La Naïveté Africaine : Le Franc (CFA) Nazisme Monétaire.
Infligée à l’Europe colonisée : La France retourne la bombe nazie contre les Nations Africaines. Par Ousmane Drame NYC USA
Ces éléments constituent naturellement le fondement de toute nation dans un état de développement durable ; des disciplines qui se conjuguent et ne se séparent jamais : une langue nationale officielle permettant le passage du message ; une monnaie libre et indépendante gouvernée par une banque centrale ; le contrôle total de ses ressources économiques.
Ce qui suit une organisation des politiques et des institutions allant vers le bon sens des réalités socio-économiques, culturelles, éducatives, historiques et philosophiques des populations et la nature du territoire national ; rien de compliqué quand il s’agit d’une république digne de son nom.
La langue est le fondement de la communication, l’éducation et le savoir ; elle est l’instrument par le canal duquel les populations se maintiennent en contact. Cheikh Anta Diop disait que: « Il est plus efficace de développer une langue nationale que de cultiver artificiellement une langue étrangère : un enseignement qui serait donné dans une langue maternelle permettrait d’éviter des années de retard dans l’acquisition de la connaissance. Très souvent l’expression étrangère est comme un revêtement étanche qui empêche notre esprit d’accéder au contenu des mots qui est la réalité. Le développement de la réflexion fait alors place à celui de la mémoire ». (Souligné par nous). In Nations Nègres et Culture, Présence Africaine, 3ème édition, Paris, 1979, p. 415.
Réalité du Franc CFA : Avec l’appui de quelques documents, j’ai pu avoir assez d’informations pour rédiger cette observation. Maintenant à nous patriotes africains d’aller plus loin : saisir les juridictions mondiales, organiser des manifestations devant les Nations Unies, au palais de Paris et des Ambassades…. Forcément la France doit des explications à l’Afrique et la justice des hommes ; (Crime contre l’humanité). La grande surprise ici, c’est le silence des Français, de leurs historiens et de leurs universitaires, d’habitude si diserts, sur ce qui est sans doute l’épisode le plus saignant de l’histoire contemporaine de leur pays.
Nazisme Monétaire dans les territoires européens occupés : France, Belgique et Pologne ; malheureusement exporté en Afrique par le colonisateur français. En effet, le franc CFA de la zone Ouest concernent huit pays : Bénin, Burkina, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo et celui de la zone centrale six pays : Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée équatoriale et Tchad. Certains pays ont choisi, lors de l’indépendance ou après, de quitter la zone franc coloniale : Algérie, Maroc, Tunisie, Mauritanie, Madagascar, Guinée ; le Mali quitte en 1962 puis revient en 1984.
Selon l’ancien ministre français des finances, René Pleven, le franc CFA a été créé le 26 décembre 1945 dans les colonies françaises, afin de leur épargner une forte dévaluation, ce qui a facilité les exportations vers la France. Aujourd’hui, le bilan de la création du CFA est qu’il a nettement appauvri l’Afrique francophone. Cette monnaie est régie par trois banques centrales de l’Afrique francophone, la Banque des États de l’Afrique Centrale (BEAC) située à Yaoundé, au Cameroun, et la Banque centrale des états de l’Afrique de l’ouest (Bceao) située à Dakar, le Sénégal et la Banque des Comores. (AfricanLiberty.org).
« La réalité du franc CFA et de la zone franc, c’est aussi et peut-être surtout, le nazisme monétaire. Mettre en lumière cette autre réalité est l’un des intérêts majeurs de la présente et nouvelle édition du livre de Nicolas Agbohou. Le franc CFA, ou franc des Colonies Françaises d’Afrique, est créé le 25 décembre 1945. La France, vaincue et conquise par l’Allemagne hitlérienne en mai 1940 vient de subir cinq années d’occupation nazie. Ce n’est pas une surprise, les Français créent le CFA en 1945, après l’occupation nazie, la même année où Sédillot publie son livre. Pour cette création, ils ont au préalable récupéré l’arsenal statutaire du nazisme monétaire que leur a infligé l’Allemagne et qui fut entre autres inclus dans la convention d’armistice signée le 22 juin 1940 entre la France conquise et l’Allemagne conquérante. Les Français ont alors fait du copier-coller : à leur tour, ils ont retourné l’arsenal nazi contre les Africains, de sorte que le franc CFA et la zone franc, c’est du nazisme monétaire ». Le Professeur de Nicolas Agbohou : http://www.youtube.com/watch?v=J5tSLfdKPN0
(4) années de circulation de la monnaie nazie la France appauvrit sauvagement et voilà plus de 65 ans les mêmes chaines en Afrique malgré la pauvreté les africains se tiennent debout ; seulement, nous sommes bloqués dans une impasse économique mais aussi des possibilités de rattrapage demeurent si, vraiment nous sommes décidés. C’est vraiment triste et inadmissible dans un monde qui se dit civilisé et que surtout des pays, soit disant souverains, soient victimes d’une telle arnaque. Ce qui est plus gênant et honteux c’est le silence ou la complicité des Nations Unis, des grandes puissances et même des ONG défenseurs des peuples opprimés. Une histoire qu’ils maitrisent mais sont malheureusement des hypocrites militants aux intérêts du colonisateur français.
