Dame Mbodj: « l’opposition sénégalaise est faible »
DEPECHES
DANS LA MEME CATEGORIEEXCLUSIVITE
Violation des dispositions de l’article L277 et autres pour déclarer Monsieur le maire Barthélémy Dias démissionnaire (Par Abdourahmane Maiga)
Le principe des droits acquis dont bénéficie Barthélémy Dias...
[Vidéo] Révocation officielle : La conférence de Barthélémy Dias perturbée par la police
XALIMANEWS-Alors que le maire de la ville, Barthélémy Dias,...
Urgent-France : François Bayrou nommé Premier ministre, le Parti socialiste réaffirme son opposition au Parlement
XALIMANEWS-Emmanuel Macron a tranché. Le président de la République...
Santé-Centenaire de l’Institut Pasteur de Dakar : le président Bassirou Diomaye Faye a inauguré le Vaccinopôle de Diamniadio, Un tournant majeur pour la santé...
XALIMANEWS-À l’occasion du centenaire de l’Institut Pasteur de Dakar,...
Dame Mbodj prône une violence qui ne le laissera pas indemne, ni lui ni ses vauriens paresseux de leur coalition bidon « le Peuple » ! Tout le monde sait que vous voulez vous positionner avant les locales et les législatives en polluant les médias pour préparer votre candidature. Alors pourquoi vous cachez votre jeu malsain et indigne ? Ne pense pas que parce que la majorité silencieuse du pays vous laisse pérorer dans les médias que vous n’êtes pas honnis et surveillés. Votre coalition est la plus sinistre des coalitions du pays, c’est une bande d’assassins, d’insulteurs, de violeurs, de manipulateurs, de voleurs. Clédor Sène a tué Me Sèye. Karim Xrum machin a arnaqué des filles immigrées sur des millions. Assane Diouf est un raté qui n’a pas été foutu de construire même une case à sa mère à Thiaroye après 15 ans aux USA. Toi-même Dame Mbodj tu as enceinté une élève de 2e cycle au Lycée Limamou Laye au début des années 2000. La fille et sa famille ont terriblement souffert, il y a eu un arrangement indigne et tu as quitté précipitamment le lycée pour aller en Casamance ! Un tel énergumène ne peut donner aucune leçon de morale. Mais comme Adji Sarr, le akhe de cette fille s’abattra bientôt sur toi et ton Yolom Guénio national…
En 2012, c’est ce qu’on disait quand Wade avait brigué un 3e mandat; La nature a horreur du vide. Le peuple a des ressorts i insoupçonnés.
La structuration politique, sociale et économique du senegal, ne peut permettre à une quelconque opposition d’exister et d’être forte tout le temps. L’opposition au senegal n’a pas de moyens financiers et matériels pour être capable d’être sur le terrain en dehors des années électorales surtout à l’approche de l’élection précédentielle. Les partis politiques n’ont aucune subvention ou retombée de participation à une élection, ni une loi claire et actualisée qui leur permet de faire des levées de fond. Le parti Pastef qui a innové en appelant ses partisans à participer à une levée de fond a été intimidé et même menacé d’exclusion et la population ne les a pas soutenu suffisamment pour améliorer ce fait. Ce qu’il faut plutôt dénoncer c’est le parti-etat. L’utilisation des bien financiers et matériels de l’état par le parti au pouvoir pour sa politique. L’existence des fonds politiques qui élimine toute concurrence loyale. Regardez ce que sont devenus la maison du parti socialiste été siège du PDS. Juste des batiments fantômes, rien ne s’y passe. Le PS a même été obligé de vendre les terres qui délimitent son siège pour exister. Attendez de voir ce que va devenir le siège de l’APR le jour où ils perdront le pouvoir. Ils n’auront jamais les mêmes moyens qu’aujourd’hui. La soi-disante tournée économique de macky est juste une tournée politique avec les moyens de l’état.
Si on veut que les partis de l’opposition existent il faut entre autres :
1. Eliminer les fonds politiques
2. Réactualiser le financement des partis politiques par les militants et sympatisants pour permettre à ces derniers de contribuer à la politique participative. Cela évitera d’avoir un parti qui a sa tête un roi qui décide de tout parce que c’est lui qui est en même temps chef et finance le parti. La démocratie dans les partis politiques ne sera que renforcer.
3. Faire des retours d’argent pour chaque parti ou candidat qui participe à une élection et qui obtient au moins 5% du vote: lui rétribuer 100 ou 1000 CFA par vote obtenu.
4. Supprimer les doubles fonctions, qui permettent à un ministre ou DG ou un maire d’occuper une autre fonction parce que ces derniers sont toujours en conflits d’intérêts et utilisent les biens matériels et financiers de leur ministère ou direction pour faire de la politique. Donc concurrence déloyale et risque élevé de détournement de fonds ou d’objectifs.
5. Changer la loi de création de partis politiques pour permettre la création de parti politiques départementaux et communales qui competissent seulement au niveauoxal. Donc, suspendre les partis politiques nationaux de participer à une élection locale. Seuls les citoyens qui résident dans la localité doivent competir pour être maire ou conseiller. Pour passer d’une décentralisation administrative qu’on a aujourd’hui à une décentralisation démocratique.
Voilà juste quelques idées si on veut vraiment faire de la bonne gouvernance et contribuer à la vraie démocratie.
Des efforts louables de réflexion et de propositions concrètes qui méritent de retenir l’attention concernant une question essentielle de notre vie démocratique et politique
La question des partis politiques chez nous souffre d’absence d’analyse approfondie sur leur évolution. Un domaine marqué par :
-La violence
-Absence de démocratie à l’interne
-Faiblesse organisationnelle
-Faiblesse de règles constitutionnelles
Désordre intérieur
Des réseaux clientélistes axés sur les marabouts de plus en plus sollicités dans le social et la politique faussant le clivage temporel-Spirituel;
La corruption des cadres des partis et leur propension à la transhumance
Le nombre pléthorique de partis politiques car chacun veut être son propre bosse, jouer sa propre carte et la difficulté effarante de travailler en équipe ou en groupe dans un grand parti
Des membres caractérisés par la trahison, la félonie, la fourberie, l’hypocrisie et la flagornerie avec des sorties intempestives de dénigrement, de divulgation de secrets et de parjure dont les messages passent dans nos médias comme des lettres a la poste; Des manquements graves banalisés devenus des lieux communs