Le propre de certains « intellectuels » est de théoriser sur tout et n’importe quoi alors que face à l’épreuve du travail pratique ils échouent de façon lamentable.
C’est cette impression qui se dégage quand on prend connaissance du résumé fait d’une partie de l’ouvrage de Boubacar Boris DIOP notamment sur le jugement qu’il porte sur l’action du Président
Macky SALL à la tête du Sénégal.
Quel mauvais procès que de vouloir comparer l’action de ce dernier depuis son accession à la magistrature suprême à celle de l’ancien Président malien Amadou Toumani TOURE ; encore que son jugement sur A.T.T est fondé sur des analyses impertinentes et incomplètes. Le seul tort du Président
A.T.T est d’avoir subi une agression de forces anti démocratiques ou extrémistes au point, qu’à son corps défendant, son pays en fut ébranlé.
Mais revenons au sujet qui nous intéresse. Que lui reproche B.B DIOP ? Un supposé partage du gâteau se basant en cela sur une prétendue distribution des responsabilités aux acteurs politiques et de la société civile.
C’est là une preuve manifeste de mauvaise. Dans toutes les démocraties, même les plus avancées, l’exercice de l’activité gouvernementale s’est toujours fait par le ou les partis aux pouvoirs de même que leurs alliés. Il n’y a donc rien de nouveau sous les cieux à la différence que le Président SALL a innové en ne choisissant que de bons profils.
Macky SALL n’a, à ce jour pas nommé un seul ministre ou Directeur national pour le destituer aussitôt pour cause de faux C.V ou d’incompétence contrairement à ce qui a pu se faire dans le régime
précédent. Les profils choisis par le Président de la République ont toujours été fonction de la stature de haut cadre ou de personnalité émérite.J’en suis même venu à me demander si ton texte Monsieur DIOP ne parle pas de la gestion faite de ce pays par Abdoulaye WADE plutôt que par l’actuel régime.
De quel Sénégal parles-tu vraiment ?
Monsieur Macky SALL ne cesse de donner au Sénégal des gages attestant à souhait de son option de mettre « la patrie avant le parti », j’allais même dire la patrie avant les partis.
Son souhait de restaurer les valeurs de la République l’a poussé très souvent à s’aliéner certaines franges de son parti. J’en veux pour preuve la récente levée de boucliers de certains jeunes ou
responsables de jeunes quant au choix porté sur la nouvelle direction de l’agence de promotion de l’emploi des jeunes. Il n’y a qu’avec le Président SALL qu’on note de façon récurrente la sortie de responsables A.P.R réclamant des postes de responsabilités sans que le Président de la République ne cède au chantage. Pourtant ce sont ces responsables qui se sont battus pour lui et qui continueront de le faire sans condition.
Assurément je vous pense hors sujet, et dans l’espace, et dans le temps.
Parlons maintenant de corruption. De quelle avancée de la corruption veux-tu nous parler ? La crispation des rapports politiques ne découle-elle pas de cette détermination du Président d’opérer une reddition des comptes ? Le Président SALL n’est-il pas allé plus loin en soumettant même les siens à un office de lutte anti corruption ?
Voyez vous, Monsieur DIOP, ce qui gène beaucoup d’analystes supposés c’est cette ligne devenue même obsessionnelle du Président de la République de vouloir faire l’état des lieux sans concessions
et de mettre les bons profils au service du Sénégal et des sénégalais et de réhabiliter une image assez écornée de notre pays.
Au lieu de magnifier les bonds qualitatifs faits en matière de politique sociale où notre pays vit une formidable révolution unique en Afrique noire et les réussites des campagnes agricoles, au lieu de mettre en exergue le couplage de cette politique sociale novatrice et cette vision du futur d’un vrai Sénégal émergent, votre communication, comme celle de certains acteurs politiques nous font croire que nous vivons une détresse dans ce pays au point de théoriser que le Président n’arrivera pas à terme de son mandat.Mais les sénégalais ne sont pas dupes, ils ont appris à se méfier des beaux discours ou des diatribes et préfèrent juger les hommes politiques sur leurs actions plutôt que sur une opinion
publique que vous autres voudraient façonner selon vos propres fantasmes.
El hadji Mamadou Diao dit Mame Boye Diao responsable apr kolda
Boris a parfaitement raison. Il faut que les masques tombent. Pourtant avant Boris:
Coup de Rappel: Ibrahima Sène à Macky Sall « Tu as assez menti aux Sénégalais, il est temps que tu sois découvert »
ARCHIVE: Lors d’un meeting à Fatick, Macky Sall avait déclaré: « Les allégations du chargé des questions économiques du Parti de l’indépendance et du travail (Pit) sont fantaisistes. Le fait de m’accuser d’être le candidat de l’étranger, la France plus particulièrement, relève de l’affabulation pure et simple ».
Il faut croire qu’entre Ibrahilma Sène et Macky Sall, le courant ne passe pas. Dans une lettre parcourue par le quotidien le Point du jour, la réponse d’Ibrahima Sène ne se fait pas attendre. Ibrahima Sène demande à Macky Sall d’expliquer aux Sénégalais pourquoi, en pré-campagne électorale, il a été le seul candidat à être reçu par les présidents du Gabon, du Togo et de la Côte d’Ivoire.
Avant d’ajouter: « Et comment Macky Sall peut expliquer qu’il ait bénéficié du soutien public du parti de Sarkozy (Ump) le jour de son congrès d’investiture à Dakar ? ».
Ibrahima Sène est allé même jusqu’à accuser le patron de l’Alliance pour la République (Apr) d’appartenir à une loge maçonnique et d’avoir signé le pacte de cette secte sous l’égide de feu Bongo. Il ne s’est pas arrêté là. Il a également allégué que Macky Sall a acheté une station de radio à 200 millions, une maison à 1 milliard mise au nom de son épouse, un château à Peulga nord… Et Ibrahima Sène d’invectiver le candidat qualifié au second tour: « Tu as assez menti aux Sénégalais, il est temps que tu sois découvert ».
Nous n’avons pas encore oublié !!!
sunuker
A mon avis, les vrais raisons des actes de Macky ont été révélées par Sene bien avant qu’il ne soit élu. Il reste que plus le temps s’écoule, plus tout le monde comprend.
En matière de faux CV, il y en a belle et bien. Il y a même de fausses identités. Tenez la ministre Anta Sarr était en faite Mme Diacko Sarr. Elle tenait à cacher que son époux est le cousin de Macky. Et l’état a été complice de cette duperie.