C’est dans un communiqué que le Parti de la vérité et du développement (Pvd), a fait part de ses avis sur le dialogue national. Pour Serigne Modou Kara Mbacké, le dialogue ne doit pas être transformé en un arrangement politique.
Après avoir répondu à l’appel du dialogue le 28 mai, Serigne Modou Kara et ses partisans ne sont pas passés par quatre chemins pour dire sans langue de bois, ce qu’ils pensent de cette concertation.
“Aujourd’hui, les préoccupations ont pour nom: crise en Casamance, crise à la santé, crise à l’école et à l’université; crise dans les collectivités locales, et ce, dans un contexte de résurgence des questions de sécurité liées aux menaces terroristes qui n’épargnent aucun pays. C’est tout le sens de notre présence et notre participation dans ce dialogue “, souligne-t-il dans La Tribune.
Toutefois, Serigne Modou Kara et compagnie appellent aux acteurs de ne pas transformer le dialogue en un arrangement politique. “De notre point de vue, le dialogue qui relève des traditions et des bonnes pratiques de chez nous, ne saurait être une simple affaire de communication et d’arrangements politiques . Il doit par contre impliqué toutes le forces vives de la nation, sans exclusive, être sincère pour déboucher sur des résultats concrets, au grand bonheur de notre peuple. et c’est la que les guides religieux et coutumiers doivent jouer leur rôle de facilitateurs et de garants des accords qui surviendraient d’un tel exercice“.
Par ailleurs, le guide religieux assure qu’il jouera pleinement son rôle pour l’atteinte des objectifs fixés synonymes des intérêts du Sénégal.
Voilà encore ces gens sans scrupule aucune qui n’ont pas honte de se dedire de maniére fallacieuse.
Pourtant Modou Kara a toujours demandé à Macky de dialoguer avec Wade et que lui même aller faire la mediation et voulait aussi la liberation de Karim Wade
Ce qui doit être inacceptable c’est qu’à Issu d’un dialogue, qu’on se retrouve avec la libération de Karim Wade. Si toutefois l’État et le Macky Sall ont tord et condamné injustement Karim, ils n’ont qu’à l’assumer, le libérer et l’indemniser.