Il y a des actes que la foi, la tradition, la Loi, la morale et le bon sens répugnent : réduire sa vie à jouer à la marionnette pour son semblable. C’est indigne d’un être humain normal. Ce dernier oublie qu’il est un mortel qui va rendre compte devant Dieu le jour du jugement dernier. Mais comme disait le poète Amadou Lamine SALL, « La distance de l’homme à la bête est souvent si proche » ; certains nous en donnent tous les jours la preuve.
WADE et sa clique sont de mauvais perdants. Ils ne cessent de poser des actes qui confortent cet état de fait. Il faut du courage pour arrêter un monstre déchaîné. Il faut du courage pour arrêter un cheval fou. Il faut du courage pour arrêter un fou furieux qui s’ignore. Et Dieu sait que nous en comptons énormément dans notre pays sous le régime fasciste d’Abdoulaye Wade. Ces fous furieux, qui s’ignorent, habitent la violence sous toutes ses formes afin de se maintenir vaille que vaille au pouvoir au Sénégal. Cependant, à force de jouer avec le feu, on finit par sentir le fagot.
Wade veut plonger notre pays dans le précipice. Il l’avait dit : « Après moi, ce sera le chao ». Refusons qu’il ait raison en barrant la route, par les urnes, le 25 mars, à son projet catastrophique pour notre pays ! Ces partisans cherchent à apeurer les populations par la violence électorale afin de brouiller la victoire du seul candidat légal le 25 mars 2012 : Macky SALL. Nous récusons cette violence. Ce qui vient de se passer à St Louis et à Kébémer montre l’état de désespoir qui hante la coalition Fal 2012. Mais cela n’est pas surprenant car le candidat inconstitutionnel de ce regroupement de prédateurs avoue être l’ami des chefs rebelles qu’il nourrissait gracieusement avec l’argent du contribuable sénégalais.
Heureusement qu’aujourd’hui, les forces vives du pays se sont liguées contre lui et battent campagne pour la victoire de Macky SALL. Le peuple a décidé de le jeter à la poubelle des monarques déchus, lui et son bataillon de farfelus, de fumistes, de fainéants, de farceurs, de fourbes etc. Beaucoup s’agitent autour de lui pour ne pas perdre leur biberon ou en avoir un. Mais la noce hideuse sera terminée très bientôt. Wade appartient déjà au passé.
Tafsir Ndické DIEYE
Auteur de polars et de poésie dont :
Odeur de sang (polar), Silence ! On s’aime poésie
Editions Le Manuscrit, Paris mars 2008
Horreur au Palais, Coédition NEI/CEDA Abidjan Novembre 2010