Depuis Paris, Macky Sall foudroie les Sénégalais: « Ils n’aiment ni la transparence, ni la vérité, ni la rigueur »

Il a parfaitement raison et votre reaction le prouve

Vraiment ,c’est la verite ;on devrais changer ,il n’y a que le travail ,la droiture et la rigueur qui permet le developpement.

ce Maty sall est un imbecile si tu aimes la transparency dis ns comment tu as fait pour avoir 8 milliards…Sale con

Pourquoi s’offusquer de ce jugement porté sur la mentalité sénégalais ?
Tout le monde sait que s’agissant de rémission des péchés, il n’y a peuple plus indulgent que le Peuple Sénégalais, et nous en portons tous cette tare presque congénitale!
Oui, nous sommes toujours prompts à pardonner toutes les fautes qu’on porterait sur nous en affirmant haut et fort que la vie ici-bas ne vaut pas qu’on aille jusqu’à un certain point pour des questions de biens purement matériels.
Le Président Macky Sall voudrait-il dire que nous aurions tendance à laisser aller, je ne dirais pas le contraire, tout en espérant que nous changerions dans plusieurs générations.

Pas Rebess ni Tamba ou Kédougou mais la Pendaison Publique a State L. S. S.
Le Président Macky a raison, le sénégalais règle son destin par le « Maslaah », l’argent parle, la vérité s’achète et l’influence promet.
Les américains ont clôturé leur enquête sous peu de temps; jusqu’a présent les autorités du pays trainent les pieds. Les prisons du Sénégal ne sont pas hygiéniques pour ces personnes influentes disent ils ; au moment ou les voleurs de portables, de canards ou du bétail souffrent l’enfer du surpeuplement et la chaleur des caves. Il est temps de priver la liberté à tous ses voleurs de milliards ; le pauvre peuple sénégalais attend. Avec tous ses milliards dans l’air comment le Président Macky Sall compte réduire le courant de la vie. (1) milliard n’est jamais une petite somme et ces voleurs décident de partir avec le butin. Il est temps que les mouvements de masses d’occuper les rues sans négociation ; le retour du butin. (7) ans de prison pour (7) Milliards cambrioles, beaucoup seront bientôt des voleurs. J’ai une trentaine d’année aux USA travaillant durement sans stoppe ; je vs dis que, je n’ai jamais vu un milliard. Ce conard me connait, j’étais plus courageux et brillant que lui dans toutes les domaines, par le canal des pères criminelles, il réussi a dérobé l’espoir de tout un peuple. Je pleure Chekhou Toure de même Yaya Diame ces traitres auraient été pendus publiquement en guinée ou en Gambie. Le voleur de volaille ou le violeur purge de lourdes peines cependant ces grands escrocs passent un petit secours a l’hôpital ; vraiment C. triste et amère. Je voterai la peine de MORT, le peuple sénégalais a longtemps souffert et continue de souffrir a cause des dégras commis par ces crépins qui méritent plus la vie. Personnellement, sans regret, je voterai la Pendaison Publique.
Thierno Ousmane Sy a des comptes à rendre à la justice américaine et le département du trésor fédéral (IRS). Sa bande d’escrocs verront l’enfer, je vs l’assure; le territoire américain n’est pas un terrain de jeu pour les blanchisseurs d’argent. La justice sénégalaise se précipite de son arrestation pour le sauver des prisons américaines mais ils ont affaire à des patriotes américains très patients ; tan qu’il respire, ils mettront la main sur son dos. Cette famille a la criminalité dans le sang, Son père était le principal complice de Mobutu, son oncle Arona Sy a passe des années de prison en France pour trafic de drogue dure, lui le petit veut aller les yeux fermés avec des milliards du contribuable, le monde de la justice refuserai t l’action même si, l’Etat corrompu du Sénégal banaliserait le crime.
Le vol est interdit partout par toutes les nations civilisées ; dans certains pays le voleur risque de perdre ses mains ou même sa vie. Al-Baqara S. 2 V. 11 : Et quand on leur dit : « Ne semez pas la corruption sur la terre », ils disent : « Au contraire nous ne sommes que des réformateurs ! »
Al-’An`âm s6 v123 : Ainsi, Nous avons placé dans chaque cité de grands criminels qui y ourdissent des complots. Mais ils ne complotent que contre eux-mêmes et ils n’en sont pas conscients.
Prêt pour la Révolution des Mentalités et la Refondation Nationale.
Vive le Sénégal libre et uni ; Vive L’Unité Fédérale et Révolutionnaire des Etats d’Afrique.
Osman NYC USA.
[email protected]

