En lisant votre article, j’ai pensé à la réaction de l’investisseur qui, faisant une recherche sur internet avec votre nom, tombe sur votre rhétorique ordurière. Il ne pourra certainement pas s’empêcher, à tort, d’associer l’insalubrité de votre vocabulaire à l’environnement des affaires au Sénégal, puisque vous en êtes le premier symbole, le porte – étendard. Par là, je veux juste souligner la nécessite qu’imposent votre rang et vos fonctions d’adopter un langage aseptisé, qui ne crée pas de dommage collatéral sur la perception qu’on pourrait avoir de l’institution et du portefeuille dont vous avez la charge.
Au delà de la haine qui suinte dans vos propos, la lecture de votre article nous donne l’occasion de relever des incohérences et des insuffisances qui s’accordent bien à la gouvernance dont nous sommes les témoins depuis un peu moins de trois ans.
Selon vous Idrissa Seck aurait perdu la raison. Permettez-moi de vous dire que, dans ce cas, le même traitement doit vous être administré. En effet, n’y a t il pas encore plus de déraison à consacrer des heures de votre précieux temps, fortement payé pour attirer des investissements au Sénégal, à répondre à ce que vous considérez comme les « délires » d’un « cadavre » politique. Auriez-vous autant de temps et d’énergie à consacrer à des « cadavres », alors que vous avez du mal à procurer de l’électricité aux vivants, de l’emploi aux jeunes, des vivres de soudure au monde rural ?
N’y -a-t il pas un brin de folie, vous qui gambadez allégrement sur les berges du succès, à accorder autant d’attention à » un naufragé politique » qui ne pèse que 7%, et dont vous êtes si surs, vous qui êtes tellement imprégné de « l’horloge inéluctable de Dieu » qu’il n’atteindra pas la rive.
Je me suis réjouis en lisant la première phrase de votre texte digne d’un débat d’idées, mais mon plaisir fut vite gâché de me rendre compte qu’il n’yen aura pas une seconde. Sans doute aviez-vous du mal à vous maintenir dans ces cimes intellectuelles, pris par le vertige qui frappe ceux- là dont les esprits ne sont pas assez oxygénés pour se maintenir à certaines hauteurs. Réduire la connaissance de la gestion budgétaire à un simple sigle, que Idrissa Seck aurait ignoré, me semble être d’une légèreté dont, je l’espère, vous ne faites pas preuve dans l’attrait des investissements au Sénégal.
Vous le savez bien, les compétences de Idrissa Seck en matière de gestion économique ont été prouvées par un passage mémorable à la Primature qui nous a permis d’enregistrer le plus fort taux de croissance de ces dernières années. Les compétences de Idrissa Seck en matière de gestion économique ont été démontrées par sa critique, dès mars 2013, de la politique d’endettement frileuse de Macky I, qui asphyxiait notre économie ; et son appel à un endettement utile et responsable. Il vous a fallu attendre la mi-2014 pour le comprendre et lui emboiter le pas, avec les résultats mitiges que l’on connait.
M. le ministre, les Sénégalais, hier pris dans le brouillard des accusations mensongères et diffamatoires contre Idrissa Seck, sont maintenant mis devant la clarté de la véritable valeur des uns et des autres. Ils comprennent de plus en plus, combien le leader de Rewmi constitue la meilleure réponse à l’Etat actuel de notre pays. Les Sénégalais sont conscients que son courage qui n’est plus à prouver et qui lui a valu bien des ennemis et bien des embuches, est nécessaire pour mener les réformes structurelles dont le pays a besoin. Ils sont aussi conscients, que sa culture politique, qui met en avant la compétence et l’intellect, nous permettra de sélectionner les meilleurs cerveaux capables de sortir des schémas traditionnels pour inventer un Sénégal où la connexion sera enfin établie entre les sphères du savoir et les sphères de la décision.
Dès lors, il n’est plus utile de grimper plus loin sur l’échelle de la médisance et de la calomnie, car elle ne mène que vers les sommets de la déchéance politique. On ne peut raisonnablement s’attendre, de la part de ceux qui ont tous les moyens d’action, à se ranger dans le registre de la parole haineuse et diffamatoire. De ceux là, on attend l’action éclairée pour apporter les résultats tangibles.
Alors M. le ministre rangez votre plume, et comme dirait votre premier ministre : « au travail »
Respectueusement
Badara Samb Ndiaye
waaw badou,vous avez bien eut ce mec,il ne perdait rien pour attendre, ils baverons toujours,mais la bave du crapeau n’atteindra jamais la blanche colombe, merci badou,au plaisir de vous lire
Monsieur Samb,
en lisant votre texte j ai un bon moment cru que vous parlez d idrissa seck. Remplacer idy par celui dont vous voulez critiquez et vous voyez vous meme comment la haine empeche idy d etre credible. Un langage ordurier insultant un president elu ne sied pas a ce monsieur. Dommage, quel gachis.
Tres belle analyse Mr Samb mais domage que ces gens, incapables qu’ils sont, s’appuyent sur la médisance des autres pour survivre.
Diene Farba Sarr un feu de paille qui s’eteindra en meme temps que son mentor laissez le sortir son venin de sa bouche ce monsieur retombera aux oubliettes comme avant
Merci M.Samb.
Il n’a pas eu le courage de l’echec et veut nous imposer une prolongation non convenue des joutes electorales par un appetit pour les confrontations voila le seul mobil de la désagrégation de son langage par un récital de mensonges de calomnies allusives , des diatribes , des hyperboles et des anathemes infamants .il est trés infamant Idy ,pour quelqu’un qui n’hésite pas à psalmodier le Quran et ensuite traiter le chef de la nation d’ebola , c’est d’entonner les pires äneries et ne pas s’en offusquer