ex-présidente du Conseil économique, social et environnemental, Aminata Touré s’est exprimée dans L’Observateur, sur l’actualité politique nationale, notamment sur les élections locales de janvier 2022. Elle a fait savoir que sa « non-participation est libre ».
D’abord, il faudrait dire à tous les prétendants, postulants et aspirants dans ces élections qu’il y a une vie après ces élections locales. Il n’y aura jamais assez de postes de maires pour tout le monde, il n’y a que 600 collectivités locales et des milliers d’aspirants », a rappelé Mimi Touré.
Elle a appelé à savoir raison garder, estimant que ces élections ne doivent pas être un facteur de division de « notre vivre ensemble » aussi bien au niveau des partis, des quartiers et dans les communautés.
Selon elle, il est important que des messages soient partagés afin de prévenir tous les dérapages possibles. Pour revenir sur son cas, elle a fait savoir que « rien n’est imposé en politique, car c’est une adhésion libre d’individus libres ». Avant de soutenir que sa « non-participation est donc libre ».