Xalima news – Ça va s’emballer dans l’affaire du brûlot «Pour l’honneur de la gendarmerie». L’auteur du livre le colonel Abdoulaye Aziz Ndaw, attaché militaire à l’ambassade du Sunugaal en Italie, qui avait été rappelé à Ndakaaru pour répondre de ses écrits et d’avoir brisé le devoir de réserve, est rentré au pays. Il a foulé le tarmac de l’aéroport Leo-poète, dans la nuit du samedi à dimanche sous haute protection policière. Selon nos sources, le colonel Ndaw est convoqué aujourd’hui même au Haut commandant de la gendarmerie nationale. Pour dire que des képis vont voler. Que va-t-il se passer entre les murs de l’Etat major général de la gendarmerie ? L’attaché militaire de l’ambassade du Sunugaal à Rome risque de subir les premières conséquences de ses écrits. Son retour sur Ndakaaru balise la voie à l’Inspecteur général des Forces armées pour démarrer son enquête. La machine infernale va s’enclencher. Et comme l’affaire est brûlante et secoue un pilier de la République, le cuistot en chef ne va pas laisser mariner l’affaire.
Il va tout passer au four et rapidement. Pour dire que le colonel Ndao risque de ne pas sortir libre des murs d’où il avait la haute main sur la gendarmerie. Il pourrait se voir mettre aux arrêts de forteresse de 60 jours hors de Ndakaaru. Et dans le même temps, l’Inspecteur général des forces armées va diligenter toutes les procédures liées à l’enquête dont il est chargé. D’abord par rapport aux actes posés par l’officier de gendarmerie, ensuite pour faire la lumière sur les écrits contenus dans le livre. Le colonel sera donc longuement cuisiné dans les jours et semaines à venir, tout comme son ancien patron et ami, le Général Abdoulaye Fall (aancien Haut commandant de la Gendarmerie et ambassadeur démissionnaire du Sunugaal à Lisbonne) qu’il accuse de tous les péchés d’Israël dans les deux tomes de son brûlot. Et cette enquête de l’inspecteur général des Forces armées qui sera sanctionnée par un rapport transmis à l’autorité ne sera qu’une première manche. La suite se déroulera devant un tribunal militaire.
Source: Le Populaire
La Vérité est un Crime au Sénégal.
Dire la vérité est l’un des dangers les plus graves dans ce pays de croyants.
Le peuple sénégalais est derrière vous, vs êtes un patriote qui dit la vérité et qui aime son pays. Votre faute est de révéler est une vielle information, une bonne partie des Sénégalais le savaient déjà. Une révélation tardive mais une vérité absolue. Ces magouilles dans notre système d’Etat sont intégrées bien avant la naissance du Président Macky Sall. Le long silence de la Présidence et du Procureur de la république constitue une circonstance qui en dit long. En effet, depuis cette fameuse indépendance, notre pays fonctionne par la corruption, les tricheries, le vol des caisses publiques, le favoritisme, l’inégalité, l’injustice et l’impunité. Un pays où plusieurs de ses citoyens sont sous le contrôle d’une mafia très bien organisée. Les diplômés soit disant « intellectuels » se sont substitués au Blanc colonisateur et les familles maraboutiques ont pris la place des rois. Le pauvre sénégalais un simple talibé ou un pauvre « badola »demeure dans son rôle d’indigène prompt à subir ou à satisfaire tous les désirs du maître. La vérité est rare chez nous mais une discipline qui crée une popularité suprême. Du Courage rejoint la politique vraiment pour sauver la vérité dans ce pays dont tout roule à l’envers.
L’Armée devrait aussi prendre une part de responsabilité par des interventions en cas de catastrophe naturelle, en participant à l’aménagement des terres et au traitement sanitaire des paysans. «Une Armée qui ne peut pas nourrir son Peuple ne peut pas le défendre.» (Ahmed Sékou Toure)
Prêt pour la Révolution des mentalités
Prêt pour la Refondation nationale pour un Sénégal libre, indépendant et émergent.
Prêt pour l’Unité fédérale et révolutionnaire des Etats d’Afrique.
Osman NYC USA.
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mon frère nous sommes dans un pays ou il faut apprendre l’art de vaincre sans avoir raison parfois je me sens mal car après tout c notre senegal qui est comme ça