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Idy A La C.r.e.i : Un Complot Rampant ?

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On se souvient de la tortueuse théorie du coup d’état rampant qui avait abouti aux « chantiers de Thiès » montés de toutes pièces pour conduire Idrissa Seck en prison et ainsi l’éliminer politiquement avant les élections présidentielles de 2007. Il fut embastillé plus de six mois durant, ce qui lui coupa les herbes grasses sous les pieds, l’empêchant de dérouler une campagne électorale prolifique. Un non-lieu bien tardif lui fit servi par la suite.
Cette nouvelle fausse affaire « Afriqueconfidentielle » montée elle aussi de toutes pièces, semble ourdir une intrigue bien cousue de fil blanc sur le costume noir du brave IDY.
Le complot politique est une vielle manœuvre politicienne machiavélique qu’utilise certains hommes politiques en désarroi ou en panique devant la crainte de perdre le pouvoir. L’ancien Président de la Guinée Sékou Touré a abusé des complots de la « 5e colonne » pour éliminer systématiquement ses « ennemis » politiques, notamment le grand Diallo Telli dont le destin fut brisé par la folie tyrannique de ce dictateur. Plus actuel mais sous une forme novatrice, au Niger d’Issoufou Mahamadou on accuse l’opposant Hama Amadou de trafic présumé de bébés, une histoire rocambolesque qui l’a conduit en prison où il risque de demeurer pour toute la période des prochaines élections présidentielles. C’est un stratagème bien usité sous nos cieux africains pour se faire élire en éliminant, par le bras armé judiciaire, les candidats les plus sérieux.
Lorsque j’ai lu qu’un journal pro-Macky a bien opportunément demandé son avis à Maître Naffisatou qui laisse trahir sa pensée en affirmant que : «la société générale du boulevard Haussmann à Paris me rappelle beaucoup de choses… », réaction sous-entendue qu’il y a beaucoup de choses à en dire, le doute n’était plus de mise, sur les réelles motivations des sordides et fausses révélations du site fantaisiste « afriqueconfidentielle ». N’est-elle pas là que, pour le moment voulu, servir à attaquer et atteindre IDY ? Il s’agirait de fomenter des accusations d’enrichissement illicite sur la tête du futur candidat de Rewmi pour qu’il aille en découdre avec les juges. Le temps judiciaire étant plus lent et plus long que le temps politique, les élections de 2017 ou 2019 pourraient ainsi se dérouler sans lui. Et le tour est joué, comme avec Karim Wade éliminé judiciairement des compétitions électorales. Le président-candidat Macky ferait alors place nette pour sa réélection sans coup férir. Tel semble être le scénario profilé pour sortir du piège de la réduction d’un mandat plombée par des tergiversations à pas de tango. Cette chimérique histoire de « Idy riche comme crésus » serait moins pour ouvrir un contre feu à l’affaire Lamine Diack que pour ouvrir la voie à l’activation de la C.R.E.I facile à saisir.
Les stratégies et les manœuvres politiques du Président Macky pour « réduire l’opposition à sa plus simple expression » n’ont pas permis de résoudre l’équation IDY. Les débauchages, les dénigrements et les injures à qui mieux mieux, tout est mis en œuvre pour endiguer la montée en puissance de la sourde mais réelle mouvance et convergence vers celui que de plus en plus d’esprits avertis considèrent comme le « meilleur d’entre eux ». En effet, aujourd’hui dans le Sénégal troublé en perte de repères, c’est lui la force tranquille dont il a besoin. Si c’est la volonté divine, c’est le Fatum qui s’impose à tous, donc à Macky qui n’a été élu que pour lui préparer sa venue.
Cherif Ben Amar Ndiaye
Kaadoubitimrew.com

4 Commentaires

  1. Je ne vous dit NON à cause de cette notaire de multiple maris capable de TOUS pour son bas ventre. Mais pour cette fois le peuple ne se laissera pas comme le cas de Karim Wade. Ils ont echoues et sont incapables mieux vaut rendre le pouvoir pour le bien etre de la population et de se preparer pour la prochain CREI.

