XALIMANEWS : En conférence de presse hier Mardi, le sélectionneur de l’équipe nationale du Sénégal a pris langue avec la presse pour exprimer son sentiment par rapport aux critiques, à la qualification, à la comparaison entre la génération d’aujourd’hui et celle de 2002.
Interpelé sur les critiques dont il fait souvent l’objet, le sélectionneur Aliou Cissé a précisé que « les critiques font partie du travail. Je pardonne et demande pardon à tout le monde. Tout ce qui nous importe aujourd’hui, c’est de faire avancer notre pays dans tous les domaines. Je suis satisfait, mais pas soulagé. J’ai une ligne directrice, un fil conducteur et je m’ouvre à mon staff et aux techniciens sur le plan national et international. Le football est ainsi, il y a des hauts et des bas. Je réussis, parfois j’échoue, mais je me relève et je continue ».
Poursuivant son argumentaire, il revient sur la comparaison que font souvent à tort les analystes par rapport aux deux générations. En effet, selon Aliou Cissé il faut recadrer ce débat : «Il n’y a pas de comparaison à faire. J’étais le capitaine en 2002, mais je pense que c’est une autre mentalité, un autre background. Les garçons d’aujourd’hui ont d’autres qualités que nous n’avions pas. Ce sont deux générations complètement différentes. Ils jouent un football différent. Ils ont envie d’écrire leur histoire. En 2002, ils ont écrit leur histoire : quart de finalistes de la Coupe du monde, finalistes de la Can, ça s’est arrêté là. Maintenant cette génération des Kouyaté, Moussa Konaté, Sadio Mané, Baldé ont envie d’écrire leur histoire qui n’a absolument rien à avoir avec la Génération de 2002. Ce n’est pas en réalité une concurrence. Au contraire, celle de 2002, ce sont des garçons qui sont proches de cette génération-là. Je peux citer Lamine Diatta, Ferdinand Coly, Tony Sylva, Oumar Diallo, Souleymane Camara, Henry Camara et d’autres. Ce sont des garçons qui m’ont toujours encouragé et je leur dédie la qualification».
Le sélectionneur des lions termine en exprimant son immense joie de faire une deuxième Coupe du monde : « Je le vis en tant que joueur et sélectionneur, c’est de grands moments pour moi. Je reste un jeune entraîneur et je n’ai rien gagné. La qualification est très importante. Mon plus grand bonheur sera de ramener cette équipe encore loin et de gagner un trophée pour notre pays. Par moments, je pensais que les gens étaient amnésiques, mais que nous, il y a un travail important que nous sommes en train de faire- 17 matches officiels sur 18 sans défaite, dont 7 à l’extérieur. Ces résultats parlent pour nous. Quand j’ai pris cette équipe, je savais qu’elle pouvait aller loin. C’est ce mélange des JO de 2012, des générations de Bata Mongomo ».
Felicitation Mr . Aliou Cisse , encore du courage pour les prochaines echeances sportives de nos jambars surtout sur le mental ou un travail serieux doit etre fait c est a dire resoudre l equation de la Resignation de nos joueurs face a un evenement imprevu ( mauvais arbitrage ,1 but contre le cours du jeu …)ce que tous les adversaires connaissent d ailleurs .
Wassalam
Felicitation Mr . Aliou Cisse , encore du courage pour les prochaines echeances sportives de nos jambars surtout sur le mental ou un travail serieux doit etre fait c est a dire resoudre l equation de la Resignation de nos joueurs face a un evenement imprevu ( mauvais arbitrage ,1 but contre le cours du jeu …)ce que tous les adversaires connaissent d ailleurs .
P.s.
Il se dit partout que le senegalais a du genie wantee dafa gawa decourager.
Quand on voit la vaste mobilisation derriere nos lions ce mardi 14 novembre 2017 au stade de l amitié ,on comprend la place du foot dans le coeur des sénégalais.Quelque soit la virulence des critiques ,c est au final la manifestation de l amour que l on a du ballon rond.Vous avez réussi une premiere phase difficile: la qualification dans un groupe ou rien n était a priori evident.Maintenant se profile a l horizon le grand rendez du foot mondial, vous savez ce qui vous attend sans aucun doute et au vu des équipes qualifiées l on peut d ores et deja dire que tout est jouable.L Afrique ne va plus au mondial que pour limiter les dégâts mais de s adjuger le trophée et cela ne relève pas de l impossible.Avec une discipline de fer vous y arriverez « InshAllah »!
Bravo et bonne continuation !