Qui a intérêt à traiter un digne fils doublé d’un ex grand commis de l’Etat dans les bas-fonds de la puanteur pour décrédibiliser sa posture présidentielle ?
Cette boule puante a été sortie de la gibecière de la transhumante Fatou Thiam pour salir l’honneur de Ousmane Sonko en le taxant de djihadiste.
Khalifa Niass s’est empressé de ruminer sa haine de Ousmane Sonko dans une surenchère sans nom pour quelqu’un qui se nomme religieux.
Ses diatribes ont coïncidé comme par magie avec la diffusion d’une vidéo qui date d’avril 2018, sortie de son contexte.
A qui peut-on faire croire qu’il s’agissait une pure coïncidence ?
Au moment où l’ascension fulgurante du leader du Pastef niveau du corps électoral bouscule l’APR à l’arrière-plan.
C’est ainsi que le porte-parole du gouvernement Seydou Gueye s’est saisi de cette boule puante avec maladresse « Ousmane Sonko a utilisé le jargon habituel du terrorisme et du djihadisme »
Ayant compris le manège Le peuple dans sa grandeur et son refus de l’injustice n’a pas tardé de démêler le vrai du faux et a encensé très tôt cette boule puante avec un spray neutralisant.
Sans oublier Moustapha Cissé Lo, qui a intériorisé certaines dispositions d’insanités à chaque fois qu’il ouvre la fente en dessous de son nez devient cataclysmique.
En conséquence, la décence m’oblige à taire ses insanités sur Ousmane Sonko.
Comme j’ai pu le souligner dans d’’autres contributions, l’impertinence et l’incohérence de cette machination s’apparente à une fébrilité de l’APR. La peur de perdre le noyau du pouvoir jusqu’à sa périphérie explique cette hystérie collective de la majorité.
Enfin, la majorité fait encore feu de tout bois, va jusqu’à affirmer par la voix du porte-parole du gouvernement Seydou Gueye « il appartient à l’Etat de prendre les mesures qui s’imposent ».
Suite à la diffusion dans une courte vidéo de Ousmane Sonko ou il disait « nos politiciens sont des « criminels Le niveau de souffrance des populations, alors qu’on a un énorme potentiel et de réelles capacités dans ce pays, est inadmissible.&
Certains membres du pouvoir à court d’arguments, se sont spécialisés dans l’invective, la manipulation et la diffusion de contrevérités. C’est peine perdue car rien ne peut arrêter la détermination et la ténacité des patriotes.
Un vieux barjot qui avance masqué n’a pas hésité à qualifier Ousmane Sonko de salafiste alors même que celui-ci est doté d’une conviction certaine et une fidélité à son pays.
Ce sont souvent ces mêmes personnes qui s’organisent en comités de soutien et qui se manifestent par des trafics d’influence de leur relation avec les détenteurs du pouvoir politique ou économique utilisant différents moyens de pression pour arriver à leurs fins, c’est-à-dire déposséder le peuple du bien commun.
De plus, la fixation du pouvoir sur certains hommes politique qui ont manifesté leur volonté de porter leur candidature à la candidature à l’élection présidentielle de 2019, a irrité le pouvoir qui n’a alors cessé d’utiliser les moyens de l’Etat pour les en dissuader.
Le peuple a découvert depuis longtemps les fayots de service, qui se sont spécialisés dans la bassesse dans laquelle qu’ils excellent pour décrédibiliser Ousmane Sonko. Fort heureusement, ils ne sont plus audibles.
Pire, les zozos qui voudront changer de nationalité en 2019 après le deuxième tour de l’élection présidentielle montre à quel point ces individus manquent de patriotisme ainsi que le peu d’intérêt qu’ils manifestent pour le jeu démocratique.
Le peuple peut se tromper comme lors de l’élection présidentielle de 2012, mais le Peuple sait se ressaisir.
Le multirécidiviste de l’insanité Moustapha Cissé Lo réitère ses insultes pendant le Magal de Touba. Il devait au moins avaler sa bulle dans un lieu comme Touba où repose un grand serviteur de l’islam.
AbdourahmaneKeita
Sociologue