Le Comité national de suivi des Assises nationales dit regretter « profondément », lors de sa plénière du 9 avril dernier, cette fin de non-recevoir ainsi motivée par le chef de l’Etat. Le Comité national de suivi des Assises nationales continue de penser que, pour mettre fin à la grave crise qui prévaut en Casamance, « il est indispensable d’en faire une priorité nationale en réalisant autour de sa solution le consensus le plus large possible des Sénégalais ».
« Les Assises nationales ont déjà montré qu’elles étaient en mesure de donner des avis et d’élaborer des propositions réalistes et pertinentes sur les préoccupations des Sénégalais. Aussi continuent-elles, répondant en cela à l’aspiration des populations, d’œuvrer résolument et, selon leur possibilité pour la paix en Casamance et la concorde dans le pays », dit le comité national de suivi des concertations nationales.
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