Info filée par Seneweb : La chanteuse Déesse Major placée en garde à vue, hier, par la Sûreté urbaine pour attentat à la pudeur et atteinte aux bonnes mœurs, a appris Seneweb de sources dignes de foi. Le commissaire El Hadji Cheikh Dramé a exécuté un soit-transmis du procureur de la République. Cette arrestation fait suite à la plainte du Comité pour la défense des valeurs morales au Sénégal (Cdvm). Le 28 octobre 2014, Adama Mboup, le président du Cdvm, avait déposé une plainte contre la rappeuse qui s’était affichée dans une tenue vestimentaire qualifiée d’extravagante et attentatoire aux bonnes mœurs à l’occasion d’un concert au Stade Iba Mar Diop. De bonnes volontés étaient intervenues, en son temps, et la chanteuse avait présenté ses plates excuses. Mais le Comité pour la défense des valeurs morales au Sénégal (Cdvm) a fini par réitérer sa plainte, deux ans plus tard, estimant que la rappeuse continue toujours à porter des tenues sexy en public et par conséquent à porter atteinte aux bonnes mœurs. Après avoir reçu la plainte, le procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Dakar, Serigne Bassirou Guèye, a envoyé un soit-transmis à la Sûreté urbaine. Après les auditions, Déesse Major a finalement été arrêtée ce vendredi 17 juin.
Le Populaire
Du nmporte quoi!!
Dans quel pays nous sommes ?
Libres au gens de porter les habits de leur choix, à plus forte une artiste!
Fermez vos dam yeux di vous ne voulez pas voir . C’est simplement ahurissant ce qui se passe au Senegal !
Laissez les gens tranquilles , nous ne somme ni dans un pays islamique encore moins dans une dynastie !
Laissez les gens exprimez leur passion !
MAIS C’EST SIMPLE.
AYEZ LE COURAGE D’HABILLER VOTRE FAMILLE COMME CETTE IDIOTE,C’EST-A-DIRE LES FESSES EN L’AIR,ET D’ALLER LUI MANIFESTER VOTRE SOLIDARITE A LA PLACE DE L’INDEPENDANCE OU DE L’OBELISQUE.
N’OUBLIEZ PAS DE VOUS METTRE DEVANT.
Au Sénégal, nous avons affaire à UNE VIOLENCE INSTITUTIONNELLE. Nous sommes un pays pauvre, mais les détournements de fonds sont « pardonnés », les présumés coupables grâciés, amnistiés sans que l’on demande au peuple qui se retrouve toujours dans la pauvreté, aux retraités qui ont du mal à boucler leurs fin de mois, aux compatriotes qui à 40 ans n’ont jamais travaillé de leur vie jusqu’à en perdre leur dignité, sans demander au peuple s’il accepte de s’assoir sur cette richesse qui aurait tellement servi résoudre des problèmes de santé, d’éducation, de culture et d’aménagement du territoire. C’est violent de décider à la place des autres. C’est violent de sentir qu’il y a des intouchables dans ce pays. C’est violent de déléguer, quand ils (les élus) se retrouvent dans l’impasse, les conflits sociaux aux guides confrériques en manque de légitimité. C’est violent de grâcier, amnistier ou pardonné à des gens soupçonnés de détournement de milliards pendant que les voleurs de poules continuent de s’entasser dans les geôles de la République.