La Cellule Initiatives et Stratégies (CIS) du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) reprend du service. Elle s’en est violemment prise avec l’opposition qui selon elle fait tout pour que ce qui s’est passé en Tunisie, en Egypte se produit au Sénégal. Les cadres libéraux ont par ailleurs demandé pardon au peuple Sénégal par rapport aux nombreuses coupures de courant et tenté de rassurer.
Le Coordonnateur de la CIS, par ailleurs, président du Conseil d’administration, Serigne Mboup a taclé l’opposition qui selon lui incite le peuple à faire comme la Tunisie ou l’Egypte. «Le Sénégal n’est la Tunisie, ni l’Egypte. Il y a plus de 25 quotidiens, une vingtaine de radios et 7 télévisions. La liberté d’expression est bien réelle, on est bien loin de la dictature», a-t-il déclaré. Pour Serigne Mboup, «Le fait d’appeler les gens à se révolter est un acte grave d’irresponsabilité. Ceux qui lancent ces appels ne savent pas s’ils seront épargnés s’il y a révolte, s’il y a des émeutes qui dégénèrent».
Le Coordonnateur de la CIS a appelé l’opposition à la raison surtout que selon lui, le Sénégal est un pays stable avec des règles du jeu électoral très clair et fiable. A ce sujet, il a indiqué que «le fichier électoral est très fiable et que cela a été attesté par des experts internationaux qui l’ont audité. Le Sénégal est ainsi un modèle de démocratie».
Pour ce qui est de l’actualité brulante relative aux coupures récurrentes d’électricité, Serigne Mboup a commencé par demander pardon au peuple Sénégalais avant de donner des gages pour le retour à la normale bientôt et les démarches et actions faites dans ce sens. Il a, à ce propos, souligné la maintenance régulière des outils de production de l’électricité, le respect de la bonne gouvernance à la Société Africaine de Raffinage (SAR) pour l’approvisionnement en fuel, entre autres questions inhérentes à l’énergie.
Cette rencontre avec la presse a été l’occasion d’un rappel des troupes pour la CIS. Ainsi, les membres fondateurs et tous ceux qui ont les beaux temps de la principale structure de cadres libéraux ont répondu présent. Ainsi il a été noté la présence du directeur général de l’Office pour l’Emploi des Jeunes de la Banlieue (OFEJBAN), Boubacar Ba, son Daf, Mamadou Ly, Aïssatou Badara Dia, Ibrahima Ndoye, Sidy Faye, Adama Gueye, entre autres, tous autour de Serigne Mboup.
pressafrik.com
50 ans d’indépendance 50 ans que l’Afrique marche en reculant. Le monde est marqué pas la crise économique et même les grandes puissances prennent des mesures pour limiter les conséquences pendant ce temps ceux qui nous dirigent préfèrent investir dans un statut de la renaissance et dans un Fesman ! Avons-nous besoin de prouver au monde qu’on existe par ces stupidités ? On va nous parler de négritude et d’esclavage jusqu’à quand pour justifier de la situation économique dramatique de l’Afrique. On s’étonne que notre pays n’arrive pas à résoudre les problèmes d’électricité, que les denrées de premières nécessitées augmentent. Quand les deniers publics sont utilisés à d’autres fins, normal qu’on passe à coté de l’essentiel. Dans quelle posture était la Chine il y’a 50 ans ? Et pourtant aujourd’hui elle fait partie des plus grands de se monde.
La réalité est que le peuple sénégalais est lâche et attend tout simplement comme d’habitude que les autres fassent les choses à sa place et je peux vous dire que ça ne se passera pas comme ça. Il faut que nous acceptons que nous sommes diriger par des incapables qui se servent de nous sans vergogne se souciant très peu de se que vit le sénégalais d’en bas. Disons nous bien que chaque peuple à le Président qu’il mérite et tant que nous ne prendrons pas notre destin en main, les choses ne bougeront pas.
De toute façon la révolution se mettra en place qu’on le veuille ou pas mais combien de temps attendrons nous encore. Dans toutes les grandes nations démocratiques on est passé par la avec tout ce que cela engendre comme bouleversements avec certainement des morts mais la cause est tellement juste qu’on aura tout à y gagner.
Pour que les noirs aient toute leur dignité aux USA il a fallu que Martin Luther King se sacrifie et aujourd’hui nous avons Barak Obama. Nelson Mandela s’est battu avec rage et hargne pour libérer l’Afrique du Sud et bien d’autres encore.
Aujourd’hui je n’ai pas peur de mourir parce qu’en moi vibre cette fibre patriotique qui me donne la force et la fierté d’être sénégalaise mais j’ai juste peur qu’on passe à coté de ce bon vent qui est entrain de souffler en Afrique !