VOUS ALLEZ ENCORE EN PROFITER LES JOURNALISTES POUR DÉFORMER LES PROPOS DU PRÉSIDENT,SI C EST CE Q IL A DIT CE PAS NOUVEAU ÇA TOUT LE MONDE SAIT QUE LES LA MAJEUR PARTIE DES SÉNÉGALAIS AIME LA FACILITE TE BEUGOUNIOU LOU LEER NI DEUG BOLE BEUG LOU YOMB

Le president a parfaitement raison.

D’ailleurs, il est lui meme l’illustration parfaite de cette mentalite et de ce comportement. Il s’est enrichi, on ne sait trop comment (il a commence a travailler en 1998, vivait en location avant 2000, la somme totale de ses revenus durant toute sa vie active ne peut depasser 300 millions, il declare un patrimoine de plusieurs milliards).

Pauvre Senegal!

Le paradoxe c’est macky sall lui même nomme à des fonctions des menteurs sur leur formation et diplome et cela il le sait parfaitement.
L’autre paradoxe c’est que macky sall connait des sénégalais intégres avec qui il a milité, mais il préfére choisir d’autres qui n’aimment ni la transparence ni la rigueur ni la vérité comme il dit lui même.
C’est terrible qu’il fasse cet aveu alors qu’à la position ou il se trouve il est en mesure de ne nommer et de s’entourer que de gens ayant les qualités faisant défaut aux sénégalais qu’il cite.
A titre d’illustration regardez les gens qui l’entourent et qui sont incapables de mener une simple procédure pénale pour poursuivre des gens ayant détourné des deniers publics.
Il a raison macky mais il nous faut au sénégal un Président capable de s’entourer de gens ayant les qualités qui manquent aux sénégalais qu’il cite

il a raison le president tout le monde sait que les senegalais sonts les plus faignant d,afrique un pays des marabout un pays de masalaha un pays ou one veu pas travail .ont dis au senegal khalliss denoukoy lidianti cet a dire l,argent ont le travaill pas ont le gagne avec cass cass avec tapalle tout cet ki vons le critique c des volleur tout persones honete sait k c vrais cek il a dis

Mr le PR vous avez touché à la plaie. La rupture que vous prônez demande le rigueur de la transparence et de la vérité. Les sénégalais n’ont pas cette habitude d’être diriger ainsi. Nous sommes conscient que pour refaire notre pays il faudrait tout d’abord changer les comportements. Donc nous vous suivrons sur la voie de cette rupture qui est la seule issue pour pouvoir développer le Sénégal. Les détracteurs crieront toujours mais le chien aboie et la caravane passe.

il ne dit pas la verite.il a menti tout un peuple et sachant qu il ne rien de bons il essaie de nous divertir.les senegalais ne demandent que du travail .il ne voit pas tous les braves jeunes qui marchent des kilometres la marchandise a la main cherchant de quoi aider la famille.

C’est dommage le sénégalais réagit toujours à fleur de peau quand la vérité est dite même si elle est dite ailleurs qu’au Sénégal et alors, où est le problème….
Nous n’avons aucun repère, c’est du chacun pour soi avec des références comme : boule falé, masla, laisse le parler etc….
Arrêté d’être susceptible Et si ces propos s’étaient pour vous faire réagir et prendre conscience qu’il y a beaucoup de choses à faire et que la léthargie constatée dans le pays n’est pas propice à assoir un développement.
Tout le monde démission : les pères de famille en premier, les politiciens et même les marabouts qui se trouvent au-devant de la scène malgré eux dépassés sans solution sinon l’éternel sermon « le retour à la religion »
Le message du président peut être compris autrement par une invite à rebondir, à refuser la fatalité et aller de l’avant.
Oui, le sénégalais aime la facilité et alors, il veut tout mais il faut travailler, il faut de l’effort pour avoir ce que l’on veut ….
Les donneurs de leçon pardon, arrêté….
Travaillons construisons ce pays c’est tout ce qui compte.

L’apologie de la tyrannie : les cancres de service et des sinécures au pas du culte du népotisme et de l’idolâtrie. Circulez, il n’y a rien à voir !

