ET DEMI QU’IL EST A LA TETE DE CE PAYS le bilan est catastrophique d’ailleurs l’annee prochaine sera encore plus dure avec cet hivernage catastrophique la famine s’annonce dans le monde rural il y aura pas de mil pour les paysans ni de foin pour le betail
Comment cet Etat va apporter son soutien au monde paysan et aux eleveurs ?
Comment cet Etat va gerer la prochaine rentree scolaire ?
ca fait lomgtemps que j’ai pas lu un pareil article objectif et rigoureux, tellement notre site xalima verse ces derniers temps dans la polemique !!! vivement l’objectivite
un act de responsable..ceci montre k vous etes entrin de prendre soin de population malgrés lé difficulté que rencontr notre pays en ce moment..une penséé envers la population sénegalaise nous renconforte..yalna yalla yokk sa taxaway mayla kattane nga dokhal rééwou sénégal si ana you gueneu raféte
un peu ragot ce titre là,c’est quand meme humain ce qu’il a fait;c’est pas mon president mais bon faut avouer qu’il a fait preuve d’humanité ici,faut dire que vos titres sont quelque fois torchons et pas trop jojo des fois aussi;mais bon du courage quand meme
Lundi 2 Juin 2014
Source : http://www.veritedujour.com
Cheikhou Oumar SOW
La volonté du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Mary Teuw Niane, d’engager des ruptures radicales pour la réforme du Supérieur, fait grincer des dents. Le paiement des bourses, question très sensible, a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. D’un budget de 40 milliards en 2012, les allocations boursières ont été limitées à 28 milliards F Cfa par les nouvelles autorités. De quoi susciter le courroux des étudiants. Même si par ailleurs, prés de 4000 boursiers fictifs ont été découverts.
Attaqué de toutes parts: Mary Teuw Niane face à un cocktail explosif
L’enseignement supérieur est un secteur à problèmes. Le Pr Mary Teuw Niane, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, fait l’objet de toutes les critiques sur ses méthodes de gouvernance d’un secteur allergique aux réformes. Les négociations ont tout aussi été houleuses quand il s’est agi de l’application de certaines mesures issues des Concertations nationales sur l’avenir de l’enseignement supérieur (Cnaes). En cette période, le Constitutionnaliste Ismaila Madior Fall, professeur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) devenu ministre conseiller juridique du président de la République, déplorait la façon dont les réformes se sont imposées aux étudiants. De l’avis de cet universitaire, il fallait donner aux étudiants le temps de bien apprécier les réformes pour se préparer en conséquence. Se faisant ainsi l’écho des préoccupations d’une frange d’étudiants qui demandaient un délai d’un an supplémentaire avant d’appliquer les conclusions des réformes prônées au sortir des concertations nationales.
Le Sociologue Malick Ndiaye, ministre-conseiller du chef de l’Etat, semble tirer dans le même sens, en allant jusqu’à réclamer la tête du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche. « La mesure d’apaisement élémentaire serait que le ministre de l’Enseignement qui a fait échec, rende son tablier de lui-même ou qu’il y soit forcé (…) Mary Teuw Niane a mal géré la situation à l’Université. Et quand on est incompétent et qu’à chaque fois on utilise les mesures autoritaires, en poussant le gouvernement ou le président de la République à utiliser des mesures administratives, policières, la voie de la sortie est toute indiquée », a fait savoir le Pr Malick Ndiaye.
Selon le Syndicat autonome des enseignants du supérieur (Saes), « la violence d’où qu’elle vienne, ne saurait sous aucun prétexte, se justifier dans l’espace universitaire. La situation était déjà très tendue à cause d’un grand retard lié au paiement des bourses. » S’y ajoute, selon le Saes, « le problème du master pour tous réclamé par une partie des étudiants et une présence policière dans l’espace universitaire depuis le jeudi 21 novembre 2013, en violation flagrante de la loi 94-79 relative aux franchises universitaires. » Le Saes a donc recommandé le dialogue face à des étudiants qui demandent « le master pour tous », tout en précisant, sur le plan sécuritaire, que « le Saes n’est pas contre l’intervention de la police mais cela ne doit se faire que dans les conditions définies par la loi 94-79. »
De source bien informée, la vérité sur les bourses des étudiants sénégalais, c’est qu’en 2012, l’enveloppe prévue pour les bourses était de 21 milliards. Une rallonge de 19 milliards F Cfa a été, par la suite, accordée parce que le montant initial était insuffisant. Ce qui fait un total de 40 milliards F Cfa. Cette année, le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche a une enveloppe de 28 milliards et quoiqu’il advienne, la consigne est de ne pas dépasser ce montant qui est, visiblement, insuffisant. Pour résoudre cette équation, les autorités, sous couvert des réformes de la Cnaes et d’un plan stratégique, ont décidé de changer les règles du jeu en intégrant de nouveaux critères dans l’attribution des bourses. Ces critères ne sont pas connus des étudiants qui sont actuellement dans le circuit. « De nombreux étudiants pensent qu’il y a un retard concernant leurs bourses mais, en réalité, ils ne la percevront jamais parce que désormais inéligibles au vu des nouveaux critères », selon cette source.
