XALIMANEWS: La Première Dame, Marie Khone Faye, a promis, jeudi, à Diamniadio, dans le département de Rufisque, de se faire ‘’le porte-étendard’’ de l’accès et du maintien des filles à l’école dans un environnement scolaire sûr, sécure et inclusif.
‘’Je lance un vibrant appel à l’action collective pour l’accès des filles et le maintien de toutes les filles à l’école qui est par ailleurs un droit consacré par notre Constitution. Je me fais le porte-étendard de cette noble cause et je m’engage pour que toutes les filles soient à l’école et s’épanouissent dans un environnement scolaire sûr, sécure et inclusif’’, a-t-elle déclaré.
L’épouse du chef de l’Etat s’exprimait lors de la Journée nationale de l’Éducation des filles, dont elle est la marraine, au Centre International de Conférences Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio.
La rencontre organisée par le ministère de l’Education nationale a servi de cadre pour le lancement officiel des campagnes : ‘’Le Sénégal éduque ses filles’’ et ‘’l’Initiative Priorité à l’Égalité.
Dans sa prise de parole, Mme Faye a adressé, en ce début d’année, ses vœux ‘’les plus sincères’’ de bonne santé, de paix et de prospérité à toute la communauté et aux filles.
Elle a signalé que ces dernières sont au cœur de l’Agenda de transformation nationale »Sénégal 2050 », le nouveau référentiel des politiques publiques.
‘’L’unité, la tolérance et le partage constituent la voie vers un avenir inclusif et prospère. Le bien-être des femmes et des enfants demeure une préoccupation majeure pour notre pays’’, a-t-elle souligné.
Selon elle, le Sénégal a tous les atouts pour devenir un exemple de progrès et de solidarité sur la scène internationale. ‘’Pour ce faire, nous devons ensemble mobiliser toutes les forces vives afin de surmonter les défis et de bâtir un avenir rayonnant pour toutes et tous’’, a soutenu la Première Dame.
‘’Ainsi, nous contribuerons à la construction d’une société plus juste et plus équitable tel que préconisé par l’Agenda de transformation national Sénégal 2050’’, a ajouté Marie Khone Faye.
Il est maintenant clairement établi par les chercheurs qu’il y’a une différence significative entre le profil psychologique de l’homme et celui de la femme ; ce qui corrobore le Coran qui est ‘’ une explication de toute chose’’ (16. Les Abeilles : 89 – An-Nahl) et qui fait état des limites psychologiques de la femme justifiant sa mise sous tutelle, quelque soit son âge, ses bagages intellectuels et sa capacité financière (43. L’Ornement : 18 – Az-Zukhruf) ; c’est ce qui explique, entre autre, le fait que Dieu n’a pas choisi une seule femme comme prophète (sur 124.000 envoyés) – oui, ce n’est point un hasard ! (16. Les Abeilles : 43 – An-Nahl) ; ceci explique aussi l’inclinaison très marquée des femmes vers la coquetterie, le superflu et le ‘’people’’ ; tout cela participant à sa féminité. Et que serait- elle devenue sans cette féminité ?
Au demeurant, il n’est nullement question, ici, de vouloir confiner les femmes au foyer ; mais de les édifier sur leur religion, afin qu’elles puissent la vivre pleinement, sans rompre avec la modernité, et qu’elles comprennent que toutes les politiques entreprises par les occidentaux et qui visent à les délivrer de toute tutelle, ne contribuent, en vérité, qu’à leur perte. Oui, il n’y a point d’épanouissement pour la femme, en dehors de la soumission à un tuteur (époux ou parents, etc.).
Et de rappeler que l’Islam exhorte les femmes à rechercher la connaissance, au même titre que les hommes. Et si, après s’être acquittées de ses obligations ménagères, elle arrive à contribuer financièrement aux charges de la famille, par une activité licite, cela ne peut qu’être salué – tant que l’autorité parentale n’est pas remise en cause (à moins que ce ne soit qu’au plan purement administratif).
Telle est la vision de l’Islam, mais il faut savoir l’adapter au contexte socio économique, en ayant toujours à l’esprit que notre noble religion n’est que miséricorde et qu’elle prévoit toutes sortes d’aménagements (allégement, alternative, etc.).
Et dans une telle perspective prenant en compte la dimension spirituelle, la vulnérabilité économique des femmes doit être forcément relativisée ; car, en vérité, Dieu leur a donné des garanties solides – à la seule condition qu’elles Le craignent et n’oeuvrent que pour sa Face (son agrément), comme l’enseigne le Coran : “Et quiconque craint Allah, Il lui donnera une issue favorable et lui accordera ses dons par des moyens sur lesquels il ne comptait pas” (65. Le Divorce : 2-3 – At-Talâq) …
Oui, toutes les religions monothéistes (Islam, Christianisme, Judaïsme) placent l’homme au dessus de la femme, avec des devoirs et des obligations en rapport avec cette responsabilité). Et c’est dire que toute idéologie prônant le contraire est forcément d’essence ‘’antéchristique’’ (franc-maçonnique, entre autres) et ne peut prétendre à une universalité, encore moins à une immuabilité. Comment pourrait-il y’avoir une universalité des droits de la femme (ou des homosexuels), en dehors de la religion ?