Alors qu’ils croyaient habiter une contrée sablonneuse, les habitants de Keur Massar découvrent qu’ils sont dans une zone de rivières masquées par le remblaiement des promoteurs immobiliers astucieux. Les dénivellations et cours d’eau asséchés depuis les années de sécheresse ont été ainsi masqués, mais ont révélé leur vraie topographie à la faveur de la pluviométrie abondante revenue. Ainsi, Keur Massar devrait plutôt s’appeler «Keur mares Sarr». Tellement il y a de l’eau dans cette ville nouvelle !
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