@cheikh Oumar Sow menteur et leche-cul
La volonté maléfique de Marie Teuw Niane le peulh berger de Sanar connu à l’université Gaston Berger pour sa grande jalousie et sa méchanceté légendaires sera réduite dans les prochaines heures au néant
Marie Teuw Niane ignore complètement ce que signifie une réforme et l’esprit d’une réforme car il est diplômé certes mais il n’est pas un intellectuel il ne possède pas la culture générale pour manager sa nomination comme recteur de St Louis avait créé beaucoup de bruits à l’époque et beaucoup prédisaient des conséquences terribles quand il a été nommé ministre de l’enseignement supérieur car l’homme est connu et il ne fait pas bonne figure dans le milieu universitaire de par son arrogance et ses méthodes brutales
En 1994 il a voulu renvoyer 90% des étudiants de l’UFR de mathématiques de St Louis car il y avait une année invalidée c’est le chef du département le professeur feu Galaye NDiaye un homme paternaliste un homme pieux et bien que Dieu l’accueille au Paradis qui s’ est opposé à cette mesure sauvant la tête de centaines d’étudiants qui sont tous devenus des informaticiens et des professeurs de Math
Y a pas plus mauvais que Marie Teuw Niane demandez à ses collègues de St louis
http://xibaaru.com/exclusivites/exclusif-un-compte-bancaire-de-macky-affiche-7-milliards-cfa-en-2007-document-de-banque/
sorry , mon commentaire n’etait pas destine pour ce torchon d’article qui ne fais que affirmer l’inobjectivite que je disais tantot @kouthia
A celui qui a écrit l’article, qu’il médite sur la relation du gouverneur et de son peuple, car Allah par sa sagesse a établi des dirigeants et des citoyens, leurs gouverneurs en fonction de leurs oeuvres. Plus encore, c’est comme si leurs œuvres apparaissaient sous la forme de leurs gouverneurs: S’ils sont sur la voie droite, leurs dirigeants le seront aussi; s’ils sont équitables, les dirigeants seront justes envers eux; s’ils sont injustes, leurs gouverneurs seront injustes; si la ruse et la traîtrise apparaissent chez eux, il en sera de même pour leurs gouverneurs; s’ils leur refusent les droits d’Allah, leurs gouverneurs leur refuseront leur droit; s’ils prennent de celui qu’ils méprisent ce dont ils n’ont aucun droit dans leurs relations, leurs dirigeants prendront d’eux ce dont ils n’ont aucun droit, leur imposeront des taxes et des charges, et à chaque fois qu’ils le prendront du faible, les gouverneurs le leur prendront par la force. Tout dépend donc de leurs actes, et la sagesse divine veut que gouverne les gens mauvais et pervers celui qui leur ressemble. Mais nos gouverneurs sont à notre image, et les gouverneurs de ceux d’avant nous étaient à leur image, et chacun des deux cas est conforme à la sagesse. Et si l’homme perspicace parcourt par la pensée ce sujet, il verra la sagesse divine se manifester dans le décret et la prédestination, apparente et cachée, que ce soit dans la création ou le commandement. Prends donc garde que ta pensée corrompue ne t’amène à croire qu’une part de Son décret et Sa prédestination soit dénuée d’une profonde sagesse. Au contraire, l’ensemble de Ses décrets et prédestinations se réalise avec la sagesse et la justesse la plus parfaite.
La tragicomédie d’un président comédien inculte et nullissime en mal d’inspiration. Il va continuer à nous gratifier d’un cirque inclore et inodore jusqu’à la fin de son mandat; et c’est triste pour ce beau pays.
[…] Comme un médecin après la mort et le bourreau qui va rendre visite à ses victimes […]
du importe quoi il est difficile de dirige le Sénégal que dieu protège notre chère pays