XALIMANEWS: «Le paysage politique sénégalais est actuellement le théâtre d’une controverse grandissante, centrée sur le refus de parrainage à l’opposant Ousmane Sonko en vue des élections présidentielles de 2024. Cette décision semble être davantage le résultat d’une volonté manifeste du régime de Macky Sall de bloquer illégalement la candidature de Sonko plutôt que de préserver l’intégrité du processus électoral.
L’introduction du système de parrainage en 2018 avait pour but de renforcer la transparence du processus électoral en exigeant un nombre minimal de parrains pour chaque candidat à la présidentielle. Cependant, son utilisation dans le cas de Sonko a suscité des inquiétudes légitimes quant à son application équitable. Il est impératif que le parrainage ne soit pas utilisé comme un instrument de suppression politique.
Ousmane Sonko, en tant que candidat favori de l’opposition, a rassemblé un soutien populaire considérable. Le refus de ses parrainages semble être une tentative flagrante de priver les électeurs de la possibilité de choisir librement leur leader. La démocratie repose sur la participation de tous les citoyens, et la décision de bloquer la candidature de Sonko suggère un abus de pouvoir et une volonté manifeste de restreindre le champ des candidats.
Ce cas met également en évidence la nécessité d’une réforme du système de parrainage. Bien qu’il soit conçu pour empêcher des candidatures frivoles, il doit être appliqué de manière juste et transparente. Les réformes futures devraient garantir que le parrainage n’est pas utilisé pour empêcher illégitimement la participation de candidats populaires.
En fin de compte, le refus de parrainage à Ousmane Sonko renforce l’inquiétude croissante concernant l’état de la démocratie au Sénégal. Il est essentiel de remettre en question les pratiques qui semblent violer le droit des citoyens à choisir librement leurs dirigeants. La démocratie ne peut prospérer que si elle offre à chaque voix la possibilité d’être entendue, indépendamment des opinions politiques, afin d’assurer un avenir politique plus juste et inclusif pour le Sénégal », a posté Pape Alé Niang sur sa page Facebook
ce gros kathiapan amateur de cul et masseuse, il était tellement sûr de son fait qu’il croyait qu’il pouvait se permettre de pisser partout. Gatsa gatsa, kou dé sa yaay djourate, et des imbéciletés plus crétines les unes que les autres, sans oublier les menaces directes adressées aux autorités de ce pays, les injures et j’en passe. Il avait juré sur tous les saints qu’il n’allait jamais être emprisonné ce sulfureux ibadou. Un menteur invétéré époux polygame , qui préférait aller se faire pouponner le thiouthiou dans les thiouthiouteries ouvertes en plein couvre-feu et à une heure indue de la nuit. Billahi wallahi tallahi Sénégal rek ka nekh et voilà un tel kathiapan que ces zigotos veulent nous présenter sous le label kou seleu ki, un kathiapan qu’ils veulent nous imposer comme président, un kathiapan au thiouthiou baladeur nocturne qui préfère se faire raser par cette danguine bou AVC.
Pape Ale. Affairou boukatt laa. Nous sommes dirigés par un poltron, menteur, voleur et manipulateur. Lii yeupeu, c’est la faute de Sonko. Daa gnoo tappette Kou Seleu Kii et je peux dire que depuis 2019, tout leur bilan porte sur Kou Seleu Kii. En mars 2021, il ne devait écouter personne, je dis bien personne. Il devait faire comme Aida Diallo!
L’explication est simple. Si on se bat et que tu m’enfermes, cela veut dire que tu n’es pas un homme, mais un poltron. Macky encore une fois, soo gnémé, affronte Kou Sekeu Kii à armes égales. Manam, mettre tonton Moussa Fall ak le neddo de la police de côté
Avant de le faire, je vous conseille de faire un tour à la pharmacie pour un médicament anti-diarrhée. Kou Seleu Kii day karaté en passant!
Le Sénégal n’a aucun problème avec la démocratie au contraire. Le problème du Sénégal c’est des gens qui confondent démocratie et anarchie. Des individus qui croient que dans une démocratie on peut se permettre n’importe quelles dérives et n’importe quels excès, des gens qui croient qu’être dans un état démocratique, c’est être dans un no man’s land où tout est permis. Ces gens sont les plus grands fossoyeurs de la démocratie et de l’état de droit.