PS : nous reviendrons sur les injuries de Macky Sall à l’encontre des sénégalais.
Une certaine presse chorégraphique, complaisante, titre emphatiquement : « la première Dame Marième Faye, invitée de marque d’un vol Air France ». L’abondance de pacotille, paresseuse, pressureuse, achetable à la pelle comme au marché, réclame, sans coup férir, sa sucette. Voilà l’indécence absolument abondante de la mécanique de la charogne, qui donne elle-même les preuves matérielles de son opportunisme affligeant !
Pour ceux qui en doutaient, voilà les preuves matérielles d’une apologie médiatico-politique, cliniquement clanique d’une gouvernance estampillée : « bonne gouvernance ! »
Biens mal acquis- procès d’Hissène Habré : le politiquement incapable travaille en intérim, à défaut de régler l’éternelle problématique des délestages massifs du courant électrique. En lieu et place des vraies questions de l’heure, l’éternel huis clos continue dans le ciel ouvert des dérives spectaculaires ! Le gouvernement disqualifié par son incapacité décapante et son incurie manifestes à répondre à l’attente des sénégalais, trouve habilement une décharge nécessaire pour se dédouaner du mandat pour lequel il a été élu. Il faut le voir pour le croire. L’éternel spectacle titanesque se poursuit. Tout pouvoir abusif pour être charismatique, contrôle et musèle la presse, est totalitaire par définition.
Après l’arrosage choquant des femmes de l’apr à St Louis par la patronne de la fondation bidon « Servir le Sénégal », rebelote, le ministre de la Femme, de l’Enfant et de l’Entrepreneuriat féminin, Mariama Sarr, prend la relève et remet encore une couche plus épaisse : une enveloppe de 70 millions de francs CFA aux femmes de fatick. La république monarchique cliniquement clanique à l’épreuve. Une gouvernance revancharde, rancunière, se dédouane de ses promesses de campagne électorale. Le chantre de la prétendue rupture fait publiquement « son IVG avec un grand I ». Les nominations bidon et les marchés de gré à gré se démocratisent de plus en plus et se multiplient à un rythme effréné. Mais en même temps, pour se couvrir, on amuse la galerie, à défaut de respecter la parole donnée avec des arrestations à géométrie variable. Place maintenant à l’interruption volontaire de grossesse !
Ce gouvernement ne travaille nullement, mais s’arcboute à nous divertir. On ne gouverne pas avec des audits au double standard. Un exutoire pour compenser son manque d’intuition politique manifestement criarde.
Tenez-vous bien ! Silence, une certaine profusion propagandiste jusqu’à la lie, déshonorable, se déculotte affreusement et encense servilement le totalitarisme ! Justement, c’est pour cette raison que nous reprenons du service pour un rappel à l’ordre du prétendu chantre des leurres et des incohérences. Seulement, une certaine presse farandole marche au pas du politiquement incapable. Décidément, une certaine corvéable à merci roule pour les adeptes de l’esbroufe.
Les contradictions ne sont plus de mise, à moins de tresser les éloges serviables de « wade junior », le vainqueur du 25 mars 2012. Nous continuons à le marteler en toute conscience, en toute circonstance et en toute indépendance. Nous ne pas sommes pas des talibés taillables à merci des marchands d’illusions qui prêchent la bonne parole le matin et se dédisent le soir même, comme si rien n’était.
Faut-il être le cireur assermenté des bottes de Macky Sall pour bénéficier des largesses élastiques jusqu’à l’infini ?
Discrimination, ostracisme voilé ou plus exactement le rappel à l’ordre de la démocratie tyrannique, sur commande recommandée d’en haut ? Tout y est. Ce qui se déroule sous yeux, est la marque de fabrique d’une rapine politique, bien pire que celle du régime décrié. Nous avons été bien reçus jusqu’ici, mais il semble qu’au fur à mesure que nos plumes se corsent de plus en plus pour dénoncer l’évidence d’une escroquerie proéminente, élastique d’un régime népotique, maquillé de la prétendue bonne gouvernance, en réalité, une vue de l’esprit, nous sommes déclarés persona non grata dans la plupart des journaux de la sarabande.
