« Quelques solutions très efficaces pour faire durer l’érection »
Epuisé, harassé, brisé à bout de forces. Nous avons tous déjà croulé sous le poids des tracas de tous les jours. Nous avons l’impression d’être prisonniers d’un cercle vicieux dans lequel les exigences du travail nous laissent sans énergie à la maison et où la vie à la maison est un champ de bataille qui nous laisse trop épuisé pour travailler.
Le stress est une réaction biologique bien réelle à une stimulation extérieure !
D’abord une phase de choc intervient au moment où vous recevez le stimulus » stressant » : votre rythme cardiaque s’emballe, votre tonus musculaire et votre taux de sucre dans le sang s’effondrent. Votre organisme va à ce moment tout faire pour s’adapter. Pour cela, votre système nerveux envoie un message à l’hypothalamus qui, en agissant sur la glande médullosurrénale, libère de l’adrénaline. Celle-ci fournit à l’organisme l’énergie dont il a besoin en augmentant le rythme du cœur (donc son débit) pour mieux oxygéner les muscles et les tissus, et en facilitant la libération du sucre et des graisses par le foie. C’est un premier stade où la mémoire et la réflexion sont améliorées. Vos pupilles se dilatent, vous disposez d’une meilleure vision. Quelle que soit la nature du stimulus, la réponse biologique de votre organisme sera invariablement la même. Si le stimulus persiste, vous passez à une phase de résistance. Votre organisme est en position d’alarme et de mobilisation pour tenter de capitaliser d’autres ressources afin de trouver un nouvel équilibre. Il se met à secréter d’autres hormones : l’endorphine aux vertus apaisantes, le cortisol, la dopamine, la sérotonine et enfin des hormones sexuelles. A ce stade, le stress est considéré, d’un point de vue biologique, comme un agent stimulant bénéfique pour l’organisme, qui lui permet de réagir pour survivre à des situations pouvant le mettre en danger. Si le stress perdure et que votre organisme est incapable de faire face car les dépenses énergétiques nécessaires sont trop importantes, vous passez à une phase d’épuisement. Vos défenses immunitaires perdent du terrain, ce qui vous rend extrêmement sensible aux agressions extérieures. Vous êtes dans un état de tension excessive. Votre soupape de sécurité explose. Apparaissent alors la fatigue, la colère, voire même la dépression.
Stress, anxiété et dysfonctionnement : comment ça se passe ?
D’abord une phase de choc intervient au moment où vous recevez le stimulus » stressant » : votre rythme cardiaque s’emballe, votre tonus musculaire et votre taux de sucre dans le sang s’effondrent. Votre organisme va à ce moment tout faire pour s’adapter. Pour cela, votre système nerveux envoie un message à l’hypothalamus qui, en agissant sur la glande médullosurrénale, libère de l’adrénaline. Celle-ci fournit à l’organisme l’énergie dont il a besoin en augmentant le rythme du cœur (donc son débit) pour mieux oxygéner les muscles et les tissus, et en facilitant la libération du sucre et des graisses par le foie. C’est un premier stade où la mémoire et la réflexion sont améliorées. Vos pupilles se dilatent, vous disposez d’une meilleure vision. Quelle que soit la nature du stimulus, la réponse biologique de votre organisme sera invariablement la même. Si le stimulus persiste, vous passez à une phase de résistance. Votre organisme est en position d’alarme et de mobilisation pour tenter de capitaliser d’autres ressources afin de trouver un nouvel équilibre. Il se met à secréter d’autres hormones : l’endorphine aux vertus apaisantes, le cortisol, la dopamine, la sérotonine et enfin des hormones sexuelles. A ce stade, le stress est considéré, d’un point de vue biologique, comme un agent stimulant bénéfique pour l’organisme, qui lui permet de réagir pour survivre à des situations pouvant le mettre en danger. Si le stress perdure et que votre organisme est incapable de faire face car les dépenses énergétiques nécessaires sont trop importantes, vous passez à une phase d’épuisement. Vos défenses immunitaires perdent du terrain, ce qui vous rend extrêmement sensible aux agressions extérieures. Vous êtes dans un état de tension excessive. Votre soupape de sécurité explose. Apparaissent alors la fatigue, la colère, voire même la dépression.
