Quatre femmes sèment la terreur à Harare. Dernier fait d’armes, l’enlèvement et le viol collectif d’un soldat.
Personne ne sait d’où elles viennent ni quelles sont leurs motivations. Mais le désormais célèbre «gang des violeuses» de Harare, la capitale zimbabwéenne, ne cesse de faire parler de lui. Le site du Daily News consacre un article à cette bande de quatre femmes accusées d’avoir enlevé puis violé un soldat de l’armée nationale.
Selon le site du quotidien zimbabwéen, les faits se sont déroulés il y a tout juste une semaine. Un jeune soldat en permission se rend chez lui dans la banlieue de Harare. Il pris en stop dans une voiture conduite par un homme et deux femmes à bord. Une heure plus tard, le jeune soldat de 25 ans se retrouvera seul avec dans une maison en pleine zone déserte, avec quatre femmes.
Ces dernières vont le retenir prisonnier pendant cinq jours et le violer de façon ininterrompue, en le menaçant avec une arme, d’après les renseignements fournis par la police locale.
Les forces de l’ordre sont toujours à la recherche des quatre femmes.
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