oujours au cours de cette interview accordée à Week-end-magazine, le professeur, pour éviter d’être accusé de parti-pris, a tenu à faire une précision de taille : « Je ne connaissais pas du tout Mr Seck avant. Je ne le connais pas vraiment plus aujourd’hui. Je ne nourris –pardonnez moi- aucun intérêt particulier pour la politique intérieure sénégalaise et moins encore pour tel ou tel de ses acteurs, de sorte que je m’exprime sur le sujet constitutionnel avec un complet détachement ».
M. Carcassonne confie toutefois que c’est un avocat installé à Paris, qu’il a eu à côtoyer, qui l’a mis en rapport avec Idrissa Seck. Ne connaissant pas Idrissa Seck avant que ce dernier ne le sollicite, le juriste déclare : « j’explique selon moi, ce que dit la constitution en droit ». Ce n’est pas moi qui l’ai écrite, ajoute t-il. Et pour qu’il n’y ait pas d’amalgames, il précise : « je n’ai aucune préférence pour un candidat ou un autre. Je fais une analyse strictement technique ». Et à Carcassonne d’ajouter : « On me demande mon avis, je le donne, la manière dont, ensuite les personnes exploitent cet avis, ne regarde qu’elles. »
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Bien dit Guy. Avec l’espoir que le messqge est bien saisi par ceux incapables de faire la part des choses entre parler de la chose politique et être politicien.