En outre, quand nous sommes anxieux, le système sympathique est dominant, l’organisme est en alerte, les hormones surrénales vous préparent à lutter ou à fuir : les nerfs tirent le sang du système digestif ou du pénis vers les muscles. Détendez-vous alors et laissez le système parasympathique prendre le dessus. Les signaux que transporte ce réseau provoquent le gonflement des artères et des sinus du pénis et un afflux de sang circule dans les tissus. Un peu d’anxiété suffit à déclencher le système sympathique. Pour certains hommes, la peur de l’échec est tellement grande qu’elle entraîne une sécrétion débridée de noradrénaline, une autre hormone surrénale. C’est tout le contraire de ce dont vous avez besoin pour avoir une érection.
Le stress est-il un piège sans issue ?
Sommes-nous condamnés à lutter constamment pour survivre dans le monde trépidant dans lequel nous vivons ? Non. En fait, non seulement il est possible de vaincre le stress, mais nous pouvons l’utiliser à notre avantage. Nous n’avons pas à le fuir, pas plus qu’à assister à un séminaire de gestion du stress pour composer avec lui. Les trucs suivants, qui ont été approuvés par des médecins, vous aident à combattre le stress. Pour obtenir un soulagement instantané lorsque vous sentez acculé au pied du mur, lisez ce qui suit :
Changez d’attitude : Il est important de comprendre que dans la plupart des cas, le stress ne résulte pas de conditions objectives, mais de la façon dont vous réagissez. Et votre réaction dépend de votre perception d’un stress donné. En chinois, crise se dit weiji, un mot de deux caractères qui signifient danger et occasion. Chaque problème que nous avons à affronter dans la vie peut être envisagé de cette façon, c’est-à-dire comme une occasion de montrer que nous pouvons faire face au danger. Changer d’attitude, c’est-à-dire envisager une difficulté comme une occasion de montre ce que vous savez faire, peut transformer une vie de tension et de stress en une vie exaltante et remplie de défis.
Pensez à autre chose : Toute pensée qui vous aidera à échanger instantanément votre perspective peut être utile lorsque vous vous sentez stressé. Vous avez besoin de distraction pour briser le raisonnement qui produit le stress. C’est ce que vous pouvez faire en pensant à presque n’importe quoi d’autre.
Essayez la pensée positive : Lorsque vous ne vous sentez pas sûre de vous, avant une présentation ou une rencontre avec votre patron par exemple, il peut être très utile de penser à vos succès passés. Ainsi, vous vous rendez compte que vous avez déjà réussi et qu’il n’y a aucune raison qu’il en soit autrement maintenant.
Prenez un congé mental : Pour soulager ou gérer le stress de tous les jours, imaginez-vous étendu sur une magnifique plage de sable chaud dans les îles. Une douce brise vient de la mer et les vagues se brisent sans fracas à l’horizon. Cette technique de relaxation est incroyable ; vous verrez.
Soyez affirmatif : Vous devriez toujours avoir une liste d’affirmations à réciter lorsque vous vous sentez stressé. Elles n’ont pas besoins d’être compliquées. Il suffit de vous répéter que vous êtes capable de composer avec la situation ou que vous êtes la personne la plus compétente pour trouver une solution. Vous luttez ainsi contre le réflexe animal du stress : respiration rapide, mains moites, et vous vous tournerez vers la raison, l’intellect, la faculté qui vous permet vraiment de composer avec la situation. Quel est le résultat ?vous devenez instantanément plus calme.
Comptez jusqu’à 10 : Refusez de réagir immédiatement à un stress peut suffire à le désamorcer. Et prendre l’habitude de vous arrêter et de vous relaxer, ne serait-ce que quelques secondes, avant de réagir aux contrariétés de tous les jours, peut faire une grande différence dans le stress que vous ressentez. Par exemple, quand le téléphone sonne, respirez profondément. Puis en expirant, imaginez que vous êtes aussi détendu qu’une poupée de chiffon. Faire ce genre de pause vous donne le sentiment que vous maîtrisez la situation, ce qui est beaucoup moins stressant que celui d’être dominé par ce qui vous entoure. Prenez l’habitude de pratiquer la relaxation rapide avant de répondre au téléphone. Une pause délibérée dans les activités joue le rôle d’un tranquillisant. Aussi étonnant que cela puisse paraître, compter jusqu’à 10 est très efficace.
Regardez au loin : Si vous regardez par la fenêtre pendant quelques instants en vous concentrant sur le paysage au loin, loin du problème qui cause le stress, vos yeux se détendent et vous vous relaxez aussi. Retirez une casserole du feu et elle cesse de bouillir.
