DirectNews s’est souvenu de la fameuse phrase du premier président Sénégalais, Léopard Sedar Senghor, qui avait prédit qu’en l’an 2000, Dakar sera comme Paris.
Selon le journal, « le Cap-Vert est devenu un cap béton mais Dakar n’est pas encore comme Paris. Dakar est devenue la tête bien trop grosse d’un pays bien trop maigre de 16 millions d’habitants et 196 000 km2 ».
» Dakaaru, la cité refuge, n’est plus l’asile de paix aux mers poissonneuses et aux forêts giboyeuses où il faisait si bon vivre. Aujourd’hui, plus que tous les autres, la capitale Sénégalaise ainsi que sa population ont besoin d’aide et d’assistance.
Si la pauvreté se mesurait au nombre d’habitants vivants dans la rue ou dans les dépotoirs, Dakar serait en tête de peloton.
Celui qui veut reverdir son désert doit prendre soin de ses points d’eau. Prenons soin de nos oasis si nous voulons vaincre le désert du sous-développement et du mal-vivre » Nous dit l’auteur.
Un rêve qui s’appuie sur la promotion de la culture, de l’art et de l’ouverture sur le monde.C est un rêve de dimension universelle que nous devrions perpétuer et réaliser La continuité dans la vision pérenne incombe aux régimes successifs sans rupture.Ayons de la suite dans nos sans rupture ni abandon