La contribution de M. Tidiane Ndiaye alias Zagalo aurait pu laisser indifférents les amis du ministre Abdou Latif Coulibaly (Dieu sait que nous sommes des milliers) si l’auteur avait bien décliné son identité et surtout son parcours politique.
D’ailleurs, leur silence face aux attaques souvent injustifiées, d’esprit à hauteur de vue discutable, est à mettre sur le compte de la sagesse du «temps» et de la «patience» qui veut que la vérité finira toujours par triompher.
Latif est et demeure un patriote et ce n’est pas un crime que de servir son pays à travers un régime qui quoi qu’on dise se bat manifestement pour sortir notre pays de l’ornière.
Dans son œuvre La République abimée, l’homme précisait déjà qu’il avait deux formes d’engagement. La première est un engagement professionnel : le journalisme et la liberté d’expression. Sur ce champ, il a encadré des centaines de journalistes qui exercent aujourd’hui dans toutes les rédactions du pays et de la sous-région. Il a mené le combat pour la liberté d’expression avec d’autres et en particulier avec un groupe d’amis autour du Groupe Sud Communication, pour que la liberté d’opinion devienne une réalité dans notre pays.
Sous le régime libéral, il a rendu publiques, des informations utiles au pays sur les dérives d’un système, dont beaucoup avaient connaissance sans avoir forcément le courage de les publier, pour ainsi en endosser la responsabilité et les risques.
L’autre forme d’engagement qu’il a évoquée dans l’ouvrage suscité était l’engagement patriotique, celui au sens sartrien du terme. Un engament, disait-il, imposé par sa condition d’homme. Oui Latif est un homme engagé au sens existentiel du terme Monsieur Ndiaye.
M. Ndiaye est bien professeur de lettres modernes. Il a même essayé de montrer si maladroitement sa maîtrise de la langue de Molière dans son texte. Mais là, c’est un autre débat que nous nous gardons par pudeur de provoquer. Vous vous êtes gardé de vous présenter comme secrétaire général du Conseil régional de Kolda. En signant votre contribution par votre titre de «professeur de lettres modernes», vous cherchez à passer comme un observateur neutre et à abuser si facilement les journalistes du Quotidien. Il n’en est rien ! Vous êtes bien un politicien. Les Koldois riraient bien de vous en lisant votre tribune. La seule sans doute qui vous reste. Dans la commune de Kolda, personne ne vous écoute. A juste raison !
Affecté au lycée de Kolda à la veille de la Présidentielle de 2000, vous avez quasiment flirté avec l’Urd de Djibo Kâ. A l’époque, en bonne intelligence avec l’actuel président du Conseil régional, Fabouly Gaye, alors président du Fosco du lycée de Kolda, vous vous êtes signalé dans les manifestations contre Djibo Leyty Kâ qui venait de déclarer à l’entre-deux tour son soutien à Diouf. Après l’Urd, vous avez fait cap sur l’Afp de Moustapha Niasse. Quelque temps après, vous voilà au Pds, aux côtés de Bécaye Diop. Votre séjour chez les Libéraux sera de courte durée, car vous déposerez ensuite votre baluchon de transhumant au Jëf Jël de Talla Sylla. Pas pour longtemps, puisque vous retournerez au Pds. C’est cette dernière volte-face qui vous vaut votre poste de secrétaire général du Conseil régional. Ce n’est pas fini ! Juste après la chute de Wade, vous vous séparez du Sopi pour adhérer à l’Ucs de Abdoulaye Baldé dont vous êtes aujourd’hui le coordonnateur régional. Avec un tel parcours (au total 5 partis), vous avez intérêt à masquer votre identité, mais surtout à vous taire. Que reprochez-vous à Latif Coulibaly qu’il n’ait déjà pleinement assumé ?
Abdou L. Coulibaly a bien dit qu’il n’était plus journaliste et qu’il avait opéré une réorientation de son engagement au service de son pays. Et puis, lui Latif, est resté constant : il ne s’est jamais enlacé avec Wade encore moins avec le pouvoir socialiste, alors qu’il en a eu plusieurs fois l’opportunité.
Mais vous professeur, vous continuez de bénéficier des avantages du fait de votre collusion avec un régime libéral, alors que vous avez rompu avec le Pds. Vous avez bien fait d’intituler votre tribune A mon grand Latif !, car vous êtes un transhumant raté !
Mody NDIAYE
Enseignant, Dakar
[email protected]
LE RIDICULE NE TUE PLUS DANS CE PAYS DE NIAK JOM CE MODY NDIAYE SE POURVOIE AVOCAT DU DIABLE DE LATIF COULIBALY QUI N’OSE PLUS OUVRIR SA GRANDE GUEULE DE BUVEUR DU VIN SOUM SOUM ET MONSIEUR NDIAYE NOUS DIT QUE LATIF COULIBALY COMPTE DES MILLIERS D’AMIS DANS CE PAYS
MONSIEUR NDIAYE VOTRE QUALITE D’ENSEIGNANT DEVRAIT VOUS AIDER A MODERER VOS PROPOS SI VOUS FAITES DU MENSONGE UN VIATIQUE JE ME DEMANDE QUEL EXEMPLE VOUS DONNEZ A VOS ELEVES
D’AILLEURS CEUX QUI SE RESSEMBLENT S’ASSEMBLENT LATIF COULIBALY LE PLUS GRAND MENTEUR DE TOUS LES TEMPS COMBIEN DE LIVRES TRUFFES DE MENSONGES ET DE CONTRE VERITE QUE MONSIEUR COULIBALY A ECRIT ENTRE 2002 ET 2011
SI LATIF COULIBALY AVAIT UN PEU DE DECENCE IL FERAIT MIEUX DE VERSER L’ARGENT RECOLTE DE LA VENTE SES LIVRES PLEINS D’IMMONDICES A UNE ASSOCIATION CARITATIVE
Qu est ce que Mody veut demontrer? I dont get it. No dogmatism in politic