Partez : Quitter la scène a le même effet que regarder au loin.
Respirez profondément à plusieurs reprises : C’est ce qu’on appelle : respirer avec le diaphragme. C’est un vieux truc très utile pour combattre l’anxiété et la nervosité. Il s’agit simplement d’agir avec calme, d’être calme. Lorsque vous vous êtes stressé, votre pouls s’accélère et vous commencez à respirer très rapidement. En vous efforçant à respirer lentement, vous transmettez à votre corps le message que le stress est passé, que ce soit vrai ou non.
Criez ou pleurez : Dans un bureau conventionnel, ce truc n est pas toujours pratique, mais dans un bureau privé ou dans votre voiture, une réaction purement émotionnelle est parfaitement acceptable. En criant ou en pleurant, vous pouvez libérer les émotions qui causent le stress que vous ressentez.
Etirez-vous : Pratiquement toutes nos émotions ont des manifestations physiques. Nombreux sont ceux qui réagissent au stress par la tension musculaire. Idéalement, il faut s’attaquer à la source même du stress, mais la relaxation musculaire a l’avantage de réduire la sensation de stress. Les muscles se détendent, vous vous sentez moins stressé. Cela est important, car il arrive souvent que nous ne puissions rien faire contre la cause du stress.
Massez les muscles cibles : Chacun réagit au stress en tendant des muscles en particulier. C’est une sorte de cercle vicieux : le stress libère de l’adrénaline qui entraîne la tension musculaire, laquelle produit encore plus d adrénaline et ainsi de suite. Pour briser le cercle, vous devez identifier les muscles cibles, ceux qui deviennent tendus lorsque vous êtes sous pression, notamment les muscles du cou et du dos, et les masser pendant quelques minutes, chaque fois que vous vous sentez tendu.
Appuyez les mains sur les tempes : L’acupression, une discipline orientale qui utilise les points de pression pour soulager la douleur et divers troubles, agit indirectement. Le massage des nerfs des tempes détend les muscles dans d’autres parties du corps, particulièrement dans le cou.
Détendez-vous la mâchoire et roulez-la de gauche à droite : Les personnes stressées sont portées à serrer les dents. En laissant tomber la mâchoire et en la faisant rouler, vous aidez à détendre ces muscles, ce qui réduit la sensation de tension.
Etirez votre poitrine pour mieux respirer : La tension musculaire qui accompagne le stress peut rendre la respiration difficile. A son tour, la mauvaise respiration exacerbe l’anxiété. Pour détendre la respiration, roulez d’abord les épaules et relaxez-les. La première fois, inhalez profondément en roulant les épaules vers l’arrière et expirez lorsque vous les relaxez. Répétez 4 ou 5 fois, puis inhalez profondément à nouveau. Répétez l’exercice au complet 4 fois.
Détendez-vous de partout : Plus facile à dire qu’à faire ? Pas quand on sait comment s’y prendre. La relaxation progressive, une technique très simple, peut réduire la sensation de stress instantanément en relâchant la tension physique. En commençant par la tête ou par les pieds, contractez chaque groupe musculaire de votre corps un à un, tenez pendant quelques secondes et détendez les muscles.
Prenez un bain chaud : La chaleur agit en contrecarrant la réaction au stress. Lorsque nous nous sommes tendus et anxieux, le flux sanguin aux extrémités diminue. La chaleur rétablit la circulation et signale à l’organisme qu’il est en sécurité et qu’il peut se détendre.
Bougez : La pratique régulière de l’exercice développe l’endurance, ce qui permet de mieux résister au stress. Même une simple promenade peut vous faire du bien.
Quelques solutions pour faire durer l’érection:
1 Boire quotidiennement une décoction de rameaux feuillus de Daniella oliveri associés à ceux de Bauhinia reticulata et de Capsicum flutescens. Cette méthode enlève aussi la mollesse du membre viril.
2 Boire une décoction de racines de Balanites aegyptiaca, celles d’Acacia albida et d’Anona senegalensis.
3 Pour chasser le stress et maintenir l’érection: Boire une infusion d’Ocimum basilicum. Une heure avant les opérations.
Vocabulaire: Bauhinia reticulata = « rande » en wolof; Daniella oliveri = « santan » en wolof
Capsicum flutescens = « kaani » en wolof; Balanites aegyptiaca = « sump » en wolof
Acacia albida = « Kadd » en wolof ; Ocimun basilicum = « ngun ngun » en wolow
avec sambamara.com
