Et si le Président Wade avait envoyé une missive à l’actuel Président Macky
Sall, en réponse à une tentative de rapprochement par amis communs interposés ?
Le contenu d’une telle lettre nous étant inconnu, force est de reconnaître que
tout avis, commentaire ou analyse ne saurait être que des supputations.
Nous pouvons malgré tout nous jeter à l’eau pour lire dans le marc de café, ou
jouer à la « Selbé N’dome pour deviner ce qu il pourrait se dire. Connaissant un
tout petit peu le Génie National qu’est Wade Abdoulaye, je l’imagine dire à
MACKY SALL : » Depuis quelques mois, vous et vos sbires se donnent à fond pour
humilier mes anciens collaborateurs, et en particulier mon fils bien aimé Karim
Meïssa Wade.
Votre Ministre de la Justice par son procureur Alioune N’dao le « rampant » qui
se font un malin plaisir à attribuer à mon fils des privilèges et des actions
dans des sociétés dont l’existence n’est que dans leurs esprits maléfiques.
Après avoir parcouru le monde entier, de commissions rogatoires en commissions
administratives, rien de compromettant n’a été trouvé contre ce dernier vous
êtes allé jusqu’à l’embastiller » à REUBEUSS.
Au moment où le peuple Sénégalais manifeste des signe d’agacement face à ce
qu’il considère comme un acharnement pour museler, affaiblir le parti le plus
représentatif de la nouvelle opposition à votre régime.
C’est ainsi, monsieur le Président, qu’à chaque fois que le Parti Démocratique
Sénégalais demande une autorisation administrative pour manifester son
mécontentement face à la chape de plomb que votre régime voudrait poser sur les
libertés individuelles et collectives, on leur empêche de le faire sous des
prétextes fallacieux pire que dans les dictatures les plus féroces du monde des
années 60 à 80, ce que nous ne saurions accepter sans broncher.
Dans l’intérêt supérieur de notre peuple, je vous ai soumis, de manière
informelle il y a quelques semaines, l’idée de rassemblement de toutes la
famille Libérale pour vous aider à réussir à gouverner ce pays si compliqué à
diriger, complications accentuée par le fait que les trois tiers de ceux qui
vous entourent n’ont pas assez d’expériences pour mener à bien la mission à eux
confiée, mission qui demandent des compétences au-dessus de leurs capacités
intrinsèques, malgré leur bonne volonté manifeste.
Oui, monsieur le Président de la République, cher fils, le Sénégal a grandement
besoin de tous ses fils capables, et dont les compétences sont reconnues par
tous pour relever les défis de la mondialisation et tirer notre épingle du jeu
afin que nos populations vivent beaucoup mieux qu elles ne vivent depuis plus
d’un an!
En espérant que le mois béni du RAMADAN que notre communauté religieuse vient
d’achever nous aide à revenir à de meilleurs sentiments, je vous prie, monsieur
le Président de la République, cher fils, de croire à l’expression de mon
profond respect et mon tendre affection.
Wade ABOULAYE, ANCIEN PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DU SENEGAL.
A paris le 15 août 2013
Delires d’un éternel apologiste du vol, du népotisme, de la concussion, de la prévarication, de la prédation, de la médiocrité qui ont ete les trademarks du système wadd.
Sacre Sadaga, toujours nostalgique et a jamais réfractaire au Message du peuple sénégalais le 23 mars 2012: on ne veut plus de wadd et de son système crapulax
votre lavage mediatique au karcher n’y fera rien: personne ne fera appel a cette crapule, il est deja range aux oubliettes de l’Histoire comme l’accident qui n’aurai jamais survenu au Senegal (quoique qu’il fallait jeter au plus sans ambagaes loin l’immobilisme de Diouf/Tanor).
Cato