Dans plusieurs pays, la pratique ou l’idéologie du nazisme est totalement interdite alors que le monde, plongé dans un silence coupable, observe la France à travers cette pratique Nazie sucer le sang des pays souverains. La France sait mieux que quiconque cette responsabilité en détournant depuis des siècles nos ambitions. Nous devons rester debout la main dans la main cette fois pour un combat de justice à l’égard de la France ; forcement des réparations aux bénéfices des peuples d’Afrique doivent être envisagées. Nous réclamons le retour du butin subtilisé par les Français. Un débat sur ce crime monétaire intéresserait les peuples du monde, où Il faudrait la participation des ONG et des pays dignes de justice pour que cette fois justice soit faite pour l’Afrique et les Africains. Tout ce qui touche ou provenant des Nazis devrait être aboli malheureusement une France chronique de ses vieilles habitudes.
Docteur Cheikh Anta Diop pleure dans sa tombe, nul doute qu’il a eu raison sur les diplômés de sa génération qui fessaient la vaisselle aux blancs ; actuellement le peuple sénégalais et l’ensemble des africains payent les pots cassés. Nation négre et culture ; LES FONDEMENTS ÉCONOMIQUES ET CULTURELS D’UN ÉTAT FÉDÉRAL D’AFRIQUE NOIRE et Civilisation ou barbarisme des ouvrages qui pourraient renaitre notre Afrique ; Que la terre soit légère sur lui, le peuple sénégalais pleure et regrette sa disparition.
Le président sénégalais Abdoulaye Wade : « J’estime que maintenant, après cinquante ans d’indépendance, il faut revoir la gestion monétaire. Si nous récupérons notre pouvoir monétaire, nous gérerons mieux. Le Ghana a sa propre monnaie et la gère bien ; c’est le cas aussi de la Mauritanie, de la Gambie qui financent leurs propres économies », a déclaré le président sénégalais Abdoulaye Wade. En critiquant ainsi la gestion du franc CFA, il s’est immiscé dans un débat de plus en plus vif en Afrique de l’Ouest, certains économistes réclamant même ouvertement la suppression de la monnaie héritée de la colonisation ».
« La Ministre française de l’économie, Mme Christine Lagarde, a estimé nécessaire de préciser : « Ce n’est pas à la France de déterminer si le système actuel est approprié ou non, s’il faut en sortir ou pas. Cette époque est révolue. C’est aux Etats concernés de prendre leurs responsabilités. » Mais, comme pour décourager toute velléité de rupture, elle souligne que, face à la crise financière internationale, « il n’a pas été nuisible aux pays de la zone franc d’être dans un système accroché à l’euro »
Honorable Kadhafi victime du CFA, sauvagement abattu à cause de son désire ; la monnaie et la banque centrale Africaine en (2014), ce que la France ne peut pas digérer. Il avait proposé la mise en place d’une union monétaire africaine (UMA). Il avait dégagé 30 milliards (dollars) pour la création de l’UMA qui devrait avoir Yaoundé (Cameroun) pour siège. Il avait également prévue la création d’une banque centrale africaine (BCA), qui devrait installer son quartier général à Abuja, la capitale fédérale du Nigeria. Il était question que cette banque africaine commence à émettre une monnaie africaine à partir de 2014.
Aucun économiste ne peut définir le retard de l’Afrique, un continent qui regroupe toutes les ressources naturelles les plus recherchées dans le monde ; terre ou l’homme, les langues et les civilisations sont nés, malheureusement appauvrie par un système colonial sauvage. Nous vivons dans un monde de droit et de règles, il faudrait revenir à la nature de la justice pour vraiment remettre la question de la dignité africaine.
L’Afrique souffre de ses blessures depuis des siècles : l’esclavage, la colonisation et l’impérialisme. Les peuples vivent le traumatisme et la dépression face à la pauvreté ; aucun parmi nous n’est sûr de son lendemain. Ce triste système monétaire a fait trop de mal durant. L’Afrique à tout donné à la France grâce aux ressources africaines dérobées cette puissance est construite.