  2. Sorry de devoir vous re-poster ceci :

    Keurgui
    jan 15, 2016 at 7 h 19 min Repondre
    Bonjour a vous tous,

    Avec votre permission, je voudrais poster ici meme une longue intervention que je j’ avais pu ecrire sur le Forum de Seneweb, un certain 18 Octobre 2005 ou 2006. Dix ans apres, ou presque….voici que les faits semblent vouloir nous donner raison. Si l’ on en croit les sources du Journal » Liberation » , tout au moins.

    J’ avais emis cette hypothese, » tu me tiens a la barbiche, je te tiens a la barbiche…. »

    Bonne lecture…..

    {

    ‘ Il n’y a pas de tête lucide entre deux termes d’un choix’ Cette vérité sortie de la bouche de Samba Diallo cadre parfaitement avec la situation politique actuelle au Sénégal.

    Non pas que nos choix politiques aient à se limiter entre Me ABdoulaye Wade et M.IDrissa Seck. Cependant un certain réalisme dans la lecture des événements politiques devrait nous amener à savoir que les prochaines joutes seront le théatre de ce duel, n’en déplaise les vieux routiers de la politique sénégalaise qui sont dans la Gauche par exemple.

    Le plus terrible pour nous c’est que ce duel risque de s’offrir comme un drame, une tragédie: parce que nous aurons sans doute à nous prononcer sur deux personnes qui ont à peu près le même parcours politique, les mêmes références politico-philosophico–littéraires, les mêmes valeurs si ce n’est les mêmes principes. Me Abdoulaye Wade et Idrissa Seck partagent bel et bien leur goût du Pouvoir et de l’ Avoir : il y a une imbrication entre les deux, surtout sous les tropiques. Quant au Savoir, l’un, Me Wade, a été à sa recherche, il en a acquis une bonne parcelle;l’autre, Idrissa Seck, maintient un certain flou voire une certaine mystification sur son parcours universitaire, après avoir dit explicitement des contre-vérités là-dessus.

    Le Président de Rewmi a eu un compagnonnage ininterrompu de 30 ans avec Me Abdoulaye WAde, qui a été comme son Maître Penseur et celui qui l’a forgé politiquement, celui qui l’a créé de toutes pièces.
    Doit-on se contenter de l’argument servi par Idrissa Seck dans son Cd 1, qaund il était en prison, selon lequel le ver était dans le fruit depuis le début du pouvoir issu de l’ Alternance? Est-ce vraiment suffisant de dire que Me Wade a rompu le pacte entre eux ( quelles en sont les vrais termes ?) celui de ne jamais lui faire du mal ? Ce pacte ne consistait-il pas, ainsi que Idrissa Seck l’a presque reconnu à demi-mots, à faire de Wade le vainqueur des élections de 2000 et une fois que celui-ci aura assuré la transition il cède la main? Peut-on dire que c’est parce que Viviane Vert Wade a exigé de son époux qu’il choisisse leur fils Karim Ben Abdallah Wade pour parachever son travail que la rupture devait être consommée entre les deux hommes? Le Cd1 indique bien que M. Seck en a été informé dès 2000 !

    Est-ce cela qui a commandé son attitude, décriée par les fidèles parmi les fidèles à Me Wade, qui consistait à tisser sa toile à l’intérieur du PDS et de l’ Etat? Est-ce ce qui justifie qu’il n’ait pas pris en charge les projets mirobolants de Me Wade ? La réponse de IDy comme quoi il ne pouvait prendre de tels engagements parce que les préalables n’ étaient pas assurés, à savoir le chronogramme, les études de faisabilité etc, cette réponse donc est juste a posterirori. Il aurait été plus courageux et plus honnête de la fournir lorsqu’il était en fonction.

    Bref, ce sont là des questions qui nous taraudent l’esprit. Le comble c’est précisément l’issue du dossier des chantiers de Thiès.

    Les conclusions qu’il faut en tirer sont de trois ordres :
    – ou bien Idrissa Seck a effectivement détourné de l’argent, mais a eu l’intelligence de fausser les pistes, n’oublions pas qu’il était dans un cabinet d’audit. Il faudrait à ce moment se demander à quoi nous servent la Cour des Comptes, l’ IGE, la Gendarmerie, la Police, les Experts Evaluateurs etc ?
    -ou bien il n’a pas détourné de l’argent et donc son arrestation n’était qu’un prétexte pour le mette au gnouf ? En vue de quoi ? De le mettre hors d’état de nuire ? Ou d’essayer de le forcer à répondre de quelque chose ? Ou à rendre ce qui ne lui appartient pas?
    -ou bien les chantiers de Thiès ne sont que rideau qui tentait de dissimuler un problème de gros sous entre Me Wade et Idrissa Seck. Ce dernier s’en est ouvert à Amath Dansokho lui-même, mais également à Oumar Sarr, son actuel porte parole.

