Coronavirus au Sénégal : l’heure est grave

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XALIMANEWS- La tendance à la hausse du coronavirus se poursuit au Sénégal. Le nombre de cas continue de monter. Aujourd’hui, c’est le ministre de la santé, Abdoulaye Diouf Sarr, lui même qui a fait le point du jour du coronavirus.
Il a profité de l’occasion pour alerter sur cette maladie qui est plus que jamais présente au Sénégal. « Cette situation montre l’urgence et la nécessité de nous mobiliser d’avantage et de renforcer le système de prévention et le respect des mesures barrières. Je lance, à nouveau, un appel à de tout un chacun à se protéger et protéger les siens et surtout protéger toute la communauté. Nous continuerons à d’avantage protéger notre personnel de santé et de l’action sociale dans l’exécution de leur mission. C’est dans l’unité et la cohésion que nous parviendrons à vaincre la Covid-19 », a indiqué Abdoulaye Diouf Sarr.

Mariama Kobar Saleh

1 COMMENTAIRE

  1. Les tests utilisés pour déclarer positif ou négatif sont des tests PCR. L’inventeur de ces tests, qui a eu un prix Nobel de médecine pour cela, a recommandé de ne pas les utiliser pour détecter des virus, parce qu’ils donneraient des résultats faux. Pour les besoins de la terreur covid 19, on dit à l’inventeur des tests; « Merde ! Tu peux inventer, mais tu ne peux pas nous conseiller ce que nous devons en faire ».
    Et le principe est celui d’amplifier les signaux des particules dans l’échantillon à tester. Il y a donc le choix du niveau d’amplification ( cycles, ou fréquences, amplifications, agrandissements). Avec des cycles faibles, les tests ne trouveront aucun malade. Avec des cycles trop forts, tout le monde sera détectés malades, porteurs du virus. Alors tout est question du niveau d’amplification. Et tous les pays du monde n’ont pas choisi le même niveau d’amplification. Ce qui fait que vous pouvez être testé négatif dans un pays donné, et malade dans un autre pays, le même jour, avec le même échantillon. Tout pays du monde, s’il est libre de son choix, choisit le niveau d’amplification qu’il trouve être le plus judicieux pour donner les résultats les plus fiables. Tout en sachant, qu’honnêtement, on n’aura jamais une certitude, quelque soit le cycle choisi, tant qu’on n’aura que ces tests PCR pour savoir qui est malade et qui ne l’est pas. C’est ce que la cour suprême de Portugal a jugé, faisant ainsi jurisprudence: les tests PCR pour connaitre les positifs et négatifs ne sont pas fiables. Mais puisque c’est ce qu’il y a, on va les utiliser, mais en sachant que toute loi ou mesure basée sur les résultats de ces tests est illégale.
    Qu’on continue donc, d’utiliser ces tests, pour retenir leurs résultats comme des faits scientifiques incontestables à déverser dans les médias, à répéter en masse, n’est que stratégie de terrorisme covidiste. Du faux et de l’incertain à hurler pour faire peur. Rien de scientifique, rien de médical. Je rappelle que 11 médecins de Fann avaient été déclarés positifs. Ils n’ont fait que contester ces résultats. Les tests furent repris et ils furent tous déclarés négatifs, à 100%. Rien de scientifique. Un simple outil de terreur.
    Un pays peut décider de faire une deuxième vague, c’est facile, il suffit d’augmenter le nombre de tests et hausser l’amplification, les cycles. Un pays peut décider de ne pas faire de vague du tout, il suffit de baisser les cycles et de réduire le nombre d’échantillons à tester quotidiennement.

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