Kazou Rajab: Isra Wal Mi’raj avec Mouhamed SAKHO
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Mais oui Ndiaye.; Reflexion bi dafa wara weyy .
L’Africain doit rĂ©flĂ©chir sur les tares qui rythment sa marche. Il doit arrĂ©ter de penser ses fatuitĂ©s.
Il est certainement perclus de moult dĂ©fauts congĂ©nitaux et autres habitudes ataviques. L’Africain continue Ă les dĂ©nier naivement et de façon puĂ©rile comme un immature orgueilleux.
Ainsi, chaque fois qu’un de ses fils produit des oeuvres d’un niveau universel, l’Africain reste sur le registre sentimental et de l’Ă©motionel.
IncrĂ©dule, il adule du bout de la langue ses quelques fils prodiges, mais ne fait rien pour s’Ă©lever Ă son niveau et s’Ă©manciper.
Depuis Kocc Barma jusque Cheikh Anta DIOP, depuis Xali Madiakhaté Kala jusque Sédar SENghor en passant par Moussa Ka, comment avons nous métabolisé les oeuvres de NOS producteurs de pensées et de sciences universelles.
L’Africain ne songe pas Ă soutenir ses tĂȘtes de proue en perpĂ©tuant leurs idĂ©es et en les mettant en oeuvre dans ce qu’elles ont de positifs. L’Africain Ă©pie puis critique les habitudes des ses penseurs et savants quand il ne les chante pas en les dansant du matin au soir, de façon irrespĂŽnsable.
Au demeurant, L’AFRICAIN doit rĂ©flechir par lui mĂȘme , pour lui mĂȘme quant Ă son rapport Ă l’autre . Ne doit-il soumettre d’autres contemporains Ă son service et cela pour le bien de l’Afrique, alma mater.
Qu »est ce qu’il peut prendre par la force ou la ruse Ă l’autre pour l’apporter hic et nunc Ă l’Afrique.
LĂ est le dĂ©but d’une rĂ©flexion. En ce la je rejoins un peu les idĂ©es de Felwinne SARR.