    La suite des évènements doit nous amener à conclure que le problème entre les deux hommes est bien celui de la gestion des fonds politiques. Cela seul doit permettre de comprendre qu’il n’y ait pas eu de suite dans l’audition des entrepreneurs, celle des Ministres concernés, des structures ayant pris part à ces travaux. Cela explique également qu’il ait été libéré malgré tout ce tintamarre, non pas sur la base de défaut de preuves compromettantes, mais sur la base de négociations initiées par Me Wade et ses émissaires.

    Idrissa Seck vraisemblement n ‘aurait pas respecté les termes de l’engagement issu de ces négocations. A contrario, il en fait une très bonne récupération politique : il précise que s’il avait détourné de l’argent dans les chantiers de Thiès, on ne l’aurait pas libéré.
    Mais il ne s’est jamais prononcé sur les objets de ces négociations ! Précisément parce qu’il devait tirer profit de cette erreur politique de la part de son Maître ! Le mettre en prison sans l’exterminer politiquement, c’est-à-dire fournir des éléments compromettants à même de noircir définitivement son Cv, c’était justement participer par une dialectique à en faire un martyr et à construire l’aura politique de cet homme ambitieux, qui n’a donc pas fait mystère de son voeu de réaliser son destin présidentiel.
    Il appartenait donc à M. Seck de tirer le plus grand bénéfice de cette gaffe : et ce par la magie de la reconstitution et du Discours !
    Il fait un black out total sur l’objet des négociations, il reconnaît leur existence. Il ne nous dit pas ce que Me Wade lui a proposé, ce qu’il a accepté de faire, quels sont les engagements qu’il a pris auprès des émissaires de Me Wade, quels sont ceux de Me Wade auprès des émissaires de IDrissa Seck.
    Mon hypothèse qui peut paraître simpliste est que devant cette tournure des choses : Me Wade, qui se voit adouber par le Jeune, se trouve dans une situation difficile : s’il dénonce Idrissa Seck de détournements d’objectifs, notamment d’avoir redirigé de l’argent prévu à d’autres fins, il s’agirait de centaines de milliards, alors Me Wade se trouverait dans la situation de celui qui faisait migrer des fonds politiques dont le contrôle est certes du seul ressort du Chef de l’ Etat, c’est-à-dire qu’il en dispose comme il veut, mais des fonds politiques qui vont malheureusement largement au-delà de ce qui est autorisé par l’ Assemblée Nationale. Car si la gestion des fonds politiques n’est sujette à aucun contrôle, son montant est voté publiquement par l’Assemblée Nationale: il serait de 650 Millions de francs CFA . Pourquoi donc est-il question de milliards ? Parce que des dons, des aides venant de puissances étrangères aurait été systématiquement versés sur le compte des fonds politiques, qui étaient du coup un trèsor de guerre pour Me Wade dans l’achat de certaines consciences. C’est ce trésor de guerre, ou en tout cas une bonne partie qui sera le levier financier de M Seck dans son combat pour la conquête du Pouvoir !
    Si Me Wade le dénonce comme un Voleur, il serait lui-même accusé de vol ! Un voleur ne désigne pas un autre comme voleur. Ce qu’il pouvait faire c’était essayer d’entacher sa réputation avec les Chantiers de Thiès, mais cela a capoté. Le remettre en prison à 4 mois des élections serait une honte pour la démocratie sénégalaise. D’où la nécessité dans laquelle se trouvait Me Wade de proposer à nouveau des négociations, car elles ont bien existé et ont été initiées par BONGO Omar.
    Si cette hypothèse est valable, en tout cas elle est plausible, on comprendrait alors qu’on ait du mal à choisir entre les deux hommes ! Ils seraient effectivement à mettre dans le même sac: tous les deux ne seraient intéressés que la recherche du profit, ‘deux bandits de grand chemin’, deux coupeurs de route en costumes, deux larrons forgés dans le même moule : celui de trouver les voies et moyens de satisfaire les appétits de leur EGO démesuré !
    Il suffit de faire une petite analyse de leur profil psychologique pour voir qu’ils ont, sous différents rapports, tous les deux pareils : ils manient bien le Wolof, comprennent très bien le mental des sénégalais, en font cas surtout quand ils parlent wolof, ils savent comment leurrer les sénégalais, leur point fort, leur talon d’achille, leurs références sociétales, culturelles, religeuses. D’ailleurs quand on reproche à Idrissa Seck d’ utiliser la religion à des fins politiques, on oublie toujours que Me Wade avait dit juste avant les élections de 1993 que celui qui dirigera le Sénégal est celui qui aura bien profondément compris l’impact de la Religion, entendez aussi le confrérisme religieux.