C’est inadmissible pour un pays à l’échelle du Sénégal dont ses ressources économiques sont toutes confisquées par un monopole étranger : La France, l’inde, l’Australie et rien aux nationaux. Je ne souhaiterais pas la tempête arabe en Afrique noire mais oui dans cette circonstance qui depuis enchaine le continent noir. La France devrait des explications au tribunal international des crimes contre l’humanité et jugée pour haute trahison contre les peuples noirs d’Afrique.
Les finances constituent l’élément fondamental du développement d’une nation, elle exige le contrôle de ses ressources économiques et des politiques de bonne gouvernance allant aux intérêts de la nation. Vivement des structures comme une banque centrale indépendante, des banques domestiques, la micro finance, des chambres de commerce, l’artisanat, des PME et de l’industrie, une bourse fonctionnelle et la participation de la diaspora pour le financement des projets ! Durant des années d’oppression avec le CFA, il nous faudrait beaucoup de réflexions et d’études ; absolument une monnaie africaine libre et indépendante et des institutions capables de gérer notre continent.
Prêt pour la Révolution des Mentalités
Prêt pour la Refondation Nationale pour un Sénégal libre, indépendant et émergent.
Prêt pour l’Unité Fédérale et Révolutionnaire des Etats D’Afrique.
Ousmane Drame NYC USA.
[email protected].
Votre article est creux et digne d’un homme politique sénégalaise ou français.J’avoue que tu maîtrises la rhétorique(l’art de paraître pertinent en jouant sur les mots) J’ai lu ta dissertation sans pour autant comprendre le fond de ton idée.En quoi le Franc (CFA) est le Nazisme Monétaire ? comment le franc cfa a empêché les pays africains de se développer ? quel est le parallélisme que vous essayez de faire entre ce que les pays africains francophones ont subi de la France et ce que ce dernier a subi de l’Allemagne ?…Tout ce que j’ai compris dans ton article c’est que tu es contre le franc cfa(ce qui peut être légitime) mais je n’ai pas compris pourquoi.
J’ai visualisé, récemment, une vidéo de Rihanna, que ses gardes de corps étaient obligés de faire fuir en la protégeant de leurs corps contre une meute de fans qui ne voulaient que s’offrir le plaisir de toucher leur idole (leur drogue ?) ou de prendre une photo avec elle. Cette vidéo m’a fait refaire le tour du processus qui a mené à cela. Avant même cette vidéo, la chose qui m’avait le plus marqué, alors que j’étais élève, c’était la découverte que des fans de Claude François passaient la nuit devant sa porte, dans la neige, à attendre une petite signature de lui sur sa propre photo qu’ils détenaient.
L’époque des Claude a été suivie de celle des groupes disco : Boney M, Ottowan, Donna Summer, Dianna Ross, Gloria Gaynor, Sheila, Bee Gees, Village People, Kool and the Gang, Ecstazy, Grace Jones, La Bionda, etc. Jusqu’à cette époque il s’agissait, plus ou moins de musiciens, artistes, qui, avec leur talent, signaient avec une maison de disques pour leur production et le marketing autour de leurs produits. Mais on avait glissé un peu vers des musiciens encadrés et réorientés par la maison de disques justement pour la réussite de la vente des produits. Le musiciens venaient donc avec ses produits, mais ces derniers étaient reformulés, réorientés par les conseils de la maison de disques pour se conformer à un moule, lequel moule permettait de vendre, de réussir, d’avoir du succès. L’artiste abandonnait donc un peu du sien, perdait son originalité pour devenir un peu autre. La maison de disque modifie, donc, le musicien dans son aspect physique et vestimentaire, mais aussi dans le contenu même de sa production musicale. Et l’arme de la maison de disques pour le faire se trouve être sa charge, à elle, de promouvoir le musicien, donc de lui faire vivre de « son » produit. Et le musicien qui se refuserait à ces modifications aura très peu de chances d’être produit et donc de vivre de son art. Il entre dans la maison de disque avec son art, il en sort avec ce qu’on lui donne. La vague des boys band permet de mieux comprendre le phénomène.
