Certains Hommes Politiques ont tendance en à faire des insulteurs, des gens mal éduqués disent-ils. Recadrons le mot, une insulte est définie comme un acte ou parole qui offense ou blesse la dignité d’une personne. Et dans ce pays qui est nôtre toute vérité plutôt coriace est considérée comme une insulte. Cependant de là à considérer comme offense pour ne pas dire insultes toutes les dénonciations de cette communauté d’internautes dont chacun à sa manière entre humour, sévérité, empathie, peine, haine, dénonce le fait, c’est vouloir emprisonner un peuple dans le silence.
L’éducation commence au sein de la demeure familiale en cela nous lirons l’éducation de base avant d’apporter la loi à l’instance du peuple, appliquons la dans le cercle restreint des insulteurs de la République par ricochet parents de la nation.
Choquée, je l’ai été en entendant les insultes au vrai sens du mot de personnes sensées être responsables dans nos instances républicaines et insultes qui arrachent le coeur et orientées vers de nobles citoyens irréprochables, choquée je l’ai été en voyant l’offense faite à nos Hommes de valeurs, nos chefs coutumiers ou religieux devant le silence complice de ces insulteurs privilégiés.
Il est appelé à condamner un fait dans un tribunal où il est fréquent de l’y vivre.
Soyons sérieux!
Une loi oui une loi oui mais je serais plus pour l’Education Civique dans nos écoles, dans nos daaras et pour des Hommes d’Etat qui se respectent et respectent le peuple.
Je ne saurai finir sans rappeler ces propos qui ne doivent tomber dans l’oreille d’un sourd du Khalif Serigne Mountakha ? un pays ne se construit pas dans le divertissement, le jeu ou la plaisanterie.?
Et si on ramenait l’Education Civique? (Par Yaye Fatou Sarr )
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La plus grande insulte que subie le Sénégal, vient du comportement de nos hommes politiques et de certains qui se disent marabouts ou chef coutumiers, qui, ont sacrifié l’éducation de nos enfants. Que dire de certains enseignants (aussi bien dans les Daaras que dans les écoles), qui certes représentent une très petite minorité, qui sacrifient l’avenir de nos enfants ? Que dire des transhumants qui ont détournés les votes de leurs électeurs ? Que dire de certains juges qui ont oubliés qu’ils avaient prêtés serment pour une justice équitable ? Que dire de ceux qui ont dilapidé et vendangé nos ressources naturelles ? Que dire de ceux qui sont allés dans une marche en France pour soutenir les insulteurs de l’Islam et du Catholicisme ? Que dire de celui qui a foulé avec ses chaussures l’endroit le plus respecté des Mourides ?
La vérité, c’est qu’à l’approche des élections présidentielles, et au vu du holdup électorale qui se prépare, le préfet de France au Sénégal, ne tient pas à ce que la vérité soit partagée par plus de 3 millions de Sénégalais.
Si tous les insulteurs du pays devaient subir le même sort que Assane Diouf, il ne resterait pas grand monde dans le pays. Que le préfet commence d’abord par balayer devant sa propre porte.