    C’est pourquoi justement l’on a du mal avec Idrissa Seck : tantôt l’on se dit qu’il n’a pas triché,détourné de l’argent, car autrement l’ Etat l’aurait arrêté facilement. Tantôt l’on se demande si tout ça ne ressemble pas à une farçe? A un deal entre les deux hommes qui consisterait à un legs du pouvoir organisé politiquement, pour lui donner une légitimité. D’aucuns situent déjà les retrouvailles dans l’entre deux tours, si le quart bloquant est toujours maintenu… Bref ce sont des spéculations effarantes.

    Dans tous les cas, ce qui risque d’être dramatique dans ce DUEL c’est précisément d’avoir à choisir entre ces deux hommes, que je me permets de mettre dans le même sac, si mon hypothèse est valable.
    Le Professeur Mamadou Diouf, du Michigan University, disait récemment que ce serait tragique d’avoir à limiter le choix entre Me Wade et Idrissa Seck. Pourtant M. DIouf sait bien qu’il en est ainsi. Car c’est bien cela qui ressort d’une lecture de l’offre politique. Le Parti Socialiste aurait pu changer quelque peu la donne, mais il semble amorphe ces jours-ci. Il ne faut pas compter sur les singletons Bathily, Dansonkho, Savané pour renverser la tendance.

    Ma conviction est faite que le choix sera d’autant plus difficile que les deux termes du choix se valent intrinsèquement : bien entendu, je pars du postulat que Me Wade, au nom de politiques politiciennes, aura trahi le pacte qui devait le lier au peuple qui l’a élu en 2000 et qui portait beaucoup d’espoirs sur lui, espoirs qui se sont étiolés au fil des 6ans …. Idrissa Seck serait-il le moindre mal ? Meilleur que Me Wade ? J’en doute fort !!
    Devrait -on réélire Me Wade à 83 ans avec le risque d’avoir peut être une instabilité au sommet de l’Etat ? Doit-on lui laisser le temps de terminer ses travaux dont les délais de construction paraissent bien exiger plus que deux mandats de 5 ans ? Doit-on le réélire pour qu’il se donne le temps de trouver enfin un dauphin digne de le remplacer, comme il le proclame ? En réalité un dauphin sûr, qui lui donne la garantie qu’il ne fera pas de mal à sa famille, notamment à Karim Ben Abdallah.

    Cette aporie politique est celle métaphysique dans laquelle se trouvait Samba Diallo dans l’ Aventure ambiguë. Elle traduit ici notre désarroi, notre dépespoir aussi : je crois qu’il faut vraiment désespérer de la Politique au Sénégal ! Si ce n’est de la politique, au moins de la classe politique actuelle. Ce désenchantement politique ne nous interdit pas d’aller voter, c’est certain, mais il faut dire qu’il est tout de même périlleux et de nature à offusquer nos élans.

