Dakar, 27 oct (APS) – Le Premier ministre Aminata Touré fait sa Déclaration de politique générale (DPG), lundi matin à partir de 10 heures, devant les députés réunis en séance plénière, à l’Assemblée nationale.
Aminata Touré, responsable de l’Alliance pour la République (APR, au pouvoir), a été nommée ce poste, le 1er septembre 2013, en remplacement d’Abdoul Mbaye. Avant sa nomination, elle était ministre la Justice
Mme Touré est la deuxième femme chef du gouvernement, Sénégal, après Mame Madior Boye. Sa Déclaration de politique générale sera la onzième depuis l’indépendance du Sénégal.
Face aux députés, elle énoncera les projets, la vision politique et les programmes politico-économiques de son gouvernement
Sous l’ère du régime socialiste, il y a eu quatre DPG, de 1960 à 1998 : Mamadou Dia, Abdou Diouf en 1970, Habib Thiam en 1993 et Mamadou Lamine Loum en 1998.
Sous le régime libéral d’Abdoulaye Wade, de 2000 à 2010, il y a eu celle de Moustapha Niasse, Mame Madior Boye, Idrissa Seck, Macky Sall, Cheikh Haguibou Soumaré et Souleymane Ndéné Ndiaye.
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Alors pour faire bonne figure Aminata Mimi Touré se met avec son staff de Com se met à préparer l’opinion. A travers une émission insipide avec une Françoise Seck dans un rôle de débiteur de questions préparées axées sur la FEMME que ne croit pas être madame le première ministre.
Alors au moment où des gens malintentionnées peut-être la traitent de garçon manqué, y a-t-il lieu d’avoir cette forme de communication réactive comme à l’accoutumée.
Nous pensons que non
Entre Babacar Gaye et Seydou Gueye dans un faram-facce, la question de la beauté féminine a tét soulevée mais malheureusement Seydou Gueye est tombé dans le piège tendu par Babacar Gaye qui évoquait la beauté d’âme de la femme et non pas le beauté physique. Devant cela Seydou Gueye rue dans les brancards pour dire tout le contraire jusqu’à évoquer que Mimi serait bien capable de …….
Alors l’interview d’aujourd’hui retenant l’antenne reien que pour cela n’en valait pas la peine.
Pratiquez cela vaut mieux. Parlez il en restera toujours quelque chose.
Les slogans à foison ne nourrissent pas le peuple, diminuer tous les prix du marché jusqu’à 10 Francs mais désargentés le peuple ne pourra rien acheter parce que pas de travail.
Bonne Chance au peuple qui attend toujours.