Seuls les flagorneurs indignes ont le vent en poupe et créent le buzz, conformément à une démocratie aux apparences tyranniques, dans les faits abondants. Pourrions-nous être serviles et malléables au point de nous ridiculiser, en publiant des articles de complaisance pour avoir la grâce de la sarabande. Nous sommes libres d’esprit pour écrire ce que nous croyons comme des vérités éternelles devant l’éternel. Un président de la république n’est pas un dieu, ni un prophète, il doit être nécessairement sous pression pour qu’il réponde à l’attente de ceux qui l’ont élu.
Ce régime n’est nullement celui de la rupture sobre, ni d’une quelconque transparence, vertueuse, mais au contraire, fait preuve d’une filouterie totalement surréaliste sur fond de culte de personnalité. Les promesses ne suivent nullement les actions sur le terrain.
La référentielle ordurière de service tresse le népotisme injurieux. Élire un président de la république en Afrique, c’est aussi élire toute sa famille, les cousins, frères, sœurs, beaux pères, beaux frères. Même les griots élus complaisamment députés, sont adulés. Point n’est besoin d’avoir une quelconque compétence. Curieusement, ce que l’on refusait à wade, on l’accorde maintenant à son suivant, bien pire. Culte de l’idolâtrie de la sarabande vouée aux gémonies du politiquement incapable, face à ses responsabilités : La première Dame Marième Faye, invitée de marque d’un vol Air France. C’est bien l’aliénation des consciences libres qu’on tient à éroder au service de la duplicité inavouée.
Comme d’habitude, la référentielle de caniveau au service de la dynastie des Faye-Sall s’offre pitoyablement en spectacle, en échange d’un retour de l’ascenseur. Parallèlement à la des dithyrambes infinis à la pelle, la bouffonnerie fait l’apologie du couple présidentiel en « mode jeune », place maintenant à l’idolâtrie et au culte de personnalité ! « Le couple royal : « la dynastie des Faye- Sall » à l’Elysée. Une continuation sans rupture. La république insultée, agenouillée, vacille sous l’escarcelle : « d’une famille, une dynastie, un parti, des courtisans ». Le discours : « Le parti avant la patrie » cache bien les scandales à répétitions des marchés de gré à gré et la galaxie des nominations bidon hystériques. C’est la preuve matérielle d’une dilution des consciences. Les nominations à flot correspondent au personnage atypique. La bonne gouvernance n’est nullement de l’argent. C’est une soustraction du politique. La réalité est tout autre. L’excès des nominations de «wade junior » nous donne la chair de poule. Un dilettantisme d’état ahurissant. Face au moral des ménages en berne constamment et la question sociale aux oubliettes, la dynastie des Faye-Sall jouit pleinement du pouvoir, fait le tour de la planète, à dessein de se vendre, dans la perspective d’une image transcendantale, plus exactement trans-internationale et dépense sans compter l’argent du contribuable astiqué. Le chapelet des boulimies de luxe laisse pantois par son caractère ridiculement ludique. La fondation bidon « Servir le Sénégal » pour mieux se servir et servir politiquement son mari. L’opposant de circonstance aux défroques victimaires, devient un président à défaut et par dépit.
Les sénégalais ne risquent-ils pas de se braquer devant ce qu’ils appellent, à juste titre, le spectacle permanent, pour régler des comptes, alors entre ceux qui sont débauchés par les unes parlantes et les vainqueurs du moment, tous se sont enrichis de la même poche du contribuable présumé extensible, qui est sujet et esclave à merci, perd même son cocc barma, c’est le voleur qui crie au voleur ? La politique n’est plus un sacerdoce, mais une question de prébendes et de sinécures. Elle est devenue un métier et non point une profession de foi. Crise morale, politico-financière sur fond de rancunes abjectes et de rapines manifestes. Le spectacle rejoint le ridicule. La Com’ des charniers de mensonges dans son piédestal fixe la barre très haut avec des mds, dont la ménagère, le jeune laissé pour compte, n’en voient pas la couleur, sauf la famille immédiate, le clan, le parti qui se partagent exclusivement les postes contrastant avec les compétences et les expériences bidouillées.
Le combat continue !
Ahmadou Diop

WALLAH MONSIEUR LE PRESIDENT A RAISON, C’EST UNE VERITE QUI FAIT.TRAVAILLONS NOTRE PAYS, A BAS LA FACILITE, A BAS LE MENSONGE ET LA CORRUPTION ET VIVE LE TRAVAIL!