Wade-fils fait de la récupération politique sans coup férir. Ce dernier dans les liens de la détention depuis le 17 avril dernier pour malversations financières dans le cadre de la traque des biens mal acquis, les commerçants de Sandaga ont scandé son nom, « Karim, Karim » après que l’incendie du mythique bâtiment de Sandaga a emporté « leurs millions gagnés toute une vie ». « Un jour, ce sera la fin de ce régime, qu’ils le sachent. C’est du terrorisme. Nous allons entrer chez eux et les égorger tous un par un » lâchent certains commerçants au moment où d’autres en appelle à Karim Wade. Ce qui ne plait pas à d’autres qui n’ont pas le cœur à la politique, vocifèrent :«Quoi Karim…Fi… nous la paix. Qu’est-ce qu’on a à faire de lui alors que ce sont des millions gagnés pendant toute une vie qui s’envolent ». Le tout devant le maire de Dakar, Khalifa Sall qui a eu sa dose de huées.
« Ce sont les autorités qui ont mis le feu pour nous obliger à partir. Ils ont profité de la fête de la Tabaski pour nous déguerpir. Et cela fait au moins une semaine que personne n’est entré ni sorti d’ici. Donc, s’il y a le feu, cela ne peut venir que d’elles. Je sais ce que je dis et je pèse mes mots. Je suis dans ce marché depuis 1981 et c’est la première fois que je vois cela. Depuis la veille de la Tabaski, ils ont fermé toutes les issues. Ce sont des millions de F CFA que j’ai gagnés au prix d’énormes sacrifices qui sont en train de partir en fumée. C’est pour cela que je pleure. C’est inhumain qu’ils nous interdisent d’accéder à nos cantines alors que nous sommes là depuis une heure. Qu’est-ce qui les empêche de nous laisser entrer et récupérer notre argent liquide ? Depuis le bas âge, je vis de mon commerce qui me permet d’entretenir ma famille. Allah est le plus fort. Un jour, ce sera la fin de ce régime, qu’ils le sachent », fulmine Thierno Diouf commerçant de son état repris par un autre beaucoup plus virulent.
«Ce qu’ils font c’est du terrorisme. Nous allons entrer chez eux et les égorger tous un par un ». Là où un autre commerçant comme scotché près du magasin de Mor Maty Sarr au centre de Sandaga crie au « sabotage. Ils ne sont mêmes pas capables de circonscrire le feu. Ils ne disposent que de trois camions citernes et on dit que l’un est tombé en panne. Ils le font exprès ».
« Sandaga prend feu. Tout part en flammes, il faut dire cela à maman » lâche un autre au téléphone.
« Je ne peux pas dire grand chose. Vous voyez, ils sont mécontents. Ce sont des propriétaires. Ils veulent entrer dans les cantines mais on ne peut pas les laisser pour leur propre sécurité » réagit Khalifa Sall fortement hué par les commerçants qui scandent le nom du fils du président sortant Wade « Karim, Karim ».
Ce qui n’est toutefois pas pour plaire à l’un d’eux qui n’a pas du tout le cœur à la politique. « Quoi Karim…Fiche nous la paix. Qu’est-ce qu’on a à faire de lui alors que ce sont des millions gagnés pendant toute une vie qui s’envolent. Ça, c’est pire que le Joola. Nous n’avons pas le cœur à faire de la politique. Nous ne permettrons à personne de faire de la récupération politique. Si c’était la maison de l’autorité qui prenait feu, cela ne se serait pas passé ainsi » sur les colonnes du journal « l’as ».
pressafrik.com
Attention a cette presse opportuniste ki sont entrain dorchestre une comm en faveur de karim a kel prix. Karim doit casquer tres fort en argent. Cette presse est la est un cancer pr le senegal.ils naiment pas le senegal mais plutot sont lez bras armes de certains hom politiq moyennant de largent
Cessez de nous emmerder .Sandaga est une honte pour le Senegal
Tas de saletés, d’immondices et de bruits.
Sandaga doit disparaitre pour qu’on ait une ville digne de ce nom.
Qui sont ces marchands !!!!
La Force doit rester a la LOI !!!!!!