Macky Sall a présidé ce jeudi la cérémonie de distribution des prix du Concours général 2022. A cette occasion, le chef de l’État a fustigé «les saccages d’infrastructures scolaires» et les «violences d’élèves sur des enseignants». « Alors que notre société est percutée par la violence physique et verbale et la frénésie des fake news, la manipulation et des réseaux sociaux. Dans ce tourbillon des temps modernes, la jeunesse semble en perte de repères, allant jusqu’à verser parfois dans un mimétisme de mauvais goût », a-t-il regretté.
« Je pense à la pratique choquante des violences sur des enseignants et de saccages de matériels et infrastructures scolaires. Les agresseurs et casseurs, qui constituent heureusement une infime minorité, n’ont pas leur place à l’école ni à l’Université. Nous devons tous agir,fermement, pour mettre fin à ces dérives », a ajouté le chef de l’Etat Au total, 164 distinctions ont été décernées pour 95 lauréats. Ce concours, initié dans les années 1960 par le président Léopold Sédar Senghor, célèbre les meilleurs élèves de Première et Terminale. Outre les mathématiques et sciences et techniques, beaucoup d’élèves ont été primés en langues classiques (grec, latin, arabe), en histoire et études islamiques pour cette édition du concours général.
Les menteurs les voleurs des deniers publics les tueurs qui ont les mains tachetees de sang des jeunes manifestants de mars 2021 et de 2022 les despotes criminels n’ont pas de place dans notre republique
Bien dit mass, au pays de la promotion de l’hypocrisie, on a tendance à occulter les vrais gangrènes, pour se consacrer à des épiphénomènes. C’est le Sénégal du Macky dans lequel le mensonge est systémiquement cultivé par les dirigeants, ceux qui devraient constitués des modèles, des références. De toute façon les enfants ont toujours tendance à apprendre à travers les adultes. C’est dommage, ce pays nécessite vraiment un nettoyage à grande eau, suivi d’une purge afin de se purifier, se bonifier.
Quand on ne voit pas pas le rouge. Les frappes et les cases devient un recours de faire comprendre le ras-le-bol des citoyens.