Le SYNACOM réclame la tête d’Aminata Assome Diatta

Une fois de plus la gestion familiale, partisane, clanique et souvent ethnique de notre état est mise en cause. Il y’a de hauts responsables de ce régime à commencer par son chef, qui prennent la république comme un « torchon ». La plupart des nominations se font sur des bases clientélistes, avec des politicards mus par des questions de sinécures et de promotion de leurs personnes.
Nous avons dans ce pays un véritable problème de casting et de choix des hommes basé sur l’aptitude, la compétence et l’éthique pour diriger efficacement. Si on ne se départit pas de cette culture, qui considère la politique comme un moyen d’enrichissement et de promotion sociale, ce pays marchera à reculons, c’est indéniable.
Aujourd’hui plus que jamais nous avons besoin d’une élite dirigeante capable et disposée à imprimer de nouveaux paradigmes, tendant à appréhender et faire autrement de la politique. Mais aussi, à rendre sacré le bien commun que représente l’état, qui doit être géré avec rigueur et perspicacité par des hommes bien choisis, sur la base de critères et valeurs morales qui en garantissent une gouvernance meilleure