L’époque du phénomène disco a été suivie de celle des boys band. Avec les boys band, les maisons de disques trouvent des voies plus rapides pour véhiculer tout ce que les groupes de musiques traditionnels étaient réticents à porter. Les boys band ne sont pas à proprement parler des musiciens, mais des acteurs recrutés pour jouer de la musique et, avec et par cette musique, transporter dans le public pas mal de chose qu’il serait impossible de transporter sans en avoir fait un accompagnement à la musique. Un exemple sénégalais pour comprendre, c’est le cas « Wandama ». Elhadj Ndiaye lançant son studio 2000 avait produit Baba Maal. Et, à l’insu de Baba, lors de enregistrement, il glisse au milieu de l’une des chansons une réclame, une publicité de son studio. Et le disque a été ainsi vendu. Un cas d’école d’un studio qui utilise la musique pour transporter une publicité qui, autrement, aurait du mal à passer. Avec les Boys bands, ce sont les studios qui montent des projets de fabrique d’idoles. IL y a eu 2bee3, Alliage, 3T, MN8, Boyzone, 2AM, 2PM, Xtreme, Vampire Academy, The wanted, etc. Un studio de musique conçoit son projet, le rythme à lancer, l’habillement qui doit l’accompagner, le gestuel qui va avec, puis, lance un appel à recrutement de jeunes entre 12 et 20 ans. Les jeunes pré sélectionnés passent une série de tests (castings) pour trouver le mieux apte à véhiculer ce que le studio veut lancer dans le monde des jeunes. Le jeune retenu passe à la phase formation. Il aura à sa disposition, une équipe d’entraîneurs pour la musculation, des diététiciens pour le choix de l’alimentation, des esthéticiens pour le soin de l’apparence et l’entraînement aux gestuelles (aux tics), des maîtres de la dance, des stylistes pour l’habillement, bref, tout un monde autour de la prochaine vedette. Et pendant que la formation se fait le concept que va véhiculer la prochaine vedette est déjà lancé dans les médias, une photo tirée durant la formation, un bout de chanson durant la répétition peuvent servir de support pour la campagne. Les appétits des consommateurs sont aiguisés pour l’attente de ce qui est présenté comme devant être une première, et en fait d’aiguiser l’appétit, d’aiguiser la curiosité, l’envie de découvrir, il y a une fabrique de l’amour de ce qui va venir. Il suffit de voir la pareille dans les campagnes pour le lancement d’un nouveau portable ou un nouveau I-phone. Dans la plupart des cas les grandes victimes de ces pubs passent la nuit devant le lieu où la vente se fera pour être les premiers à acheter.
La nouvelle idole boy band fabriqué, c’est tout un paquet commercial qui est fait. L’idole transportera dans sa célébrité (dont nous avons compris comment elle est fabriquée) des lignes de vêtements, de verres, de montres, chaines, bracelets, ceintures, bagues, chaussures (toute une panoplie de produits de consommation choisis pour être rapidement périssables et donc renouvelables), et surtout et surtout des idées seront accrochées à la nouvelle idole pour la consommation des fans.
La même chose se poursuit dans le monde du showbiz actuel avec ses nouvelles idoles Eminem, Snoop Dogg, Akon, Lyl Wayne, Busta Rymes, Diam, etc. C’est toujours le marché de la production-gain-célébrité contre l’acceptation de servir de transport pour une mode pré choisie, des idées pré choisies. Ce n’est pas parce que le Disco comme les boys band ne sont plus de mode que le principe de la musique comme moyen de transport pour autre chose n’est plus de mise. Loin de là. Jamais dans l’histoire du monde, la musique n’a servi de moyens de transport pour autre chose mieux que durant l’avènement du Rap.
Et ce qui se passe dans le monde de la musique, en matière de fabrique, de vedettes, idoles, pour regrouper autour d’elles le maximum de fans et faire transporter à ces vedettes autre chose pour la consommation de leurs fans, est transporté mutatis mutandis dans le monde de la politique
Merci a l’auteur de cet article pertinent!
Voici un article ki devraient susciter bcp de passion et un debat d’idees mais ….on dirait k l’africain ne pense k…..!
C une evidence k l’origine du Systeme de la Monnaie CFA est bien Nazie!!!! Et tout ce ki a rapport au Nazisme devrait etre banni car c’etait un systeme diabolique et inhumain!
Encore merci pour ce travail!
Pitoyable.
Mr, évitez d’utiliser des grands mots si vous n’en saisissez pas la portée.
Pure logorrhée….
Il faudrait ici et maintenant lancer le mouvement Y’EN A MARRE DU CFA ,c’est le seul combat qui vaille. Il n’y a que les incapables qui sont sous tutelle. Merci MR DRAME
C vraiment triste, le CFA est du pur coloniale monétaire, le CFA est bien la avant les indépendances avec le même en jeu. J’ai beaucoup réfléchi sur la thèse de Drame mais je trouve que c’est la monnaie des nazies que la France a attribuer aux pauvres africains. Juste après la guerre impossible à la France de formuler une étude monétaire au bout de 2 mois pour tout un continent ; du copie collée; le système des Nazies pour ses colonie en Afrique. Merci, je sais que tu n’es pas un journaliste mais tu fais un combat que j’admire ; il ne faut jamais attendre la maitrise du Français pour mener son combat à la plume. . Du courage (30) ans aux, USA C quand même extraordinaire. Grd frère Ousmane