    { Ce message a été posté ailleurs, sur seneweb.com et senediaspora.com , a l’ epoque, mais puisqu’il concerne aussi les ‘adeptes’ de Rewmi et de son Président, il me semble indiqué de recueillir leurs avis, à condition qu’ils s’ efforcent, les adeptes bien entendu, à une analyse lucide et objective de la situation socio-politique actuelle pour s’apercevoir des vérités contenues dans cette lecture que nous proposions. }

    – See more at: http://lignedirecte.sn/graves-revelations-sur-le-differend-wade-et-idy/comment-page-1/#comment-54506

  3. Les réponses aux nombreuses questions et hypothèses se trouvent dans votre propre texte. Si cette hypothèse…Si Maître Wade…Et si…Vous avez des preuves et non des suppositions, apportez les à Macky Sall il serait heureux de pouvoir les utiliser pour combattre IDY. Je rappelle que Macky était Premier Ministre à l’époque des faits rapportés. Lui aussi n’avait rien trouvé dixit A.Wade lui même. Accusation pour accusation, que faîtes vous des 7 milliards de Taïwan rapatriés et donnés à Macky Sall par Wade à redistribuer aux Ministères? Une gestion plutôt nébuleuse qui n’a jamais produit de rapport. Que faites vous de la déclaration de Macky Sall: » j’ai eu à bénéficier de la générosité du Président Wade ». Rappelons que que le budget de campagne du candidat Macky fut le 2e plus gros budget après celui de Wade. Et que sa propre déclaration de patrimoine en fait un milliardaire en 8 ans de participation au pouvoir sous Wade. On continue à suspecter Idy sans preuves et on blanchit par un lourd silence complice l’enrichissement pour le moins nébuleux de Macky.
    Puisque vous aimez Samba Diallo, aider le à trouver la réponse à sa question: »Comment vaincre sans avoir raison. Wa Salam!

  4. Bonjour CBAN,

    Vous devez comprendre que Macky Sall ne pouvait rien trouver a l’ epoque. Precisement, parce que le Dossier des Chantiers de Thies etait bel et bien un  » Paravent « ….. Idrissa Seck n’ a cesse de le repeter aux Magistrats eux-memes, 90 % politique et 10 % volet judiciaire disait-il du dossier des Chantiers de Thies.

    Deuxieme fausse piste : dire, la encore pour tromper les Senegalais , que ce sont les Fonds politiques qui les opposent : non justement. Ils ont detourne de leur objectif des sous recus des pays arabes. Donc pour pouvoir en user et abuser a satiete ils ont couvert cela par la magie des Fonds politiques.

    Donc Idrissa Seck, et d’ailleurs il suffit d’ analyser son comportement a l egard de Wade, pour comprendre qu’ il etait bien implique, vient de voir definitivement sa credbilite affectee : je m’ etais dit que Wade en etait le grand responsable, mais non. C’ est Idrissa Seck lui-meme qui a vandage son Destin presidentiel.

    Car en communication politique, les dernieres recherches etablissent que la Credibilite est la notion la plus importante parmi celles qui structurent la Legitimite en politique. Il a cru, lui Idrissa Seck, que son charisme inne suffisait a se jouer des Senegalais. Eh ben non.

    Jusqu’ a l’ extinction du Soleil, il ne pourra se laver d’ une grande eau qu’ a la condition expresse, justement, de nous servir une nouvelle version……qui ne soit pas cousue de fil blanc. 40. Milliards contre un Destin Presidentiel ? Est-ce que cela valait le coup ? Il n’ est pas President, mais il est bien plus riche que Macky Sall , avec ses supposes 8 Milliards. Bref, c’ est decevant de voir la situation dans laquelle il est presentement. Au mauvais moment en plus. Pffffffffffffffffffffffff.

    PS : CBAN,  » vaincre sans avoir raison  » dans l’ Aventure ambigue, fait allusion a  » La Dialectique : comme mise en discussion, comme l’ art d’ opposer des contaires et ultimement, comme l’ art de l’ argumentation logique qu’ utilisaient les Sophistes dans la Grece antique. Mais egalement, dans le monde moderne, c’ est cela aussi, qui est attendu des Politiques ou des Politiciens. Ils ont a argumente constamment. Cette affaire, a entendre Idrissa Seck d’ une oreille, en est la Parfaite illustration. Je me souviens du fichier audio balance sur Seneweb, ou il etait venu accompagner sa fille qui passait l’ entree en sixieme. Et il s’ etait prononce pendant une vingtaine de minutes. Et les Commentaires l’ ont a 90 % disculpe. Alors meme plusieurs zones d’ ombre subistaient dans son argumentaire. C’ est cela l’art de vaincre, sans avoir raison , forcement.

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