« C’est le 31 décembre dernier, au cours du discours de présentation de voeux que le président Macky Sall devait annoncer la dissolution du gouvernement » ; ce qui aurait emporté, incontestablement, le bon et vaillant banquier Abdoul Mbaye (60 ans). Paradoxalement, l’aîné des aînés du juge Kéba Mbaye n’a dû son salut qu’à l’empressement du groupe parlementaire libéral qui a théoriquement voulu renverser l’équipe amenée par Abdoul Mbaye, en introduisant une motion de défiance (ou censure) avant l’heure.
Mais personne n’avait prévu l’imprévu… Le Premier ministre Abdoul Mbaye a réussi à transformer cette tribune, en un procès violent et douloureux contre les années Wade. Il s’est bien défendu, ce jour-là, avec force, limpidité et parfois fureur. Il a, du coup, impressionné Macky Sall et a retardé son départ déjà calé. Mais rattrapé et affaibli aujourd’hui par l’ouverture des travaux du procès de l’ancien dictateur Hissène Habré, ce vendredi 8 février 2013, l’ex Directeur général de la Compagnie Bancaire de l’Afrique de l’Ouest (Cbao) ne devrait pas pouvoir passer avril auprès du chef de l’Etat Macky Sall.
Les poissons d’avril ne se font ni en février ni en mars.
Lesenegalais.net
SON DÉPART SERA, À COUP SUR, UNE VICTOIRE ÉCLATANTE DES LIBÉRAUX QUI AURONT RAISON AU BOUT DU COMPTE
s’il part les libéraux auront encore une fois raison, je commence à leur donner raison sur beaucoup de chose, ils connaissent mieux les textes que les autres
Le remplacement au Poste de ce monsiuer est inéluctable, et c’est dommage pour notre pays. Cet homme m’a toujours inspiré confiance, mais à cause d’un militantisme belge que j’ai qualifié de raciste depuis des années, voilà ce que celà nous coûte ! Ceux qui ont aidé les belges à faire jugé un ancien Chef d’Etat Africain que notre Justice avait déjà jugé seront certainement débouté lors de ce procès.
LA DANSE DE SCALPE D’UN VAUTOUR
Madiambal Diagne s’est juré d’avoir la peau du Premier ministre ou, plutôt, il a juré à ses commanditaires d’avoir la peau d’Abdoul Mbaye celui qui, peut être, les empêche de tourner en rond.
Autrement comment expliquer ses diatribes et ses élucubrations qui constituent l’épine dorsale de sa chronique « les lundis de Madiambal » parue dans le Quotidien du lundi 4 février 2013. Sa haine viscérale ou celle de ses commanditaires à l’endroit du Premier ministre Abdoul Mbaye se mesure à l’aune de ses écrits crachés par une plume trempée dans du vitriole.
Ecrits où se mêlent mensonges, dénigrements et accusations gratuites tendant à présenter Abdoul Mbaye et ses proches sous le prisme le plus déformant possible. Allant même jusqu’à l’accuser d’être à l’origine du retour des délestages de la Sénélec qui en agace plus d’un au Sénégal.
Madiambal Diagne sait que pour dresser, facilement, la population contre quelqu’un, il lui suffit de lui coller sur le dos, telle la bosse d’un bossu, le fardeau d’être le principal responsable des coupures intempestives de courant qui matraquent quotidiennement le commun des sénégalais et ceux qui vivent parmi nous.
La perfidie « madiambalesque » ne s’arrêtera pas là. Elle ira jusqu’à vouloir dresser Abdoul Mbaye contre le clergé mouride, en l’accusant d’avoir bloqué le processus de contractualisation entre la Sénélec et un de ses fournisseurs. Ce qui, dira-t-il, « a mis en péril la fourniture en électricité du dernier magal de Touba et provoquer le retour des délestages dans le reste du pays. »
Mais le comble pour Madiambal c’est de prendre les sénégalais pour des demeurés. En imaginant dans sa petite tête un combat entre le Premier ministre et les meuniers qui, selon lui, est un moyen pour Abdoul Mbaye de s’en prendre aux intérets du groupe Mimran, Madiambal ne fait que pointer du doigt ce que tout le monde sait, puisque cousu de fil blanc. C’ast à dire qu’il est à la solde du groupe règne en maître absolu sur le monopole du sucre au Sénégal.
Que fait Madiambal de l’éthique et de la déontologie ? L’on se rappelle de l’interview que lui avait accordée, tout récemment, Jean Claude Mimran. Et pour réaliser cette dite interview, Madiambal a fait déplacement, tous frais payés, jusqu’à Paris où un avion privée l’attendait pour l’acheminer jusqu’en Suisse, à la résidence du milliardaire. L’on comprend pourquoi ce dernier a été caressé dans le sens du poil tout le long de l’entretien.
La question que beaucoup de sénégalais et de lecteurs se posent est de savoir comment les patrons de presse acceptent de laisser à leur tête, dans le cadre du Cdeps, un vendu et prostitué de la plume comme Madiambal.
Madiambal pourra-t-il expliquer comment il a déniché les millions qui lui ont permis de mettre en place son groupe de presse ?
Madiambal pourra-t-il s’expliquer sur les accusations selon lesquelles il reçoit régulièrement des dessous de table de la part des politiciens ? Il peine toujours à prouver qu’il n’a pas reçu les millions de Wade par l’intermédiaire du ministre Thierno Lô qui l’a nommément accusé à la télé.
Madiambal a-t-il une fois parlé de l’affaire des déchets toxiques à Abidjan qui ont fait des ravages, sachant que Mimran est lié de manière ombilicale à ce problème ?
On parle actuellement d’enrichissement illicite. Madiambal peut il expliquer la manière dont il a acquis ses 3 immeubles dont l’un se trouve au Virage, les pieds dans l’eau, à côté de la villa de Karim Wade.
A défaut d’être un vrai journaliste,- il n’a pas reçu la formation qui sied -, Madiambal Diagne est devenu un « boudiouman » (clochard) de la presse, car il aime chercher dans les poubelles et les caniveaux pour trouver sa pitance. S’il n’en trouve pas, il en invente et en façonne pour les mettre, malheureusement, à la disposition de son lectorat. Pouahh !!!
Le Cyclope
PS :
A bientôt, Madiambal …. Sow ! Rv du côté de Thilmakha !