En invitant le pouvoir exécutif, à savoir le président de la République, président du Conseil supérieur de la magistrature, ainsi que le ministre de la justice, son vice-président, à sortir dudit Conseil, l’Union des Magistrats du Sénégal (Ums), rejoint les recommandations du peuple des Assises. En effet, dans la Charte de gouvernance démocratique, il était convenu, dans le but d’équilibrer les différents pouvoirs, de créer une Cour constitutionnelle, dont le président siègera à la tête du Conseil supérieur de la magistrature.
Sud Quotidien