XALIMANEWS : Le Ministère de la Santé et de l’Action sociale a fait le point du jour de la pandémie de Covid-19. Sur 226 tests effectués, 8 nouveaux cas ont été enregistrés. Il s’agit de 3cas contacts suivis et 5 issus de la transmission communautaire. 13 patients sont déclarés guéris. A ce jour, le Sénégal a enregistré 350 cas positifs dont 211 guéris, 3 décés, 1 évacué, 135 sont encore sous traitement.
DEPECHES
DANS LA MEME CATEGORIEEXCLUSIVITE
Vivre avec la dépression : L’invisible lutte…
XALIMANEWS- Le diagnostic est sans appel. C'est presque le...
Ziguinchor : 4656 personnes vivent avec le VIH (conseillère technique régionale)
XALIMANEWS: (APS) Au total, 4.656 personnes vivent avec le...
Santé : 71% des enfants sont anémiés au Sénégal
XALIMANEWS- Au Sénégal, l'anémie chez les enfants atteint des...
Révélations: “À Koungheul, pour être consultés par un médecin, les koungheuloises et koungheulois doivent payer un ticket de consultation de 10.000 FCFA”
XALIMANEWS: “À Koungheul, pour être consultés par un médecin,...
Actuellement, au Sénégal, le profil épidémiologique du covid-19 est quasi identique à celui de la grippe saisonnière, en terme de morbidité et de mortalité – on touche du bois ! Il faut donc dédramatiser, car l’immense majorité des sujets atteints ne présentent pas de complications. Et certes, le nombre de sujets positifs a augmenté dans notre pays, mais il n’y’a rien d’inquiétant pour le moment, en dépit des cas issus de la transmission communautaire ; c’est même un miracle qu’on soit à ce niveau de contamination ; de plus, l’état de santé des sujets atteints est rassurant (prévision de guérison), ce qui peut laisser présager une faible virulence du coronavirus dans notre pays – qu’Allah fasse qu’il en soit toujours ainsi !
Oui, pour l’appréciation de la gravité de l’épidémie, ce n’est pas le nombre de cas positifs (contact ou communautaire) qui est déterminant, mais plutôt le pourcentage de cas graves par rapport au nombre total de cas testés positifs. Et c’est dire que si le nombre de cas graves est bas et le demeure, plus le nombre de cas positifs augmente, plus la situation est favorable, car témoigne d’une moindre dangerosité du virus. Ainsi, à partir d’un seuil (nombre significatif de cas positifs), les autorités sanitaires serait même en droit de laisser l’épidémie évoluer plus ou moins naturellement, comme une grippe saisonnière, en demandant aux sujets à risque de se protéger (port de masque, entre autres).
Et tout cela pour montrer que la situation n’est pas grave et qu’il n’y’a pas lieu d’intensifier les mesures de restrictions (état d’urgence, couvre-feu, fermeture des écoles, des marchés et des lieux de culte).